Anne-Marie

par Darms
vendredi 17 juin 2016
par  Jeanne Franval
popularité : 1%
9 votes

Chap. 1 La découverte page 5
Chap. 2 L’éducation page 7
Chap. 3 La famille s’agrandit page 17
Chap. 4 Le voisin bienveillant page 25
Chap. 5 L’Union Éducative pour le Développement Moral page 58

Chapitre 1 La découverte
En entrant dans ce bar ou elle avait pris rendez vous, Anne Marie avait le coeur battant. Elle ressentait comme toujours l’excitation de l’inconnu, habituée qu’elle était à ces 5 à 7 ou elle prenait un plaisir intense et sans lendemain. Son mari, depuis sa grave maladie, ne lui apportait plus ni l’affection ni les soins dont elle avait impérativement besoin. De fait, avec son consentement et sa complicité, elle avait pris l’habitude de rechercher par Internet les relations dont elle avait besoin.

Rarement ses partenaires acceptaient une relation physique dont son mari serait le témoin, si bien que, de plus en plus, ses rencontres se passaient à l’extérieur. Elle avait pris l’engagement d’en parler à son mari et de tout lui raconter, ce qui lui donnait l’impression de lui appartenir encore et d’une certaine manière, la rassurait. D’ailleurs elle portait toujours, pour se rendre à ces rendez vous, le collier de métal marqué de ses initiales et avait avec elle son portable qu’elle pouvait négliger d’éteindre après avoir appelé la maison. Patrick, son mari, était ainsi en contact ou pouvait « entendre » ses ébats sur la messagerie. Elle attendait de ses partenaires un rapport rapide, sans préliminaires, elle ne voulait que la peau, l’odeur et le contact physique de l’homme, sentir un sexe en elle, ce qu’elle préférait à un accessoire, mais surtout avoir été pendant un temps très court successivement l’objet de désir, l’objet de possession et le résidu du plaisir d’un homme.

Ainsi se déroulait sa vie depuis un certain temps, depuis cet accident cérébral qui avait laissé son mari vide de toute expression, vide de tout désir, excepté un sentiment de culpabilité vis-à-vis de cette femme qui partageait sa vie et, de peur peut être de la perdre, lui avait laissé prendre ces dispositions. Car Anne Marie et Patrick avaient eu une vie riche et bien remplie.

Tous deux enfants de militaires, ils s’étaient connus en Allemagne au hasard des casernements. Patrick n’avait pas de frères ni soeurs et avait été élevé dans un foyer où le père régnait en maître absolu. La nuit, parfois, il entendait depuis la chambre de ses parents des bruits sourds, des cris étouffés qui l’inquiétaient un peu. Le lendemain sa mère portait des marques, avait du mal à s’assoir mais elle expliquait toujours être tombée ou s’être blessée et d’ailleurs, l’amour manifeste qu’elle portait à son père dans ces moments ne conduisaient pas au doute. Son père ne pouvait être ce monstre qui aurait fait souffrir sa mère. Bien sûr, il y avait ces photos Polaroid qu’il avait trouvées un jour par hasard dans le garage : une femme, vue de dos montrait les zébrures de marques de fouet, un sexe glabre en gros plan était pénétré par un bras, des seins présentaient des marques de brûlures. Il avait alors été pris d’un émoi intense, son sexe dur lui faisait presque mal et, profitant de la solitude du moment, il s’était agité sur sa verge si bien qu’un spasme intense l’avait surpris, ainsi qu’un peu de liquide sortant de son sexe. Il avait ensuite ressenti un soulagement étrange. Il avait tout remis en place soigneusement, conscient qu’il risquait une bonne correction s’il posait des questions. Mais il avait pris l’habitude de retrouver cette boîte, de rechercher les nouvelles photos (la boîte s’emplissait régulièrement) et de finir par se soulager. Il n’avait parlé de cela à personne, sauf à Anne Marie, la fille de ses voisins, qui lui avait demandé aussitôt de les lui montrer. Il s’y était d’abord refusé, mais elle avait su trouver les arguments en lui jurant de n’en parler à personne et même en lui promettant de lui montrer, elle, et pour de vrai, ses petits seins en remerciement. Le garçon qu’il était se trouvait partagé entre la prise de risque que représentait le partage de ce secret et la curiosité qu’il avait. D’un autre côté, il redoutait sa réaction à lui lorsqu’il aurait sorti les photos en présence d’Anne Marie. Aurait-il à se retenir et souffrir pendant tout ce moment, ne risquait-elle pas de s’apercevoir de son état anormal à ce moment ? Finalement elle avait enlevé l’affaire en changeant de stratégie et en le menaçant de tout dire s’il ne lui montrait rien. Devant la menace, il avait cédé.

Ils s’étaient trouvés un après midi seuls tous les deux, son père en manoeuvre et sa mère chez une amie. Il avait conduit Anne Marie au garage. Elle était vêtue d’une petite robe à fleurs que sa poitrine commençait à tendre et qui était un peu courte pour ses jambes, attendu qu’en plus elle n’était pas avare de positions où l’on pouvait accidentellement voir sa petite culotte. Avec beaucoup de précautions, ils entrèrent dans le garage, ouvrirent l’armoire à outillage et sortirent la fameuse boîte. Patrick avait remarqué le visage d’Anne Marie rose jusqu’aux oreilles et une curieuse lueur dans ses yeux. Avant de sortir les photos, il l’avait bien prévenue de n’en rien dire à quiconque et lui avait demandé de tenir aussi sa promesse, ce à quoi elle avait acquiescé sans discuter et même avec un petit sourire prometteur. La première photo était maintenant sous la lumière de la lampe de poche qu’ils avaient prise avec eux laissant le garage dans la pénombre. Ils se trouvaient tous deux, visage contre visage à contempler un corps allongé sur un lit, les bras écartés et une grosse bouteille de bière plantée dans l’anus. Suivit une autre image, sur le dos, on ne voyait pas le visage, mais on remarquait les pinces qui tiraient sur des têtons aux auréoles brunes et larges. Anne Marie était à côté de lui, il sentait son odeur et son souffle qui, lui semblait-il, prenait la même cadence que le sien. Elle était manifestement dans le même état que lui, d’ailleurs elle avait passé une main dans sa petite culotte et cachait mal qu’elle se caressait à cet endroit.

A la vue de ce spectacle Patrick avait été surpris. Il avait osé lui demander de montrer à son tour. Anne Marie s’était alors levée et avait lentement ouvert sa robe qui, tombant à ses pieds, l’avait laissée dans sa petite culotte. A l’aide de la petite lampe, il avait pu détailler ses seins aux pointes proéminentes, comme deux petits obus. Anne Marie, sûre de son effet se passa la main dessus et en saisit les bouts et les tira un peu. Remontant sa culotte, on devinait son sexe et Patrick remarqua qu’elle était toute humide. Il ne put se retenir lui aussi de sortir son sexe, tout dur depuis un certain temps déjà, et de le caresser devant Anne Marie qui n’en était pas gênée. Elle aussi, son ventre lui faisait mal. Elle descendit sa culotte, laissant voir un petit abricot glabre d’où sortait un petit bout de chair rose et luisant. Elle le toucha, le prit entre deux doigts et se mit à le pincer, se procurant à la fois douleur et plaisir. Ils se souviennent encore tous les deux de ce moment et de leur plaisir qui est monté ensemble et qui a scellé leur couple sans même qu’ils s’en doutent.

Ils se sont retrouvés souvent autour de la boîte de photos, ont failli quelques fois être surpris, heureusement jamais par le père qui aurait certainement sévi devant autant de débauche. Ils étaient de plus en plus curieux de ces photos, qui devenaient de plus en plus suggestives. Toujours des gros plans, mais des positions de plus en plus dures, des liens de plus en plus serrés, les marques de cigarettes étaient plus profondes, le sexe de la femme était maintenant orné de deux boucles qui sustentaient des poids énormes. A la vue de ces images, Anne Marie devenait de plus en plus excitée, elle avoua même qu’elle aimerait bien essayer pour voir disait elle. Patrick se demandait comment, mais il envisageait bien de donner suite à ces demandes.

La vie s’écoulait. Le père avait entrepris l’éducation de son fils, discipline et sport, travaux de jardinage et hygiène militaire. Le jour de ses dix-huit ans, il eu le droit de « boire une bière » et son père le prit à part pour « parler femmes » disait-il.

Il prit un air solennel pour lui expliquer la vie, le sexe et le couple et lui rappela son grand principe :

« Si elle ne veut pas de toi quand tu en as envie, n’hésite pas, force-la. Elles aiment toutes être bousculées et ne connaissent qu’une chose, obéir à leur maître ».

Il eut d’abord du mal à se faire à ce principe bien qu’il s’imaginât facilement le confort d’une telle situation. Puis vint cette mission de son père en Bosnie. Avant de partir il avait réuni sa famille et solennellement remis le commandement du foyer à son fils, expliquant qu’il aurait le devoir de le remplacer en tout et il insista sur ce point, particulièrement avait-il dit, pour le cas ou il ne rentrerait pas. A ces mots, sa mère se jeta dans les bras de « ses hommes » comme elle disait et les étreignit avec ferveur.

Trois semaines s’étaient écoulées, aucune photo n’était venue compléter la boîte. Patrick avait la charge du foyer, sa mère lui demandant l’autorisation pour les dépenses du ménage, ses sorties qu’elle justifiait comme elle le faisait à son mari. Un soir, rentrant du lycée français où il était inscrit, il trouva sa mère en pleurs, on venait de lui annoncer que son mari ne rentrerait pas de sa mission. Elle prit son fils dans ses bras et lui rappela les mots du défunt avant de partir « Maintenant tu es l’homme ! ». LIRE LA SUITE

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Commentaires

Logo de Henic
mercredi 29 juin 2016 à 18h11 - par  Henic

A réserver aux amateurs d’inceste et de SM hard.

Logo de AngeM78
dimanche 19 juin 2016 à 12h49 - par  AngeM78

Texte introductif bien écrit et prometteur donnant envie de lire la suite.

On a hâte de découvrir l’histoire de ce couple (fils et fille de militaires français basés en Allemagne).