Enfer pour femme au Paramundo T2 2° partie

Traduction : Henic
mardi 23 août 2016
par  Henic
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Chapitre 8 – La flagellation de Cuca

La prisonnière 101 est une assistante volontaire de McTeague. Cuca n’imagine pas toute la persuasion qu’il a fallu développer pour la rendre ainsi. Mais elle est sûre qu’elle n’est jamais venue d’une bonne famille. C’est une pute, même pas honteuse de sa nudité, qui s’expose ouvertement à McTeague, lui donnant toute occasion et encouragement de la caresser et de l’utiliser.
C’est quelque chose que Cuca ne fera jamais, elle en est absolument certaine.
De temps en temps, les mains baladeuses de McTeague caressent le corps de 101, mais c’est machinal, sans y penser. Il est trop occupé par Cuca.
Cuca elle-même a été rattachée à la chaîne du plafond et elle est une fois de plus debout sut la pointe des pieds, avec les muscles des mollets sous tension. Son visage est toujours éclaboussé de manière humiliante par la jouissance de McTeague, un peu étalée là où le gros homme a eu quelques difficultés à lui placer un anneau-bâillon dans la bouche.
A présent, les mâchoires de Cuca sont très douloureusement écartées, l’anneau d’acier du bâillon logé derrière ses dents et tenu en place par deux lanières de cuir, l’une faisant le tour de sa tête par-dessus ses oreilles, et une en-dessous. Elle ne peut l’en déloger.
101 se tient à côté d’elle, elle fait le planton, courant rapidement et toujours trop volontairement, pour chercher tout ce que McTeague demande.
Il s’agit d’abord d’une paire de forceps aux extrémités dentelées. Avec ça, il pêche dans sa bouche involontairement ouverte et saisit sa langue, refermant le forceps autour de la douce chair, et la bloquant très serrée, ce qui est atrocement douloureux.
Puis c’est un morceau de ficelle. Pendant que 101 prend le forceps et tire dessus pour sortir la langue de la bouche de Cuca, McTeague fait plusieurs tours de ficelle autour de la langue puis la noue en place, bien serrée.
Négligeant les plaintes de Cuca, il passe le long morceau de ficelle restant par un crochet au plafond de la chambre. En réalité, il n’est pas si habile qu’il aurait pu l’être, ou bien il s’amuse, parce qu’il s’y reprend à trois ou quatre reprises pour placer la ficelle sur le crochet. A chaque fois, la langue de Cuca se sent comme proche de l’arrachement de sa racine.
Mais il finit par y arriver et tire sur le bout libre de la ficelle jusqu’à ce que Cuca soit aussi étirée que possible et que sa langue soit douloureusement tirée hors de sa bouche.
Après cela, 101 apporte une grande longueur de ce qui paraît être du fil électrique souple. Cuca ne voit pas bien ce qui se passe ; sa vue est principalement orientée vers le plafond. Mais elle voit le fil lancé vers le haut et se boucler autour du même crochet. Cette fois, il y parvient du premier coup.
101 apporte des pinces. Cuca se tend pour voir, et le voit enlever une douzaine de centimètres de protection autour du fil qu’il dénude. Puis il enveloppe les brins dénudés autour de sa langue et les fait tenir comme il faut avec les pinces avant de les écrêter soigneusement.
Puis vient la corde et Cuca s’agenouille pour l’attacher autour de chacune des chevilles de Cuca. McTeague tire d’abord la cheville gauche d’un côté, écartant les jambes de Cuca, et attache la corde à un anneau.
Puis il fait la même chose de l’autre côté.
Lorsqu’il finit, Cuca est en train de hurler. Il a déjà étiré sa langue aussi loin que possible lorsqu’elle était debout avec les jambes côte à côte. Mais avec les jambes écartées, c’est trop loin, c’est certainement trop loin...
Mais McTeague ne le pense pas. Et la langue de Cuca ne se déchire pas, donc il a peut-être raison. Mais Cuca ressent durement sa langue tirée à l’extérieur, son cou tendu à l’extrême, son dos disloqué, les muscles de ses jambes tendus à la limite. Et ses orteils lui font mal.
Tout cela est un confort bienheureux comparé avec ce qui lui arrive ensuite.
101, toujours serviable, court de droite à gauche, ses seins pendouillent, ses cheveux flottent derrière elle, ses hanches se balancent, et ses pieds nus claquent sur le dallage du sol. Elle branche le bout du fil électrique dans une boîte noire sur un support sur le côté de la pièce. De manière inquiétante, un câble part de là et va vers une prise électrique dans le mur. Elle court ensuite vers un autre fil électrique.
Et au bout, il y a un long fouet à une seule lanière. Un fouet avec une extrémité en métal nu.
Cuca a cherché à voir ce qui va se passer. Elle a des soupçons mais ne croit pas que l’on puisse être si cruel.
Est-ce possible ?
McTeague ordonne :
« Tourne environ d’un quart de tour. Cent volts pour commencer. La gamine n’a pas l’habitude. Et je suis un mec du genre gentil. »
Toujours serviable, la prisonnière 101 tourne sur le panneau de contrôle, puis se retourne pour voir ce qui se passe.
McTeague lance son bras en guise d’essai, une ou deux fois, puis fait claquer le fouet sur le corps de Cuca avec ce qui semble à cette dernière la pleine force de son bras musclé.
Elle n’a jamais auparavant été frappée par quiconque. Et bien sûr, pas fouettée. Est-ce que McTeague est vraiment un type aussi gentil pour faire ça au corps doux et souple d’une jeune fille complètement innocente et inexpérimentée ?
Parce que dès que le fouet est entré en contact avec le corps de Cuca – qui est couvert d’une fine couche de transpiration résultant de son supplice d’étirements excessifs -, une étincelle bleue sort du bout du fouet et attaque la chair de Cuca.
Le fouet lui-même, avec son extrémité métallique, fait mal, mais l’impulsion électrique sur sa longueur est épouvantablement douloureuse. La charge passe à travers son corps de sa langue à son ventre et elle pousse un cri inhumain sur un ton plutôt bas.
Gentiment, McTeague grimace et dit :
« Tourne encore, 101. Sur la marque des deux cents. Ça l’a juste chatouillée. »
« Chatouillée ! » Pense Cuca. « C’est atroce ! »
Elle tremble de tous ses membres.
« Il ne faut pas que ça se reproduise. S’il vous plaî-aî-aî-aît ! »
Mais elle voit du coin de l »œil la tête muselée de la prisonnière 101 qui se penche sur la boîte noire. Elle voit ses longs doigts qui manipulent le cadran. Elle la voit qui se tourne pour regarder, ouvrant les jambes aussi largement que le lui permet la chaîne de ses chevilles, atteignant derrière l’anneau de métal entre ses cuisses, et écartant les lèvres de sa chatte.
Le fouet frappe derechef, juste sur ses seins, entrant profondément dans la chair tendre. La secousse électrique la pique à travers les tétons, et court dans tout son corps. Elle saute, ses orteils quittent le sol, la chaîne de son cou l’étrangle, les liens de sa langue se resserrent encore.
Combien de temps cela va-t-il durer avant qu’elle ne meure ? Cuca sait qu’il va la tuer, c’est la seule fin possible de tout ceci.
Mais elle ne meurt pas. Elle peut le souhaiter à chaque fois que l’étincelle se propage à travers ses tétons, à chaque fois que la mèche encercle sa taille et que l’éclair bleu lui déchire le ventre. Le fouet lui-même la découpe, laissant des marques rouges et violettes pour révéler sa trace sur sa peau claire. Mais les chocs sont douloureux comme des épines de souffrance plantées en elle, comme des barbelés, du fait de l’électricité qui s’interrompt à peine car le coup de fouet suivant la prend sur la cuisse, la hanche, le ventre, la chatte.
Chaque fois que les pattes épineuses courent dans on corps, elle saute en l’air, se faisant mal au cou, à la langue. A chaque fois, elle transpire plus, ce qui renforce la conduite de l’électricité et la charge la frappe encore plus fort tout au long de son parcours.
Combien de coups ? Elle n’en a pas idée. Elle est hystérique, elle gigote frénétiquement, elle se tord et se tortille et danse de douleur. Les étincelles craquent et claquent tout autour d’elle.
Et que fait McTeague ? Une fois, il ordonne à 101 d’augmenter la charge toujours plus. Puis il s’occupe de la flageller.
Que fait 101 ? Elle se doigte, appréciant ouvertement le spectacle donné par sa compagne d’infortune, la prisonnière 73, Cuca Cela de Monterey, qui souffre d’un assaut par un monstre qu’elle n’a pas provoqué.
Et presque soudainement, c’est fini. McTeague s’arrête, découpe le fil électrique et la ficelle de sa langue et décroche son collier de la chaîne du plafond.
Cuca s’affale par terre. Elle tremble de partout, son corps est pris de convulsions avec des frissons qu’elle ne peut arrêter.
Mais ce n’est pas vraiment tout.
Il semble que McTeague ne s’est pas arrêté pour lui plaire. Il a stoppé parce qu’il a eu tant de plaisir à la torturer qu’il est sur le point de jouir.
Il s’agenouille près de la forme prostrée, sa grosse queue enjolivée d’anneaux et de bijoux se dresse près du visage de Cuca. Elle essaie de se détourner pais il l’agrippe par les cheveux et tourne sa tête vers le haut. L’anneau-bâillon est toujours dans sa bouche, le fil et la ficelle coupés sont toujours autour de sa langue. La prisonnière 101 est à genoux à côté de McTeague, en train de lui pomper le nœud en le pointant vers son visage. En quelques instants, il jouit et projette des flots de sperme blanc sur son visage et, grâce à l’attention de 101, dans sa bouche LIRE LA SUITE

Sommaire de la 2° partie
Chapitre 8 La flagellation de Cuca 2
Chapitre 9 Edmundo montre ses compétences spéciales 5
Chapitre 10 La poitrine de Cuca 8
Chapitre 11 Angelita au palais 14
Chapitre 12 Danielle 23
Chapitre 13 Ronnie le Pointeur 29
Chapitre 14 Danielle est confiée à Felipe 37




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