J’obéis à mon mari

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vendredi 22 septembre 2017
par  Birgitt
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Pour comprendre mon attitude, il faut savoir que mon mari est bien plus riche que moi. Nous sommes mariés avec un contrat de mariage qui prévoit qu’en cas de divorce je n’ai pas grand-chose à espérer. Ces dernières semaines où il a entamé mon dressage m’ont fait beaucoup réfléchir. J’ai conclu qu’il fallait obtempérer à ses souhaits pour continuer à vivre dans ce bel appartement parisien de 120 m² et profiter de nos belles sorties et voyages. Mais également, j’ai ressenti de nouvelles pulsions, les humiliations sexuelles, les exercices tout nue, l’obéissance à ses ordres et à celui de notre voisine, tout cela a modifié mon comportement, je me sens tout le temps excitée, j’ai envie d’être prise, humiliée, exposée. Mon mari doit être satisfait de me faire devenir une femme dévergondée, une femme en chaleur, c’est ce que je crois. J’avais pressenti qu’à un moment ou à un autre, mon mari deviendrait mon dominateur, que nous ne serions plus égaux. Ce moment était arrivé. Je voulais garder l’essentiel, ne pas retourner dans les conditions presque de misère où j’avais passé mon enfance. Tant pis si je devenais une salope.
Plusieurs semaines sont passées. Régulièrement, je lave le sol de la cuisine chez ma voisine, toujours nue à quatre pattes et je m’expose aux caresses de ses amies lors de leur thé du jeudi. Quand nous sortons avec mon mari, je suis toujours nue sous le modèle unique de robe qu’il me fait porter : une robe avec 4 boutons sur le devant, qui s’arrête à mi-cuisses, et qui écarte ses pans dès qu’il y a un peu de vent.
Ce soir-là, ma robe était rouge. Après l’apéritif au champagne, le dîner qui suivit fut bien arrosé ; obéissante à mon mari, j’avais remonté ma robe pour m’asseoir fesses nues sur la banquette. Je sortis du restaurant de Saint Germain des Prés un peu pompette.
« À deux rues d’ici, il y a un petit théâtre érotique, allons voir ce qu’il propose. Ça devrait te plaire et ne reste pas passive » me suggéra mon époux.
Cette phrase me laissa interloquée mais j’étais joyeuse et oubliait très vite sa recommandation.
Mon mari acheta deux billets au petit comptoir de ce théâtre, la fille noire qui les vendait me regarda avec un sourire hautain, j’eus l’impression qu’elle me déshabillait des yeux. Après avoir descendu une douzaine de marche, nous entrâmes dans une salle voûtée d’environ 50m² divisée en deux parties : l’une le plancher de la salle de spectacle, l’autre les sièges répartis sur 3 gradins. Deux places étaient disponibles au premier rang, mon mari me fit asseoir sur le siège le plus au bord et prit la place d’à côté. Une fille se masturbait sur la scène, cuisses ouvertes, au son d’une chanson. A la fin de la chanson, elle se leva, resta debout jusqu’à ce qu’une autre chanson prenne la suite. Alors elle se dirigea vers les sièges, monta une marche et s’allongea sur les spectateurs du deuxième rang. Leurs mains parcoururent son corps mais personne ne touchait ses seins ou sa chatte. Le spectacle était ahurissant, cette fille s’offrant aux caresses, aux regards lubriques. Je remarquais que j’étais la seule spectatrice, les hommes présents avaient tous autour de la cinquantaine ou soixantaine. La fille continuait à se caresser, à ouvrir ses lèvres, certains spectateurs s’approchaient à quelques centimètres de sa chatte inondée. Puis elle se releva, descendit la marche et s’approcha de mon mari et moi. L’ignorant, elle se planta devant moi, me prit la main droite et la posa sur son sein gauche puis se pencha vers moi
« Toi, tu peux caresser mes seins ».
Maladroitement je les caressais, passais mes doigts sur ses tétons érigés. Ses seins étaient beaux, plus gros que les miens et ses tétons plus allongés. La musique s’arrêta à nouveau, elle retourna sur le devant de la scène, transpirante de ses danses et de son excitation.
La musique reprit. La fille revint vers moi et me dit à l’oreille
« Viens danser avec moi, c’est facile, tu fais comme moi ».
Avant que je puisse répondre, elle me tira par la main et je me retrouvais à côté d’elle sur la scène. Elle m’enlaça, me dit qu’elle s’appelait Gina, me demanda mon prénom. Dans le même temps, elle défaisait les boutons de ma robe puis fit la fit glisser de mes épaules.
« Tu as aussi de très jolis seins » me dit-elle à l’oreille.
J’étais dépoitraillée, la robe retenue à la taille par un seul bouton. Nous dansions serrée l’une contre l’autre, je sentais l’excitation de cette fille qui me la transmettait. Puis elle fit glisser le reste de ma robe sur le sol et je me retrouvais nue devant les spectateurs. Elle s’écarta de moi un peu et me fit tourner au bout de ses doigts, je sentis le regard des hommes sur moi ; j’étais toute exposée, nue. La musique s’arrêta. La fille se tournant vers le public, me prit par la main et dit
« C’était Gina et Birgitt. Merci »
Les applaudissements accompagnèrent notre départ, Gina me tenait toujours par la main et nous remontâmes nues les escaliers. LIRE LA SUITE


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Commentaires

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mardi 14 novembre 2017 à 11h34 - par  Crabou

J’adore. J"ai vécu des choses similaires plusieurs fois dans des cafés fétichistes ou des salons de l’érotisme mais C’est plutôt sous le fouet que je dansais qu’au son d’une musique