L’éducation de Claire

3° et dernière partie
mercredi 8 février 2017
par  Sylvain de Perry
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Quand je reviens dans la chambre, Maîtresse Karen a quitté son short de cuir, s’est ceinte d’une ceinture de cuir avec, plaqué sur son sexe, le phallus recouvert d’un préservatif, brillant de gel et promis à mon derrière.
Elle m’ordonne :
— Allonge-toi à plat ventre sur le lit, cuisses écartées, met un oreiller sous ton ventre afin de bien me présenter ta croupe.
Je ne dis rien, prends la position commandée, pose ma tête sur l’autre coussin, l’agrippe de mes mains.
Maîtresse Karen s’agenouille entre mes cuisses ouvertes, dit :
— Cambre-toi bien !
Je la sens qui écarte mes fesses de deux doigts, puis qu’elle étale, d’un doigt de son autre main, une bonne couche de gel sur mon orifice tapi et serré au fond.
— Décontracte-toi, ma belle, sinon je vais être obligé de re-claquer ton cul pour que tu obéisses.
Je relâche mes défenses naturelles ; le doigt pénètre en moi, graisse légèrement mon intérieur avant de se retirer.
Les deux mains de Maîtresse Karen se plaquent sur mes hanches ; le gland du gode de cuir s’abouche avec mon anneau.
Léger coup de reins.
Tout en écartant mes chairs, le gode glisse dans mon antre chaud et vierge. Une légère douleur envahit mes reins. Mais… C’est supportable.
Nouveau petit coup de reins.
Cette fois le gland du gode de cuir écarte plus largement mon anneau rectal.
Malgré toute ma bonne volonté, je me contracte pour arrêter la progression du gode de cuir qui perce mon conduit. Maîtresse Karen le sent qui alloue deux claques à chacune de mes fesses.
Je me relâche, elle fait pénétrer le gland de cuir en entier en moi, je l’emprisonne en resserrant mes chairs.
Nouveau coup de reins.
Le gel gras permet une nouvelle pénétration du gode.
Centimètre après centimètre, l’effraction de mon conduit vierge se poursuit. Je crie :
— Aaaaaaah !... Maîtresse, ça m’éventre… Pas pluuuuuuus… Loin !... Nooooooon !... Arrrrrrrêtez !... S’il vous plaît !
Autant prier les murs, voire Dieu.
La lente pénétration anale continue, envahit mon intérieur, sans à coup, prend complètement possession des lieux, jamais visités à ce jour par un membre réel ou factice.
Maîtresse Karen caresse mes flancs, explique :
— Allez, ma chérie, il ne reste que cinq centimètres…
Elle opère un léger retrait stratégique, serre mes hanches avant d’enfoncer son membre factice de cuir d’un imparable et dernier coup de reins qui m’arrache un hurlement canin :
— Ouaaaaaaah !... Ouaaaaaaah !...
Maîtresse Karen, après m’avoir sauvagement éperonné, s’allonge sur mon dos, passe une main sur mon sexe, caresse doucement mon clitoris saillant.
Puis, après quatre-cinq minutes de repos, commence à se retirer de moi, ne laisse que le gland dans mon intérieur pour se renfoncer en claquant mon derrière ; son bras entoure mon ventre, sa main glisse vers mon sexe, deux doigts caressent mon clitoris saillant.
Je crie et ahane au début.
Mais sous le double assaut anal et manuel, le plaisir me gagne peu à peu.
Du coup, je vais au-devant des assauts en avançant mon derrière vers le bas-ventre de Maîtresse Karen qui m’exhorte :
— C’est bien, ma chérie. Donne-moi ton cul !... Oui !... C’est bien !... Offre-toi !...
En même temps, elle me claque les fesses avec son autre main.
La jouissance nous submerge à quelques secondes d’intervalle.
Une quinzaine de minutes plus tard, Maîtresse Karen sort le gode d’entre mes fesses, ôte la ceinture, repousse le tout au loin, prend mon visage entre ses mains, me roule une pelle ardente.
Je réponds à son baiser.
Puis elle me fait basculer à plat ventre ; ses deux mains empoignent littéralement mes fesses, les écartent. Maîtresse Karen claque sa langue contre son palais :
— C’est parfait, chérie. Aucun dommage. On pourra recommencer demain…
Je proteste :
— Oh nooooooon !... Pas déjà !... Je sens bien que c’est encore sensible, Maîtresse.
Maîtresse Karen alloue deux solides claques sur mes fesses exposées dans toute leur ampleur, rétorque :
— Justement. De cette façon, tu vas vite t’habituer à être enculée, chérie.
— Oui, mais ça fait mal, Maîtresse. C’est comme si votre gode était encore en moi alors que vous êtes sorti depuis presque dix minutes…
Je n’en dis pas plus, quatre claques percutent mon cul encore sensible après la fessée précédente. Maîtresse Karen me coupe :
— Aurais-tu envie d’une nouvelle fessée avant de dormir ?
Je me retourne afin de dérober mon derrière à ses mains, l’enlace et l’embrasse à pleine bouche.
En même temps je caresse délicatement son corps : seins, flancs, hanches, fesses.
Maîtresse Karen se laisse faire, répond avec ardeur à mon baiser, puis le rompt pour descendre sa bouche sur mon sein droit, dont elle lèche l’aréole saillante. Une de ses mains prend possession de mon sein gauche.
Ses dents serrent mon bourgeon, fortement, m’arrachent un cri.LIRE LA SUITE

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