Entre les mains des femmes

1° partie
dimanche 9 juillet 2017
par  Henic
popularité : 1%
5 votes

Synopsis  : Dans un coin perdu d’Afrique, Monique Desalle, dix-neuf ans, est prisonnière d’un émir cruel et sadique. Lorsque sa tentative d’évasion échoue, elle est remise aux mains des femmes bourreaux de l’émir et soumise à la torture dans son horrible Cour des Châtiments.

Table des matières
Entre les mains des femmes 1
1. La Jument de Laiton 2
2. La Selle de Fer 8
À suivre… 13
Traduction Henic

***

1- La jument de Laiton

Traînée hors de l’obscurité des cellules, Monique Desalle est aveuglée par l’éclat du soleil qui inonde la redoutée Cour des Châtiments de l’Émir. Sa vue s’ajuste lentement à la lumière, la jeune Française blonde cligne rapidement des yeux, toujours dans l’ombre de la profonde véranda carrelée. Les hauts murs blanchis à la chaux sont percés d’arcades, certaines obscurcies par des grilles chantournées aux motifs compliqués, d’autres, comme celle par laquelle on vient de la traîner, fermées par des portes en barreaux d’acier.
La cour elle-même est pavée de dalles de pierre lisse. La jeune femme regarde dehors, puis tient sa tête baissée, essayant d’éviter de voir les horribles engins et les lourdes formes en bois dispersés dans la cour fermée. En ne regardant pas, elle essaie de se persuader que l’ensemble n’est peut-être qu’un cauchemar…
Encore un pas et le cauchemar devient plus que réel, lorsqu’elle voit l’autre fille pendue par les poignets à une perche au bord de la façade de la véranda. Ses jambes sont largement écartées, chaque cheville est solidement fixée à un anneau scellé dans le sol carrelé. Les marques d’une récente flagellation ressortent sous la forme de fines lignes rouges qui s’entrecroisent sur sa peau brune, les zébrures enlacent même les larges aréoles et les tétons proéminents de ses petits seins hauts placés.
La lourde respiration de la jeune fille, le frémissement de ses muscles du ventre et l’épaisse crème humide présente sur les lèvres de son sexe glabre, disent à Monique qu’elle n’a pas seulement été fouettée mais qu’on l’a fait parvenir à l’orgasme dans les minutes qui viennent de s’écouler… et pas pour la première fois ce matin, compte tenu de l’épuisement haletant qui paraît sur son visage.
Monique regarde horrifiée la mince silhouette de sa servante, Lula : ses espoirs de secours à la dernière minute volent en éclats.
« Après la nuit dernière… tu ne t’es pas doutée que je te ferais surveiller ? »
L’Émir glousse, son corps vacillant tandis qu’il se prélasse sur un amas de coussins, et qu’il examine la Française presque nue, tenue devant lui par la poigne de fer de deux gardes. Ainsi qu’il l’a ordonné, elle est attachée au niveau des coudes, avec les bras dans le dos. Ses épaules forcées en arrière, ses seins pleins se projettent en avant de manière obscène, les ergots roses de ses tétons pointent, fiers et prêts, comme s’offrant aux attentions de l’Émir.
L’Émir ricane, jouissant de la torture mentale qu’il lui inflige en jouant avec elle.
« Oh, je vois… Tu penses que ta servante là-bas a réussi à faire passer le message urgent que tu lui avais donné. »
Il lève les mains, mimant une fausse peur.
« Et que, maintenant, je ne peux rien te faire parce que des soldats étrangers sont en route pour te libérer… »
Il passe sa langue sur ses lèvres, goûtant l’instant. Il fait une pause, prend une feuille de papier et fait comme s’il en étudiait le contenu.
« Malheureusement, elle a été… interrompue dans sa tâche… »
La lettre d’accusation de Monique, donnée à Lula quelques heures auparavant, est négligemment rejetée.
« Donc, pas de soldats… et pas de secours non plus. C’est tellement dommage… Parce que toi, tu vas maintenant pouvoir regarder mes deux petits agents de persuasion qui vont aider ta traîtresse de servante à comprendre la peine liée à sa trahison. »
Il ricane à nouveau, ses lèvres épaisses se recourbent en un sourire cruel tandis qu’il baisse les yeux vers deux jeunes femmes arabes, toutes deux nues à part des bandes dorées aux poignets et aux chevilles et une corde autour de la taille, pelotonnées comme des chats sur les couvertures à ses pieds. Monique, son dernier espoir évanoui, frissonne violemment en regardant les visages souriants, avides, des deux tortionnaires redoutées de l’Émir. Celui-ci continue :
« Bien sûr, dans un court moment, ce sera ton tour… »
Les deux femmes sourient largement à ces mots, leurs expressions brûlent d’avidité et d’anticipation cruelle. S’assurant que Monique peut voir, elles s’étirent paresseusement sur les coussins, leurs doigts lisses s’agitent et se caressent mutuellement, l’une caressant gentiment les longs tétons sombres de sa compagne pendant qu’en retour, l’autre passe le bout de ses doigts sur les lèvres dodues et nues du sexe lisse et huilé de son amie.
Toutes deux humidifient leurs larges lèvres pleines, le regard fixé sur la jeune Française, leurs yeux bordés de khôl étudient ses courbes minces. Monique Desalle frissonne malgré la chaleur de four, en regardant leur jeu volontairement sexuel, elle sait que les horribles histoires sont vraies. Ce sont elles qui ont passé la matinée à fouetter et donner du plaisir à Nula pour divertir l’émir, la jeune servante capturée étant suspendue, impuissante, à la poutre.
Bien que les gardes aient complètement déchiré sa robe de coton, la jeune fille de dix-neuf ans porte encore un cache-sexe noir, dont l’élastique de la ceinture est remonté haut sur les hanches de telle façon que le renflement en V de son sexe soit moulé et souligné par le minuscule triangle de tissu tendu. Monique tremble de manière incontrôlée, elle sait que son supplice va bientôt commencer. Le sourire des deux femmes s’élargit en voyant la peur qui fait trembler la Française, fait s’agiter et se balancer délicieusement ses seins pleins aux bouts roses.
Lorsque les deux femmes s’approchent d’elle, Monique essaie de s’écarter en se tournant, mais les gardes resserrent leur prise sur ses bras. Elle se mord les lèvres lorsque des doigts légers chatouillent les globes de ses seins poussés en avant, elle sent l’habituelle trahison de son corps tandis que ses tétons durcissent et se dressent sous leur contact expert. Elle se tord, essayant de rester muette lorsque des ongles pointus griffent la délicate chair rose de chaque extrémité et sa large et plus tendre encore aréole.
En quelques minutes, les deux femmes ont mené les deux tétons à une douloureuse raideur et Monique halète et geint, se tortillant entre les mains des gardes pendant que les ongles tortionnaires continuent à agacer la délicate chair de chaque sein. Mordillant l’oreille de Monique, la plus grande murmure :
« Je suis Lia… et voici Mena. »
Sa main descend le long du ventre frémissant de la jeune fille pour aller jouer avec le renflement dodu toujours moulé par la soie noire. Ses doigts griffent au-dessus du tissu tendu et taquinent la vague formée par les lèvres de Monique, ce qui fait se tordre encore plus fort la jeune fille entre les doigts grossiers et crasseux des gardes ; Lia dit doucement :
« Cela n’est pas utile pour l’instant… »
Pendant que Lia continue de lui chatouiller le con, Monique sent les mains de Mena sur ses hanches, des doigts qui descendent le string pour enlever le tissu humide moulant, qui s’interrompent pour faire aller la ficelle de haut en bas entre ses fesses avant de descendre complètement le minuscule vêtement pour dévoiler les lèvres proéminentes du sexe complètement rasé de la jeune Française. Les doigts de Lia retournent caresser les lèvres maintenant dénudées, en passant doucement le long de la fente mouillée de sa chatte.
Tout en embrassant Lia par-dessus l’épaule de Monique, Lia amène un nouveau gémissement angoissé sur les lèvres de sa victime lorsqu’un doigt se glisse plus profondément pour caresser autour du capuchon charnu à l’entrée de sa fente ; elle utilise le contact d’une plume pour amener la tête du clitoris de la jeune Française à sa complète érection. Le doigt cercle dans l’humidité, titille seulement le bout du petit bouton en une caresse experte. Monique se tord et se dresse sous la poigne des gardes :
« Ah, aaaah, s-s-s’il vous plaît… Ah oui, aaaaaah ! »
Puis le doigt se retire subitement, la laissant pantelante. Lia murmure :
« Ça suffit… Le moment est venu que tu chantes pour nous… Allez ! »
Monique hurle lorsque chacune des femmes attrape un de ses tétons, et en pince durement le bout rose entre le pouce et l’index. Les femmes se sourient l’une l’autre, faisant de la tête signe aux gardes d’emmener leur prisonnière. Entendant les cris haletants et les supplications frénétiques de Monique, ils se contentent de tordre plus fort leurs doigts, en tirant sans pitié pour l’obliger à marcher vers le plein soleil qui écrase la cour, entraînée par l’abominable double prise sur ses tétons.
Une fois dehors, dans le plein éclat et la pleine chaleur, ils s’arrêtent et obligent Monique à regarder les engins dispersés sur les chaudes dalles de pierre de la Cour des Punitions. Avec appétit, ils la font pivoter en faisant tourner leurs mains sur ses tétons pour qu’elle se déplace comme ils le souhaitent, en s’assurant qu’elle prenne bien connaissance l’un après l’autre des instruments de torture favoris de l’émir.
D’un côté, un socle à quatre pieds supporte une selle en métal noir, très épurée mais avec un axe bombé inratable qui se recourbe au centre. À gauche de la selle, sur un bloc de pierre, un petit récipient contient un lit de charbon de bois, gris, avec de la cendre. Il n’y a ni flamme ni fumée mais Monique voit l’air trembler au-dessus, qui révèle la chaleur qui émane des braises.
Près de la selle, montée sur une dalle de pierre circulaire, un poteau isolé, poli, de la hauteur d’un torse. De l’épaisseur d’un bras à la base, il est conique et s’achève, non pas en pointe comme s’y attendait Monique, mais en un sommet évasé de la taille et de la forme d’une prune. À une cinquantaine de centimètres de la base, deux petits pitons en sortent.
Monique frissonne en regardant ce sinistre poteau. Elle sait exactement à quoi il sert et imagine les femmes ordonnant aux gardes de la soulever, puis, pouffant de rire alors qu’ils tiennent ses lèvres sexuelles ouvertes afin qu’ils puissent insérer cette extrémité cruellement émoussée dans son corps. Elle frissonne à nouveau en pensant à la féroce et interminable douleur lorsque le poteau s’enfonce de plus en plus profondément, la descente ne s’interrompant que lorsqu’elle peut se tenir en équilibre précaire sur les gros orteils qui reposent sur les pitons, les muscles des mollets et des cuisses enflammés par l’atroce douleur. Elle sait que le supplice ultime est de voir l’émir et ses femmes, à leur aise, rire et plaisanter en attendant le moment où elle glissera… et commencera l’ultime et horrible descente.
Faisant monter sa peur en l’amenant devant chaque engin, les femmes la tirent vers le poteau pour l’en détourner au dernier moment.
Quelques trébuchantes enjambées plus loin, elle découvre les détails d’un engin courbé et rembourré destiné à la fustigation, tout en bois et cuir. Monique, tremblant à la vue de chaque nouvelle horreur, peut voir exactement comment elle serait installée pour enjamber le haut du bloc, comment chaque jambe serait pliée pour ouvrir la fente de son derrière avant d’être attachée de manière inamovible.
Puis, forcée vers l’avant, loin au-delà du boudin de cuir, les bras tirés vers le bas jusqu’à ce que ses poignets puissent être attachés au bas de l’engin, la laissant ouverte et impuissante vis-à-vis de tout ce qu’ils pourraient vouloir lui faire. Afin de la laisser sans aucun doute, un grand pot de faïence à côté de l’engin contient un assortiment de longues cannes et de baguettes de bambou… Toutes paraissent avoir déjà été utilisées.
Une autre pause tandis que le cœur de Monique bat fort sous l’effet de la peur, et les deux femmes l’entraînent déjà en tirant sur ses tétons douloureux ; Monique est contrainte d’avancer en chancelant. Plus loin dans la cour, deux forts poteaux isolés se dressent, avec une fente en forme de U en haut de chaque. Monique frissonne en se demandant quelle torture diabolique elles vont inventer…
Son imagination terrifiée est interrompue lorsque les femmes la font retourner et la tirent de nouveau au-delà du pal et de la selle métallique, jusqu’à l’autre extrémité de la cour. Là, deux poteaux métalliques supportent une barre en laiton dentelé. Une étroite plateforme en bois se trouve derrière la barre. De courts pitons de bois sont disposés dans des trous des dalles, de chaque côté. Le bout de chaque poteau est teinté et sa pointe est émoussée.
Les yeux de Monique s’écarquillent et sa respiration se fait plus rauque dans sa gorge tandis qu’elle regarde le laiton poli et la ligne de dents émoussées en zig-zag qui en couronnent le bout. Avant sa capture, de retour au camp, elle avait entendu murmurer sur des filles torturées en « chevauchant la Jument de Laiton ». Elle réalise à présent ce qu’est la « Jument de Laiton » de l’émir, et sait d’une manière certaine que c’est elle qui montera dans quelque temps cet engin diabolique.
Les deux femmes relâchent leur prise sur ses tétons en riant toutes deux tandis qu’elle siffle et danse sous la douleur du retour de la circulation sanguine. Les paroles de l’émir confirment ses pires craintes :
« Ah ! Je vois que tu connais mon petit jouet. Eh bien, à présent, tu vas monter dessus pour moi, juste un peu… C’est quelque chose destiné à te faire réfléchir pendant que tu vas regarder mes petites travailler ta servante… »
Lia caresse le derrière de Monique pendant qu’elle et Mena forcent leur victime tremblante à monter sur la plateforme instable, en la tenant fermement pendant que Monique soulève maladroitement une jambe pour enjamber le rail de laiton.
Cette fois, c’est Mena qui empaume le sexe de Monique, son index glisse facilement entre les lèvres de la Française pour venir jouer avec le petit bouton de son clitoris.
« Ah, ah… Non, n-non, s’il vous plaît... Aaaahhhh ! »
Monique geint, prise entre la sensation cause par l’attouchement de la jeune femme et l’anticipation de la torture qui va débuter sous peu. Mena murmure :
« Tu veux jouir ? Tu vas le faire, de nombreuses fois, mais pas maintenant. Tu dois d’abord la regarder… »
Toujours à cheval au-dessus de la barre sur la plateforme qui oscille, Monique regarde vers l’endroit où Nula est toujours suspendue.
« Assez d’attente… Assieds-toi sur la barre, à présent… »
Monique sent les mains de Mena qui écartent ses lèvres tandis que Lia appuie sur ses épaules et la force à plier les jambes.
« Ah ! Mon dieu, non… Ah, non, je ne peux pas… »
Monique hurle de douleur en sentant ses chairs les plus sensibles qui entrent en contact avec les dentures émoussées. Elle crie à nouveau lorsque son poids fait entrer la barre plus profondément dans la douce vallée de sa chatte. Les deux femmes ont fait cela si souvent qu’elles ne lui laissent aucune chance de se débattre ni de résister. À peine commence-t-elle à haleter sous l’horriblement douloureuse pression de la barre, que Mena pousse du pied pour faire avancer la petite plateforme et Monique hurle comme une bête alors que tout son poids s’appuie sur le mince rail en forme de lame.
Lia tient ses bras en une prise presque douce, sa langue se contente de lécher les volutes de l’oreille de Monique pendant qu’elle tient droite la jeune fille qui balbutie sa souffrance ; les deux bourrelles attendent que les premiers cris se calment.
« Là, là… Je sais que c’est vraiment douloureux, mais tu peux te reposer un peu… Bouge tes jambes… Oui, oui, je sais que ça fait plus mal encore… mais si tes orteils arrivent à trouver les poteaux… »
Les deux femmes regardent avec gourmandise Monique qui gigote et cherche son équilibre… Elle finit par réussir à placer ses pieds très écartés sur les deux poteaux de bois, et se tend sur les orteils pour soulager la terrible contrainte sur sa chatte. Satisfaite de sa position écartée, Mena installe une corde entre les bras attachés de Monique, et la lance par-dessus une grosse poutre qui traverse le coin de la cour au-dessus de la tête de la jeune fille.
« Ah, ah, Aaaaarrrhhhhh ! Non, non, Nooooon ! AAAARRRRHHH ! »
Monique crie encore plus fort lorsque Lia tend la corde, ce qui la force à se courber en avant, et à faire reposer plus encore le poids de son corps sur le rail de laiton qui la mord cruellement, avec l’une des pointes émoussées qui s’appuie sur son clitoris. Les femmes sourient, elles jouent une fois de plus avec les seins pleins de la jeune Française qui se balancent, tout en appréciant ses mouvements alors que Lia ajuste soigneusement la corde afin que l’effet de la position soit maximal.
Lorsque les femmes ont terminé, Monique Desalle lutte pour faire face à cette position diabolique, à califourchon sur la Jument de Laiton. Même si elles ne sont pas acérées, les pointes émoussées sur chaque poteau occasionnent une insupportable douleur sourde à ses plantes de pieds et ses orteils quand elle essaie de se maintenir le plus loin possible à l’écart de la barre dentée. L’écartement de ses jambes et la position de ses orteils sont tels que ses cuisses et ses mollets tremblent déjà sous la tension. Les deux femmes, qui savent exactement ce qui va se passer ensuite, se serrent la main et repartent lentement vers l’ombre de la véranda.
D’ici peu, la lente chevauchée de torture va véritablement commencer.
Lorsque la tension devient trop grande, Monique va être contrainte de s’appuyer complètement sur la barre. En quelques secondes, la douleur causée à sa chatte sera à nouveau trop forte et elle va essayer de se soulever une fois de plus sur la pointe des pieds, échangeant l’horrible douleur causée par le rail avec celle des poteaux et de ses muscles torturés. En haut, en bas, en haut, en bas, elle va chevaucher la Jument de Laiton en un flamboiement de douleur… jusqu’à ce que son pied rate le poteau…
Le soleil est ardent, tandis que l’émir et ses deux tortionnaires prennent leurs aises à l’ombre. Devant eux, la sueur coulant le long de son corps légèrement bronzé, la jeune Monique Desalle, dix-neuf ans, crie et halète sous un soleil brûlant, elle se soulève et tombe à un rythme lent mais terrible. Ses jambes largement écartées permettent à ses bourreaux de voir avec tous les détails la manière dont ses lèvres se gonflent et glissent sur la lame en laiton dentée, une lame qui luit et étincelle à présent du fait des sécrétions qui proviennent du corps de la jeune fille.
L’émir pouffe de rire et, tout en caressant Lia et Mena de ses doigts grassouillets et lisses, commente :
« C’est charmant ; une si mignonne image… »
Ces yeux sont brûlants d’excitation en regardant les lents mouvements désespérés de Monique qui monte et descend. LIRE LA SUITE






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Commentaires

Logo de Crabou
samedi 5 août 2017 à 18h23 - par  Crabou

Terriblement cruelle mais ça donne vraiment envie de voir et d’entendre la souffrance de Monique avec en arrière plan le corps de sa servante couvert de belles marques de fouet.