Christophe

2° partie
mardi 5 juillet 2016
par  Sylvain de Perry
popularité : 1%
8 votes

Je n’eus plus de nouvelle de Christophe pendant une quinzaine de jours après cette nuit de massage-fessée.
Je me gardai bien de le contacter tant par mail que par téléphone. Certes il me plaisait bien, mais ce n’était pas à moi de le relancer.
Finalement je reçus un sms sibyllin : « Bonjour Maestro. Si tu m’offres un verre, je peux être chez toi dans dix minutes. Bises. Christophe. »
Je réponds de la même façon : « Bonsoir Jeune Homme. J’accepte de te recevoir, mais après un tel temps de silence, attends-toi à une sanction. Bises. Maestro. »
Mon épouse et nos deux filles sont encore en vacances pour un bon mois, ce qui explique ma totale liberté, hormis mes occupations d’ingénieur consultant.
Je sors deux verres, jus de fruits et whisky.
La sonnette de l’entrée m’appelle.
J’ouvre le battant, Christophe me sourit, vêtu d’un pantalon assez moulant et d’une chemise bleue.
Je m’efface afin qu’il pénètre dans l’appartement, ferme la porte, fait face à l’arrivant qui me fixe sans bouger, bouche entrouverte, un grand sourire sur le visage.
Je reste impassible, me contente de lui dire :
— Ne reste pas planté là, bêtement, ton verre va s’impatienter.
Sa surprise n’est pas feinte. Christophe opère un quart de tour ; sans même que j’y réfléchisse, ma main vole et alloue une solide claque à son cul. La légèreté du pantalon, on est en plein été, me fait comprendre qu’il n’a même pas mis de slip, peut-être un string ?
Il s’avance vers la petite table, se sert un verre de jus de fruit, va s’asseoir dans le même fauteuil qu’il occupait il y a une quinzaine. Déjà ?
Après m’être servi un verre, je m’assois dans mon fauteuil, lui demande :
— Quelles nouvelles ?
— C’est simple : je dispose de trois jours de liberté, j’ai envie de les passer avec toi. On fera ce que tu voudras, on ira où tu choisiras d’aller. Point barre.
Je reste impavide, sans même esquisser un sourire, rétorque :
— Et si je ne suis pas libre ?
— Je finis mon verre et m’en vais.
— Bigre !
Christophe insiste :
— Alors ?
Je décide de lâcher du lest :
— Comme te l’ai écrit tout à l’heure dans ma réponse, ton silence mérite une sanction. Après celle-ci, on décidera ensemble de ce que l’on fera.
Christophe quitte son fauteuil, pose son verre sur la table basse, ôte chemise et pantalon, m’offre son corps nu, m’invite :
— J’accepte ma punition, quelle qu’elle soit. LIRE LA SUITE





ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
- d’accéder à la galerie photos privée de RdF.

(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 2 fois seulement)

Allopass Solution de micro paiement sécurisé
Secure micro payment solution
Pour acheter ce contenu, insérez le code obtenu en cliquant sur le drapeau de votre pays
To buy this content, insert your access code obtained by clicking on your country flag

Commentaires