L’éducation de Claire
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1ère partie
Je me prénomme Claire, suis âgé de 18 ans depuis 2 mois. Je mesure un mètre soixante-huit ; blonde, cheveux courts, yeux vert, nez fin, bouche que je trouve trop large, lèvres sensuelles, menton volontaire, cou gracile, poitrine aux seins menus, que je trouve trop petits, ventre plat, sexe imberbe, je rase mes poils tous les deux ou trois jours, fesses fermes, rondes, sous mes reins naturellement cambrés, cuisses longues.
Femmes et hommes se retournent sur mon passage. Normal. Ce matin-là, je porte un chemisier blanc, largement échancré, un pantalon de cuir noir moulant dont la couture me rentre dans la raie des fesses, une veste de cuir.
Karen, ma maîtresse, m’a envoyé acheter des viennoiseries dans cette tenue.
Nous nous sommes rencontrées dans une boîte lesbienne de Saint Germain. Bien qu’elle ait vingt ans de plus que moi, j’ai été séduite par son style dictatorial, ai partagé rapidement sa couche, puis ai accepté de m’installer dans son hôtel particulier du septième arrondissement de Paris.
La serveuse de la boulangerie, qui me connaît et m’apprécie, me sert, dit :
— Quelle tenue ce matin !
— Te plaît-elle ?
— Oh oui !
— Karen t’invitera peut-être un soir.
— Avec grand plaisir.
Je sors de la boutique, sens le regard de la vendeuse sur mes fesses, me retourne, lui fais un clin d’œil coquin, regagne mes pénates.
Je vais directement dans la cuisine, prépare les cafés, dispose les viennoiseries sur une assiette.
Pendant que le café mijote, je passe dans le dressing troque mon pantalon par une courte jupe de cuir, qui s’arrête juste-juste à la lisière de mes lombes.
Quinze minutes plus tard, je toque à la porte de la chambre de Karen, entre sans attendre de réponse.
Je garde le plateau en main le temps qu’elle émerge des bras de Morphée, la salue pendant qu’elle s’assoit et cale son dos avec son oreiller, dépose le plateau sur ses cuisses, me penche pour embrasser sa bouche d’un baiser volage.
— Bien dormi, Maîtresse ?
Karen acquiesce silencieusement, prend sa tasse et déguste son café. Elle attrape un croissant, me tend l’assiette, dit :
— Sert-toi !
Je m’empare d’un pain aux raisins, le déguste debout à ses côtés.
Sa main libre vient caresser mes fesses nues, facilement accessibles. Karen s’essuie délicatement la bouche ; un de ses doigts se faufile dans ma raie, tapote doucement mon anneau rectal. Elle déclare :
— Ce matin je vais commencer son élargissement.
— Bien, Maîtresse.
Sa main quitte mes fesses, ouvre le tiroir de sa table de nuit, y furète un court instant, en sort un doigtier de cuir noir, fin, en couvre son majeur droit, prend un pot de verre, l’ouvre. A l’intérieur une sorte de crème translucide. Karen y trempe son doigt de cuir, répartit la crème avec son index gauche, referme pot et tiroir.
Elle me regarde, commande :
— Ecarte tes cuisses, cambre-toi bien !
D’une tout petite voix, tout en adoptant la position ordonnée, je dis :
Faîtes doucement, Maîtresse… S’il vous plaît. L’extrémité pourtant effilée d’un thermomètre passe tout juste.
Karen ricane :
— Ne gémis pas avant d’avoir mal. C’est aujourd’hui que commence ton éducation, tu le sais. Après cet exercice digital je te donnerai ta première fessée.
Je frémis à cette idée, bien qu’elle m’en ait parlé depuis quelques jours.
Mon ultime fessée remonte à mes huit ou dix ans…
Le doigt se pose sur mon anneau rectal, pousse pour y entrer.LIRE LA SUITE
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