21- Scène et giton

jeudi 14 avril 2016
par  calingiton
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Personnages : Axel Philippe La mère

Quand je les rejoins, ils sont tous les deux en grande discussion. Echanges qu’ils abandonnent immédiatement pour m’admirer, dans une longue robe fourreau noire fendue jusqu’au haut de ma cuisse. Je suis évidement entièrement nue dessous. Mais c’est sans aucun doute le haut de ma robe retenue sur une épaule, qui affole le plus mon « mari ». Le décolleté en goutte d’eau découvre quasiment la totalité de la masse de mes deux seins siliconés. L’effet sur Philippe est immédiat, il abandonne Axel pour me saisir par la taille, lui dans le plus simple appareil.
Je fais mine de ne rien remarquer de l’excitation qui le submerge et joue parfaitement l’inquiète :
― Pour Axel, ce ne sera pas trop provoquant sa tenue devant vos amis ?...
Alors que ma robe très suggestive est un véritable appel au sexe.

J’enserre la taille de Béatrice et plonge mon regard dans son décolleté très audacieux. Je lui réponds, très satisfait de leurs tenues respectives.
― Non, ça devrait aller. Mes amis sont comme moi, ils aiment les belles choses. Ils seront ravis de découvrir mes deux nouvelles trouvailles.
Et je continue sur le même ton, en jetant cette fois mon dévolu sur mon giton.
― Mais c’est vrai qu’Axel est très sexy comme ça. Je suis sûr qu’il n’aura aucun mal à séduire mes amis.
Puis de nouveau à elle :
―Quant à toi ma belle, j’ai rarement vu une salope aussi élégante. Tu vas me faire honneur ce soir. J’apprécie beaucoup.
Je lui flatte les fesses.
― J’y pense. Il va falloir rebaptiser cette petite fiote. On ne peut pas continuer à l’appeler Axel !

Dans les bras de Philippe, je me mets à roucouler de petits mots d’amour en le lui tendant mon buste parfait. Je suis littéralement conquise, subjuguée par cet homme, ce mâle plutôt, qui me transcende littéralement. J’ai encore beaucoup de mal à réaliser ce qui m’arrive. Que je vais sans doute partager l’existence de cet homme. Avec mon fils. Un fils que je ne reconnais plus sous les traits de cette petite poupée asexuée et asservie que j’ai devant moi.
Nuque tendue vers mon mâle, mon Dieu maintenant, mes seins plaqués contre sa poitrine, les reins cambrés sous sa main, je n’ai qu’un nom qui me vient immédiatement à l’esprit. Celui d’une fille que j’ai rencontrée l’été dernier dans un club libertin et sado-maso au Cap d’Agde : Le Clair Obscur. Une fille complètement asservie à son Maitre, dont le physique terriblement androgyne me fait immédiatement penser à Axel.
― Laïka… J’ai pensé que cela lui irait bien. Cela fait un peu chienne, non ?

Béatrice minaude, se frotte à moi, me faisant sentir sa généreuse poitrine. Sous ma main je sens ses fesses remuer, pour se proposer à mes caresses et me faire sentir son absence de culotte.
Je vois dans le regard d’Axel une lueur de jalousie mais il ne bronche pas, sans doute par crainte de soulever la colère de sa mère s’il ose un geste ou une réflexion déplacée.
― Laïka ? Mais c’est mignon tout plein. Ca rappelle en effet le nom de chienne bien connue. Ça lui ira parfaitement.
Puis m’adressant à lui :
― Qu’est-ce que tu es d’autre après tout, hein ?

Je réponds sans attendre au Maître, car il faut surtout lui montrer mon engagement total à satisfaire ses moindres désirs.
― Bien sûr Maitre, je suis votre chienne, votre petite salope.
Je baisse les yeux, désireux de montrer ma totale soumission. Et puis, surtout, je ne peux plus supporter le comportement impudique de maman. J’éprouve même une sorte de honte d’assister ainsi au spectacle obscène de ma mère face à cet homme dont elle s’est complètement amourachée. J’ai le sentiment que je ne compte plus pour elle, et qu’elle peut tout se permettre comme si je n’étais plus rien à ses yeux. En tout cas plus son fils. Comment pourrais-je l’être encore en l’écoutant me proposer ce nom qui me rappelle trop celui d’une chienne. Comment maman peut-elle avoir encore des sentiments maternels pour un fils qu’elle baptise Laïka ? Et pourquoi ce gênerait elle avec moi qui n’est pas plus de valeur qu’un petit animal de compagnie ?

Je claque un peu le cul de Béatrice, pour bien lui montrer que ce postérieur dodu est à moi maintenant et que j’en dispose comme bon me semble.
― Tu entends ça Béatrice ? Ma petite chienne est d’accord. Alors ce sera Laïka. Les choses sont dites.
Je lui désigne le sol devant nous, en enlaçant sa mère.
― Allez Laïka, montre-nous que tu es une gentille petite chienne. Vient à mes pieds me les lécher. LIRE LA SUITE

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