Un sacré mariage

mardi 26 janvier 2016
par  Fatum
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Partie 1 : L’enlèvement

Nadia nageait dans le bonheur. Elle venait de se marier avec Marc, et se préparait à leur nuit de noces. Âgée de vingt ans, elle avait vécu dans un milieu pratiquant et était parvenue à rester vierge tout le temps de ses fiançailles, qui avaient duré deux années. Avant Marc elle avait connu un autre garçon, Serge, et avait très vite rompu cette relation, le garçon se montrant trop entreprenant et voulant à tout prix lui prendre sa virginité. La rupture avait été brutale, et Marc avait dû intervenir pour que Serge se calme. Le repas de famille s’était déroulé dans une fort bonne ambiance. Vers dix heures du soir, le couple s’était éclipsé pour rejoindre l’hôtel où ils allaient passer leur première nuit. Ils n’y arrivèrent jamais. Marc qui conduisait sentit quelque chose de froid toucher son cou : ils n’étaient pas seuls dans leur voiture. Une voix leur donna l’ordre de prendre une autre route qui les mena en pleine campagne. Marc n’avait pas le choix et dut obéir. Dix minutes plus tard, l’auto arriva près d’un bois et dut s’engager dans une allée écartée. Là se trouvait une camionnette entourée de quatre individus cagoulés. Ils forcèrent le couple à quitter leur véhicule, et à monter dans la camionnette. Ils menottèrent alors leurs mains et leur bandèrent les yeux.
Abandonnant la voiture du couple, la camionnette se mit en route. Après un long trajet, elle s’arrêta dans ce qui semblait être un parc. On força le couple à descendre et les yeux toujours bandés, on l’amena dans un bâtiment dont ils ne purent rien voir. Marc et Nadia étaient de plus en plus inquiets, croyant qu’on allait exiger une rançon. Ce n’était pas le cas. On leur enleva leur bandeau, mais les hommes restaient toujours cagoulés. Celui qui apparemment menait la bande donna un ordre bref :
« Séparez-les, chacun dans une cellule, et déshabillez-les. J’irai les voir demain matin. En attendant, attachez- les à un anneau du mur et donnez leur une couverture et un matelas que vous étendrez sur le sol. »
Marc était inquiet pour son épouse. Il n’opposa aucune résistance quand on lui donna l’ordre de se dévêtir. Mais il se demandait avec angoisse ce qu’aurait à subir son épouse. Celle-ci avait été emmenée dans une petite cellule où on la laissa seule de longues minutes. Puis arrivèrent deux hommes qu’elle ne connaissait pas, accompagnés d’une femme d’âge, tout aussi inconnue, qui lui déclara s’appeler Nelly. Ils donnèrent à Nadia l’ordre de retirer ses vêtements. Elle fit mine de résister, mais la femme la gifla brutalement.
« Ne fais pas la vertueuse, car ici tu ne le resteras pas longtemps. Alors te faudra-t-il une solide correction pour que tu comprennes qu’ici aucune forme de résistance ne sera tolérée. Et maintenant, à poil, de suite ! »
La femme montra à Nadia une cravache qu’elle tenait en main, et Nadia s’inclina. Quelques instants plus tard, elle était nue. La femme la força à se coucher sur un lit de fer sur lequel avait été déposé le matelas, vint se placer à côté d’elle, et demanda à ses aides de venir contempler à leur aise le corps de leur prisonnière.
« Comme vous pouvez le voir, notre chef a très bon goût. Cette gentille demoiselle vient de se marier, et devait connaître sa nuit de noce. Ce sera pour très bientôt, mais ce ne sera pas celle qu’elle espérait. Dès demain, elle sera totalement épilée, et commencera sa préparation pour être offerte à notre chef. » et se tournant vers Nadia « Tire tes jambes vers l’arrière, de chaque côté de ton corps, que je puisse examiner tes deux trous et décider du traitement qui devra t’être appliqué. »
Nadia, choquée et honteuse, se débattit. Mais les hommes saisirent chacun une de ses jambes et les replièrent de chaque côté de sa tête. Nadia, impuissante, dut laisser faire. Elle se rendait compte du spectacle qu’elle offrait au trio. La femme s’aperçut de son trouble, et s’amusa à encore la troubler davantage.
« Regardez sa jolie toison. Demain, elle lui sera enlevée de manière à ce qu’elle soit totalement nue. Peut-être même que notre chef voudra lui faire également lui faire raser le crâne. Je serai curieuse de voir la tête de son mari quand elle lui sera présentée demain soir. Tenez la maintenant solidement, que je puisse à mon aise inspecter ses deux trous. »
Les deux hommes firent ce qu’on attendait d’eux et attachèrent les mains de Nadia aux barreaux du lit, derrière sa tête. Ils firent de même avec ses chevilles. Le bas du corps de Nadia était maintenant totalement accessible, et Nelly l’inspecta à son aise. Les commentaires ne manquèrent pas.
« Ne serre pas les cuisses comme tu essaies de le faire : on te les ouvrira de force. Il faudra bien, car ce sera nécessaire pour préparer ton cul à recevoir le sexe du chef. Tu aurais certainement préféré celui de ton mari, mais il n’en sera pas question avant longtemps. »
Nelly tenta alors de glisser un doigt dans l’anus de la prisonnière mais n’y parvint pas.
« Sale petite vierge, je te le promets, je m’arrangerai pour ouvrir totalement ce passage. Et je me ferai un plaisir de te voir gémir lorsque pour la première fois tu seras enculée. Et ce sera devant ton mari, qui plus est. Il serait dommage de le priver d’un spectacle aussi charmant. » et se tournant vers ses deux acolytes « Je vous la laisse pour une heure. Amusez-vous avec elle, mais sans la pénétrer. Vous pouvez la peloter, la pincer. Elle ne vous refusera rien, et pour cause. Et n’oubliez pas de lui lécher le con. Avec un peu de chance et de persévérance, vous réussirez peut-être à la faire jouir. Et cela la vexerait certainement. »
La femme sortie, Nadia comprit qu’elle allait vivre de fort désagréables moments. Ce fut pire que ce qu’elle craignait. L’un des hommes s’approcha du lit, se pencha sur Nadia et prit en bouche l’un de ses mamelons. Il le mordilla, puis le suça. Son ami s’était penché vers le bas-ventre de Nadia et l’inspecta. Son commentaire fut immédiat
« Dis donc, Peter, cette poule me fait l’effet d’avoir le feu au cul, et d’aimer ce que tu lui fais : elle est occupée à mouiller. C’est gentil de sa part de me donner à boire ! »
Il se courba tout à fait, colla sa bouche au sexe de Nadia et aspira un bon coup. Puis, il annonça à son collègue :
« Tu devrais essayer. Elle a vraiment bon goût. Le chef va avoir bien du plaisir. Je crois que cette pucelle a le sang chaud, et va vite apprécier tout ce qu’elle va découvrir ici. Rien ne presse d’ailleurs. » et se tournant vers Nadia « Je suppose que tu as déjà deviné que ton séjour ici sera de longue durée. Personne ne pourra jamais t’y retrouver. Je crois d’ailleurs qu’après quelques séances du dressage prévu pour toi, tu n’aimerais pas trop en être privée. Et puis, il y aura tous les amis et les invités de notre maître, et ils seront nombreux à vouloir visiter tes deux orifices. Tu en as de la chance. Peut-être même que de temps à autre, notre maître accordera à ton mari le privilège de t’enculer lui-même. Après quelques semaines, ton cul ne sera plus le trou de souris qu’il est actuellement, mais une véritable avenue où certains chançards pourront avec un peu de chance pénétrer côte à côte. Un peu de patience, et tu vas découvrir la collection de godes de notre amie Nelly, une collection dont elle n’est pas peu fière et dont tu vas pouvoir profiter jour et nuit. LIRE LA SUITE

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Commentaires

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mercredi 27 janvier 2016 à 17h47 - par  philippe

bien dommage qu’il n’y ait pas de description pour savoir si elle a eut le crane rasé et on a du mal à comprendre la chute d’ou viennent certains personnages