Ma femme mène la danse

jeudi 1er juin 2017
par  Sylvain de Perry
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Carole, Éric et moi sommes dans le grand salon.
Sur ordre de Carole, je suis entièrement nu ; elle est vêtue de son beau short de cuir bleu ultra-court qui la moule à tel point que les lèvres de son sexe sont parfaitement dessinées sous le petit vêtement. Éric porte un simple string de cuir noir sous lequel je vois son sexe long et dont l’épais gland déborde.
Carole quitte son fauteuil, m’invite :
- Viens contre moi !
Je m’approche. Dès que je suis à portée de ses bras, elle m’étreint à hauteur des reins ce qui me force à me cambrer.
Dans cette position, j’ai l’impression d’offrir carrément mes fesses à Éric, qui tient en main un martinet à trois lanières, pas très longues, très fines mêmes.
Il vient dans mon dos, pose une de ses mains longues aux doigts fins, presque féminine, sur mon cul, le caresse, alors qu’il me murmure à l’oreille :
- Offre-moi ton beau cul que je le flagelle comme il faut !
L’ignorant, je tente de me dégager des bras tentaculaires de ma femme :
- Pas le martinet, Maîtresse ! Pas ça !
Éric m’alloue deux solides claques sur le postérieur, qui me font couiner, dit :
- Ce n’est pas ta Maîtresse qui te va corriger, mais moi ! Et nous ne changerons pas d’idée. Tu auras dix cinglées.
Il se recule, puis d’un geste bref, m’envoie les trois lanières qui ne sifflent même pas, percutent mes fesses.
J’ai l’impression d’avoir été frappé par trois traits de feu. C’est bref mais je hurle :
- Ouuuuuuuaaaaaaah !...
Nouvelle volée des trois lanières, nouveau cri.
Carole a fort à faire mais elle me tient solidement.
Éric s’approche, me murmure à l’oreille, mais suffisamment pour être entendu de mon épouse :
- Alors ? Que penses-tu de ce martinet ?
Je gémis en reprenant mon souffle :
- Non !... Non !... Plus ! Ça fait trop mal ! C’est horrible !
- J’étais certain que ça te plairait…
Sa main tapote gentiment mon cul bien cambré, parfaitement offert :
- … Encore huit volées.
- No…n… Ouuuuuuuaaaaaaah !
Pas eu le temps de protester, deux nouvelles fois les trois lanières sont venues frapper mes fesses.
Éric les envoie deux par deux, laissant un laps de temps d’environ une minute entre elles. Car la douleur est horrible.
Après les dix assénements, Carole me lâche. Sanglotant je frotte mes fesses extrêmement douloureuses. Éric repose le martinet, me tend un verre empli de bourbon que j’accepte avec grand plaisir, dit :
- Ce sont des lanières en peau de chèvre, traitées spécialement…
Il récupère mon verre vide :
- … Va te mettre à quatre pattes sur le lit que je t’encule. Lire la suite




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