J’obéis à mon mari

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mardi 28 mars 2017
par  Birgitt
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J’ai 35 ans, mariée depuis 10 ans. Au fil de ces années, mon mari m’a demandé puis ordonné d’être de plus en plus sans tabou. Malgré mes réticences, j’ai accepté petit à petit d’accéder à ses désirs. Peut être parce que j’avais lu dans un hebdo analysant les horoscopes que la femme « verseau » que je suis s’accordait très bien avec le « poisson » qu’est mon mari : « cet homme là, c’est le grand magicien de vos sens, le gourou de tous vos plaisirs. Avec lui, vous plongez en plein délire mystico-érotique, vous êtes prête à toutes les complaisances ». Peut être également parce qu’il avait une très bonne situation à Paris, et que je ne voulais pas qu’il succombe à des tentations si je restais réticente à ses souhaits et que je me retrouve en concurrence avec une maîtresse.
Il avait commencé par m’ordonner de ne plus jamais croiser les jambes en privé et en public, et la première fois que j’ai oublié cette instruction assise sur notre canapé familial, il s’est approché de moi, m’a basculé brutalement sur ses genoux et m’a claqué avec vigueur les fesses, me faisant comprendre que la fois suivante ce serait cul nu. Puis un jour où j’étais sortie faire quelques courses, quand je suis rentrée dans notre appartement du 15°, j’ai trouvé un gros carton qu’il allait descendre à la cave.
— C’est quoi la dedans, tu as fais du tri ?
— oui, ce sont toutes tes culottes et soutien gorges, dorénavant je veux que tu sois toujours vêtue sans aucun dessous !
Je protestais mais ce fut inutile et du me défaire de ma petite culotte et du soutien gorges que je portais. Ils rejoignirent le reste de mes sous vêtements.
Depuis, été comme hiver, je n’ai rien sous mes jupes ou robes, mais j’ai toujours l’impression que les passants qui me regardent devinent que je suis nue dessous et cela me trouble et me fait honte. Enfin, un beau jour, ne plus croiser les jambes ne l’a plus satisfait plus, il fallait que je garde toujours les jambes ouvertes d’environ 30 cm. Heureusement la mode était aux jupes et robes un peu longues, assise au restaurant ou au bistrot, personne ne pouvait voir mon intimité.
Puis il m’a dit que cela c’était les hors d’œuvre, qu’il attendait plus de moi, que j’étais belle et qu’il fallait me montrer à d’autres. Je protestai mais sus que cela ne servait à rien. Qu’allait-il me faire ?
Quelques temps plus tard, nous sommes partis en week-end visiter des châteaux de la Loire. Le samedi soir, arrêt à Saumur où il avait retenu une chambre dans un hôtel du centre-ville. Passés la réception, la propriétaire de l’hôtel nous accompagna jusqu’à notre chambre, claire et grande, dans un décor moderne. Mon mari posa la valise sur le lit et l’ouvrit. La propriétaire ne quittait pas la chambre, nous expliquant ce qu’il y avait à voir dans cette ville réputée pour son Cadre Noir, son château, etc. Puis mon mari lui demanda de nous indiquer ses restaurants préférés, où nous irions diner d’ici une petite heure quand nous serions changés.
— Au fait, me dit il tu devrais mettre maintenant ta belle robe noire en soie, pendant que madame nous précise ses lieux préférés. A moins que ça la gêne de te voir te changer, mais dans l’hôtellerie vous devez avoir l’habitude ?
Elle répondit que ce la ne la gênait pas, tout en me regardant de manière un peu effrontée. Leur tournant le dos, j’enlevai mon pull, puis pris le temps de défaire les boutons de mon chemisier que je finis par enlever. Et leur montrais mon dos nu. Mon mari lui précisa encore que je ne portais jamais de dessous et qu’il ne fallait pas qu’elle s’en formalise.
— Dépêche toi d’enlever ta jupe, madame m’a convaincu sur le choix d’un restaurant mais il est très fréquenté, il ne faut pas perdre de temps si nous voulons avoir une table.
Je défis la fermeture éclair de ma jupe et la laissait choir sur le sol. J’étais nue, leur montrant mes fesses et j’en rougis car c’était la première fois qu’une femme me voyait ainsi.
— Allons, ne sois pas timide me dit mon mari, tourne toi pour nous montrer ton coté face !
Ce que je fis en baissant la tête, submergée par la honte en mettant mes mains devant ma chatte. Comme je tardais à enlever mes mains, mon mari s’approcha de moi, passa derrière moi et attrapa mes bras, les tenant derrière mon dos. J’étais ainsi toute exposée à la vue de la propriétaire de l’hôtel. Toujours rouge de honte, je baissais encore la tête quand mon mari me poussa vers l’avant, j’étais à portée de mains de cette femme quadragénaire.
— Vous pouvez la toucher lui dit mon mari, vous avez été très sympa avec nous, mon épouse vous fera ce plaisir.
Je sentis bientôt les mains de la femme toucher mes seins, fermes et moyens (je fais du 92 B) puis, avec effroi, mes tetons s’ériger, ce dont elle s’aperçut et s’amusa en les faisant rouler entre ses doigts. Mon mari poussa l’une de ses jambes entre les miennes et je ne pus m’opposer à ce qu’elles soient écartées.
— Vous devriez vérifier sa chatte lui susurra mon mari sur un ton très persuasif.
Retenue par ses mains, je ne pus m’opposer à un nouvel attouchement, cette fois ci sur mon intimité. Bien vite, je sentis deux doigts caresser mes lèvres intimes, les écarter, forcer un peu mon entrée intime. Je tentais de serrer les cuisses mais ne pus m’opposer à cette intromission. LIRE LA SUITE

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