Marâtre noble devenue esclave et sauvée par un gentleman

lundi 15 février 2016
par  FRANKIE
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Suite fantasmée du récit « La Marâtre » écrit par Marsajean en 2007

Oui, chienne soumise et docile, léchant sa belle-fille entre les cuisses, c’est ce que j’étais devenue au bout de quelques mois, mais ce fut selon une évolution assez lente, Claire semblant se contenter de jeux « innocents », mais qui cachait en fait un désir de prendre possession de sa marâtre, corps et âme et surtout allant jusqu’à la possession pleine et entière de ses biens !
Tout d’abord, les manigances se déroulaient le soir à la fin du diner, où étaient mon mari, Gérard et Claire à table alors que moi en tenue de soubrette je terminais la vaisselle à la cuisine. Donc, Claire, laissant son mari et son frère continuer leurs discussions souvent politiques ou économiques qui ne l’intéressait pas, venait me chercher, et d’un grand sourire m’emmenait en passant par la salle à manger, en disant aux 2 hommes « nous allons toutes les deux continuer tranquillement la soirée dans ma chambre avant de nous mettre au lit, car nous avons bien travaillées » Pris par leurs discussions, mon mari et son fils nous disaient vaguement bonsoir.
Arrivées dans le couloir menant aux chambres, Claire , tout en marchant, me faisait enlever ma robe, mon sous-tif et ma culotte ; puis, à sa chambre, elle me faisait entrer de suite et me poussait sur son lit, et là, sous sa conduite, je devais la contenter en léchant ardemment son minou, puis me faisant me mettre à 4 pattes exigeait que je lui broute l’anus, et en général la partie se terminait par un léchage appliqué des 2 seins ; je me laissais faire, me rendant bien compte de l’incongru de la situation : la belle-mère donnant du plaisir à sa belle-fille ; en fait mon mari ne me touchant pratiquement plus, cela me permettait de compenser les frustrations sexuelles emmagasinées depuis des mois. Et ce laissé faire de ma part me rappelait une soumission inavouée depuis mon entrée chez mon mari.
La même scène continua une quinzaine de jours, nos deux hommes ne se doutant de rien, s’imaginant sans doute qu’un rapprochement amical s’était fait entre nous !
Le quinzième soir, arrivées toutes les deux dans sa chambre, Claire, nue, sur son lit, et moi, nue aussi, comme tous les soirs après le déshabillage dans les couloirs, j’attendais de recevoir les ordres de Claire, quand elle me dit « tu es habillée ou nue quand tu dors ? »
« Habillée » répondis-je
« Parce que dès demain matin, il faut que l’on parle sérieusement et que nous abordions la question de ton avenir dans cette maison ; tu es d’accord pour que l’on en parle ? »
Ma réponse, claire et nette sortit aussitôt de ma bouche « oui Maitresse ! »
« Qu’as-tu répondu ? Ais-je bien entendu ? Redis-moi à haute voix ta réponse. »
« Je vous ai répondu : oui Maitresse. »
« Belle- Maman c’est bien la première fois que vous m’appelez Maitresse ; c’était voulu de votre part ? »
« Cette phrase m’a échappée, mais je ne la regrette pas »
« Pour qu’elle raison ? »
« Parce que j’ai bien conscience que dès les premiers jours où j’étais dans votre maison, vous vous êtes conduite envers moi comme une Maitresse, et moi je me suis laissé faire, à la fois parce que je voulais la sérénité dans cette maison et aussi parce que j’avais peur de vous ; l’incident du chemisier brûlé, avec ma réponse instantanée « si cela peut te soulager » Puis ma deuxième réaction quand vous êtes venue vous excuser : « je l’avais bien méritée, cela a été le déclencheur, le début de ma soumission à toutes vos exigences. »
Sur ces paroles, Claire reprit : « tu es donc prête à continuer de cette façon et à devenir en quelque sorte une soumise officielle devant ton mari, mon frère, et d’autres encore ? »
« Oui Maitresse »
« Alors je voudrais faire une petite expérience : viens te mettre en travers de mes genoux. »
J’obtempérais immédiatement.
Elle reprit « je voudrais savoir si de recevoir la fessée, c’est pour toi un plaisir ou une souffrance ? »
« Maitresse, au début c’était une souffrance, mais par la suite, et encore maintenant, c’est devenu un plaisir. »
« Bon je vais te donner maintenant une bonne fessée, et je t’interdis de crier, tu es simplement autorisée à verser des larmes en silence ; si tu te conduis comme cela, j’en conclurais que c’est vraiment du plaisir pour toi ; puis je ferais un autre test après qui me le confirmera. »
Claire se mit alors à me flanquer une fessée, comme je n’en avais jamais reçue, et heureusement qu’elle m’avait prévenue, parce qu’au début je serrais les dents, et ce n’est que quelques minutes après que le plaisir d’être fessée apparut. Une fois fini, Claire passa sa main par-dessous pour atteindre mon minou et elle s’exclama : « oh la vache, c’est une véritable fontaine ; pour sûr, elle y a pris beaucoup de plaisir ; et pour la cravache et le fouet, tu y prends autant de plaisir ? »
« En général moins, mais oui quand même »
« Eh bien on va voir cela tout de suite ; tu vas descendre à la cave, tu vas y trouver un fouet et une cravache ; je vais vérifier tout de suite ce que tu me dis. »
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