Nymphéo, moi ?

vendredi 3 juin 2016
par  Fatum
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J’ai toujours aimé le sexe, depuis mes seize ans. Trop, sans doute. Mes premières expériences qui datent de cette époque furent loin d’être des réussites. De jeunes gamins, sans aucune expérience, mais qui étaient convaincus qu’ils me feraient tout découvrir. Ce qui était loin d’être le cas. Mes premières jouissances, je ne les dois qu’à moi-même, et elles furent nombreuses. Je vivais avec ma mère qui avait divorcé, puis avait trouvé un compagnon de fortune que je ne supportais pas. Je décidai alors de quitter le giron familial, mais dus attendre mes dix-huit ans pour le faire. J’avais à cette période connu quelques garçons, plus âgés que les premiers, et découvert combien le sexe pouvait êtres gratifiant.
Depuis quelques mois, je vivais avec le dernier d’entre eux, dans la villa de son père et de son grand-père, veufs tous deux. Je négligeai alors mes études après avoir décidé de chercher un travail. Mon nouvel ami, Julien, était un très gentil garçon, mais il avait du mal à me satisfaire.
Grand et mince, je m’étais habituée à lui, espérant trouver un jour et pour longtemps cette fois, les plaisirs que je recherchais.
Je les découvris par hasard. Julien, obligé de participer à un stage de formation, dut s’absenter durant une semaine. Une semaine qui décida de ma vie. Marc, le père de Julien, était un homme grand, vivant pleinement ses quarante-deux ans. Je ne sais quel était son métier, mais il me parut fort bien se débrouiller. Son père, lui, âgé de soixante-trois ans, et pensionné, vivait à nos côtés, discrètement. Mais il fut le premier à profiter de l’absence de Julien. Un matin où je me retrouvai seule avec Charles, c’était son nom, dans la grande villa où nous vivions, il vint me trouver et de but en blanc me demanda si je voulais bien lui faire une fellation. Il était encore vert pour son âge, et je fus stupéfaite de l’entendre. Il parvint sans trop de mal à me persuader : émoustillée par une étrange envie de découvrir quelque chose de neuf pour moi, je marquai mon accord. Il laissa alors tomber son pantalon et me présenta une verge encore bien tendue
« Ne crains rien, je ne te ferai pas de mal. Mais suce moi, et si possible avale tout »
Je saisis le sexe qu’on me présentait, et m’appliquai à découvrir un plaisir totalement neuf. J’aimai cette étrange sensation : elle me faisait découvrir l’impression de dominer mon partenaire, et en fus récompensée. L’éjaculation me surprit, mais je m’y étais préparée et pus savourer le goût nouveau pour moi du sperme.
Pendant tout le stage de Julien, j’étais seule avec les deux hommes qui composaient sa famille. Marc, eut vent de ce qui s’était passé, car bien évidemment Charles s’était empressé de lui raconter le plaisir avec lequel je lui avais accordé une fellation. Mais Marc avait d’autres ambitions. Le soir même, il vint me trouver dans ma chambre et me dit :
« Ma chère Tessa, Charles vient de me raconter ce qui s’est passé. J’estime avoir comme lui droit à une compensation. Depuis quelque temps, tu vis à nos frais, et cela mérite un effort de ta part. Je ne te demanderai pas une fellation. D’autre part, je préfère laisser à mon fils la priorité sur l’emploi de ton vagin. Reste ton cul, que j’entends bien me réserver. Mais je ne veux pas te faire mal, et te propose de préparer ton anus à mon offensive. Tu vas donc durant trois jours porter dans ta petite ouverture ce bel engin, et quand tu seras prête, je pourrai t’enculer sans trop te faire souffrir. »
Il me montrait un étrange objet de caoutchouc qui avait la forme d’une banane. Je ne pus m’empêcher de rougir, mais l’idée de me laisser enfiler par cet impressionnant bijou m’empêcha de refuser son offre. Une heure plus tard, je me promenais sodomisée par ce qu’il appelait un gode. Le jouet était fixé dans mon cul grâce à quelques courroies, et la sensation, toute étrange qu’elle était, me faisait mouiller. Charles s’en aperçut et me dit
« Je m’en doutais un peu, mais je viens d’en avoir la preuve. Tu es bien une petite salope, et je compte bien en profiter. Tu aimes, c’est évident maintenant, tout ce qui a trait au sexe. Eh bien, il se fait que j’ai comme amie une jeune femme qui très certainement se fera un plaisir de t’engager. Et tu auras ainsi trouvé un travail qui te conviendra. Je lui passerai tantôt un coup de téléphone, et demain nous irons te présenter à Sarah, cette amie que j’en suis certain tu vas adorer. En attendant, habitue toi à porter ce gode dont la vue ne manquera pas de réjouir ta future patronne. »
J’étais réjouie par cette nouvelle, mais je connus une nuit difficile. Marc avait attaché mes poignets pour m’empêcher de déplacer ou même retirer l’engin qui m’élargissait la rosette. Je fus heureuse quand au petit matin Marc vint me réveiller
« Allons, Tessa, lève toi vite. Sarah nous attend ce matin, avant l’heure d’ouverture de son magasin. Il est neuf heures. Dépêchons-nous d’y aller, car elle ouvre à midi. »
Un peu plus tard, nous sommes arrivés dans un quartier perdu de la capitale devant un petit magasin aux couleurs roses et qui s’appelait
« Purple love » En vitrine, de la lingerie féminine : bustiers, slips, soutiens et gaines. Marc donna un coup de sonnette et une femme vint ouvrir. Elle devait avoir moins de quarante ans ou du moins le paraissait. Elle avait des cheveux noirs avec de ci delà quelques cheveux gris, un visage souriant mais des yeux foncés, des lèvres charnues ornées d’un rouge flamboyant. Elle serra les mains de Marc et l’embrassa du bout des lèvres. Puis, se tournant vers moi
« Voilà donc la petite merveille dont tu m’as parlé. C’est vrai qu’elle est mignonne. Mais dis-moi, ma beauté, quel âge as-tu ? »
Intimidée quand même, je bredouillai un pénible
« Dix-huit ans, madame, pour vous servir »
J’eus droit à un sourire. Elle se tourna alors vers Marc
« Rentrons. Nous serons mieux à l’intérieur pour discuter de Mademoiselle »
Une fois à l’intérieur, je compris très vite dans quel piège m’avait attiré Marc. LIRE LA SUITE




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