7- Pierre, Agnès et les autres

Chapitre 7 - La confession de Sandrine -
samedi 11 juillet 2009
par  herpin
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En rentrant chez lui, la veille au soir, Pierre avait découvert sur son répondeur téléphonique un message sibyllin de sa maîtresse « Réserve ton après-midi ; je serai chez toi à 14 h 00 avec une surprise ». Connaissant la jeune femme, il ne doutait pas qu’il s’agisse d’une quelconque fantaisie érotique. Depuis six mois qu’Agnès s’était offerte à lui, le chargeant d’exploiter ses penchants masochistes, il n’avait eu qu’à se féliciter de la docilité avec laquelle elle acceptait toutes les épreuves qu’il lui imposait, même les plus humiliantes. Mais sa soumission même, lui interdisait de prendre des initiatives ; elle se voulait esclave et jouissait de son état. Quelle raison l’avait donc poussée à transgresser cette règle qu’elle avait elle-même fixée. Il en était là de ses réflexions lorsqu’un coup de sonnette l’avertit de l’arrivée de sa maîtresse. Impatient comme toujours de la retrouver, il alla ouvrir, et découvrit alors qu’elle était accompagnée de sa jeune sœur, qu’il avait déjà eu l’occasion de rencontrer. Surpris, il eut un regard interrogateur vers Agnès, qui le rassura :

— Tu connais Sandrine bien sur. Je lui ai demandé de m’accompagner, mais tranquillise-toi, elle ne nous gênera pas …. Bien au contraire, tu verras.

Revenu de son étonnement, Pierre fit entrer ses visiteuses, et en profita pour observer avec plus d’attention la jeune fille. Grande et svelte comme sa sœur, elle ne possédait pas les formes épanouies de son aînée, ayant encore conservé l’aspect un peu gracile de l’adolescence. Parvenu au salon il invita ses visiteuses à prendre place dans un canapé tandis que lui-même s’installait dans un fauteuil. Agnès reprit alors l parole :

— Si ma sœur est présente aujourd’hui, c’est qu’elle a une requête à t’adresser, mais auparavant, elle doit t’expliquer les circonstances qui l’ont amenée à te faire cette demande.

Se tournant vers sa cadette qui semblait male à l’aise, elle ajouta :

— Nous t’écoutons ma puce.

— Voilà, il y a quelques temps….

— Je suis désolée de t’interrompre, mais il me semble que nous avions convenu d’un certain préalable.

— Tu n’es pas sérieuse ; je ne vais pas….

— Mais si ma chérie, tu vas te déshabiller, ainsi que cela était prévu ; n’oublies pas qu’il ne s’agit en fait que de ta première épreuve. Si tu veux vraiment aller plus loin dans la voie que tu as choisie, tu connaîtras des moments beaucoup plus humiliants, je peux personnellement te le garantir.

Pierre, qui assistait impassible à cet étrange dialogue, commençait à penser que la surprise promise par son amie risquait d’être fort intéressante, d’autant que cette dernière poursuivait sur le même ton.

— Il est inutile de jouer les oies blanches après ce que tu m’as avoué hier, et surtout après ton comportement lorsque je t’ai fessée. Alors pas de discussion, à poil, tout de suite, ou bien tu peux partir, mais je serai très déçue.

Vaincue, la jeune fille se leva, et entreprit de se dévêtir, ce qui fut rapide, car elle ne portait qu’un jean et un tee-shirt, qui ôtés, révélèrent une adorable parure en dentelle couleur saumon qui épousait à la perfection le corps juvénile. Espérant que sa sœur se satisferait de cette tenue oh combien érotique, elle se tourna vers elle, mais ne rencontra qu’un regard sévère qui lui disait assez qu’elle allait devoir poursuivre son déshabillage jusqu’à la complète nudité. Quelques instants plus tard, son slip et son soutien-gorge avaient rejoint sur le tapis les vêtements qu’elle avait enlevés précédemment. Les mains posées à plat sur son pubis dans l’espoir de dissimuler son sexe, Sandrine se tortillait d’un pied sur l’autre, en proie à une vive émotion. Sa tourmenteuse ne lui accordant cependant aucun répit, lui intima l’ordre d’adopter la position « convenue ». Pierre se dit alors que cette scène devait avoir été prévue sinon répétée par les deux sœurs, dans le but de lui offrir un petit spectacle érotique. Et de fait il se délectait de la vision de la frêle adolescente. Celle-ci leur exposait en effet un corps tout à fait désirable. Il s’attarda notamment sur le buste dont la minceur trompeuse sous le tee-shirt, s’ornait en fait de deux adorables seins en forme de poire, terminés par deux petits tétons fièrement dressés au milieu de l’aréole. Les hanches étroites se prolongeaient par deux fesses galbées à la fermeté irréprochable. S’il n’avait fait qu’apercevoir fugitivement le sexe de la belle, il avait eu le temps de constater que rasée de près, la fente n’était surmontée que par un mince triangle attestant toutefois de la blondeur naturelle de la belle. Pendant qu’il détaillait avec gourmandise les appâts ainsi offerts, Sandrine était venue se placer à genoux, face à lui, les bras croisés dans le dos, et les cuisses largement ouvertes, dans la position classique de « présentation » de toute bonne esclave. Bien qu’humiliée par cette posture, Sandrine leva les yeux vers Pierre, et débuta d’une voix hésitante sa confession. LIRE LA SUITE


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