Les débuts de Claire et Marie

(suite des voyous du batiment C)
jeudi 15 septembre 2016
par  Fannydeparis
popularité : 1%
10 votes

Les deux jeunes femmes enlevées et contraintes a la prostitution par le mac Moka, un gigantesque noir, musclé, membré, surtout très dominant, exigeant amène ses nouvelles recrues dans un lieu incroyable et plutôt inquiétant...
Elles sont nues à l’arrière d’un gros véhicule luxueux allemand, l’homme black installé entre elles téléphone en jouant avec la chaînette de métal chromé qui pend de leurs clitoris percés et gonflés à sa demande ...
La grosse voiture a quitté la ville, traversée quelques petits villages déserts et arrive devant une grande propriété bordée de hauts murs. Un portail impressionnant en fer forgé s’ouvre sur une large allée gravillonnée qui serpente entre de vieux arbres.
Une bâtisse se dresse au bout du chemin, cachée en grande partie par la verdure, les pelouses sont impeccablement tondues, quelques parterres de fleurs égayent l’endroit un peu sinistre en cette fin de journée de Mai 2016.
Les deux jeunes femmes enlevées et contraintes a la prostitution par le mac Moka, un gigantesque noir, musclé, membré, surtout très dominant, exigeant amène ses nouvelles recrues dans un lieu incroyable et plutôt inquiétant...
Elles sont nues à l’arrière d’un gros véhicule luxueux allemand, l’homme black installé entre elles téléphone en jouant avec la chaînette de métal chromé qui pend de leurs clitoris percés et gonflés à sa demande ...
La grosse voiture a quitté la ville, traversée quelques petits villages déserts et arrive devant une grande propriété bordée de hauts murs. Un portail impressionnant en fer forgé s’ouvre sur une large allée gravillonnée qui serpente entre de vieux arbres.
Une bâtisse se dresse au bout du chemin, cachée en grande partie par la verdure, les pelouses sont impeccablement tondues, quelques parterres de fleurs égayent l’endroit un peu sinistre en cette fin de journée de Mai 2016.
Le lourd véhicule stoppe en douceur dans un petit parking couvert de végétation a droite du grand bâtiment. Une entrée principale indique « Accueil » mais les deux jeunes femmes nues, portant leurs vêtements sur le bras, tirant chacune sa valise à roulette, sont invitées à utiliser l’entrée de service qui s’ouvre grâce a un code secret...
Les femmes ont entre les jambes la chaînette chromée qui pend et se balance terminée par les petits sextoys de plastique violet et rose ....
Heureusement elles ne croisent personne, elles suivent Moka docilement dans un dédale de couloirs. Chaque couloir a une couleur différente, un peu comme dans un hôpital, c’est immense il y a plusieurs niveaux.
Les femmes ont vu qu’il y a des ascenseurs mais le mac leur fait prendre toujours les escaliers...elles marchent devant lui cote a cote tirant leurs petites valises. Enfin les voici devant une chambre la 126 dont la large porte est vitrée, il y a un lit immense au centre et deux petits lits étroits sur les côtés.
« Voilà votre petit nid d’amour les filles, choisissez-vous un petit lit chacune, rangez vos affaires dans l’armoire, puis vous vous installerez « le spécial en anal » aidez-vous pour cette première fois, dans dix minutes je les verrouille à distance ! Gare à vous si cela n’est pas fait quand je reviens dans moins d’une heure ! »
Les jeunes femmes savent qu’il vaut mieux obéir et surtout ne pas mécontenter ce Moka homme brutal maniant parfaitement la cravache. Elles se hâtent de ranger leurs effets dans l’armoire commune ou elles retrouvent les petites tirelires rose et violette ainsi que les cravaches assorties de ce week-end d’apprentissage !
Chacune choisit l’un des petits lits étrangement bas et étroits...
Elles s’aident mutuellement a placer les petits phallus de plastique colorés dans l’orifice anal, ils pénètrent si facilement qu’elles en ont honte d’être ainsi autant ouvertes, dilatées mais le plus terrible est la tension permanente de la chaînette tirant sans arrêt sur les anneaux clitoridiens de leurs piercings...
C’est encore pire quand le verrouillage progressif se fait sans bruit mais terriblement efficace, la petite chaîne s’incruste dans les fentes féminines.
Heureusement pour elles, la tension est presque supportable quand elles sont couchées sur le côté dans la position du fœtus, mais au moindre mouvement le terrible anneau semble vouloir arracher le tendre bouton...Debout cela doit être encore pire, surtout pour marcher ou prendre des escaliers...Elles savent maintenant pourquoi les ascenseurs leur sont interdits, cet homme est vraiment vicieux et si imaginatif...!
Leurs frustrations de ne pas pouvoir jouir, de devoir en permanence se retenir pendant toutes ces horreurs qu’elles doivent subir ou pratiquer avec tous ces inconnus...ces clients ! En seulement trois jours elles sont devenues ses choses, ses putains, ses gagneuses, ses créatures dociles.
En essayant de se lever pour se rendre aux toilettes dans le fond gauche de la chambre ,Claire pousse un cri ,elle est obligée de marcher courbée en deux, en mettant le bassin vers l’avant ce qui donne une démarche des plus ridicules...
Elles se rassurent en se disant que cette pose en anale doit être très rare, puisque c’est le vagin qui doit être inviolable et l’anus parfaitement disponible et offert pour la clientèle. Comme l’a dit la dame des épilations ça sert surtout pour les punitions....normalement !
L’homme va bientôt revenir, va les libérer de cet ignoble objet diabolique et les prendre avec son énorme sexe noir toujours raide ...Elles ne méritent pas de punitions, elles ont parfaitement obéis a tous ses ordres, a toutes ses exigences, a tous ses désirs !
Au bout d’un long moment, la porte de verre s’ouvre et une femme blonde très jolie, vêtue d’un tailleur de marque se présente portant un plateau ou se trouve deux grands verres de thé glacé...L’inconnue est souriante et très élégante, elle porte des escarpins rouges et noirs de plus de dix centimètres et une chaîne fine, dorée entrave ses chevilles, l’obligeant à avancer doucement a tout petits pas... LIRE LA SUITE




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Commentaires

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samedi 7 janvier 2017 à 14h49 - par  Henic

Les pauvres filles sont bien à plaindre, c’est vrai.
Toutefois, ces passes à répétition sont un peu monotones à lire.
Le sadisme de la maquerelle est bien amené, sans doute se manifestera-t-il plus tard.
J’aime bien que l’histoire se déroule au présent : c’est plus nerveux, plus actif que l’imparfait.
Je suggère une relecture par un tiers avant de publier : le « test du couillon » présente toujours une certaine utilité pour parfaire la forme...