Sévère rencontre florentine -3-

3° partie
jeudi 31 décembre 2015
par  Sylvain de Perry
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Sabrina et moi étions rentrés du centre-ville de Firenze vers dix-neuf heures. Après que nous eûmes déposé nos achats, elle m’invite :
— Allons dans la salle de bain, je vais t’ôter ton plug. Comme tu vois il ne t’a pas excessivement gêné.
Elle souligne son affirmation en plaçant sa main à la base de mes fesses, tapote la rondelle terminale à travers mes pantalons et string.
Nous montons au premier, sa main toujours conquérante sur mon derrière.
Une fois dans la chambre, je me déshabille entièrement alors qu’elle en fait autant, remplace son pantalon de cuir par son short de cuir moulant avant de passer dans la salle de bain.
Nue comme la main je l’y rejoins peu après.
Sabrina m’ordonne :
— Prend appui sur le lavabo, écarte tes cuisses.
Elle a ganté ses mains de latex, attend que j’ai pris la position ordonné, écarte mes fesses d’une main, agite le gode de l’autre main, me faisant pousser un petit cri, tire afin de l’extraire.
Comme mes chairs ont eu le temps d’y adhérer, ça me fait mal. Sabrina n’en tient pas compte, réussit à le faire sortir, l’observe alors que j’ai l’impression que mon orifice anal va rester ouvert.
Elle me montre le sommet du plug :
— Il y a des traces de matières fécales. Tu étais censée avoir fait tous tes besoins ce matin. Alors ?
— Je ne peux pas savoir ce qu’il reste profondément en moi, chérie.
Elle ôte le préservatif qui recouvrait le gode, le jette et décide :
— Comme ce soir je dépucèle ton petit cul, je VEUX que tu sois intégralement propre…
Elle se dirige vers l’armoire vitrée, poursuit son exposé :
— … Je vais te mettre un suppositoire qui va te faire expulser tout ça.
Je proteste :
— Mais non… C’est inutile…
Sabrina a sorti une boîte et un petit plug, revient vers moi, interroge :
— Veux-tu une fessée supplémentaire avant que je ne te mette ton suppositoire ?
Je comprends qu’elle ne changera pas d’idée, capitule :
— Non… Non…
Elle ouvre la boîte sur le fond de laquelle reposent six suppositoires, emballés séparément, de formes coniques, longs d’au moins quinze centimètres.
Sabrina en prend un, l’épluche de son emballage comme une banane, l’oint soigneusement de gel, commande :
— En position d’appui sur le lavabo, cuisses écartées…
Elle passe dans mon dos, écarte mes fesses d’une main, positionne le sommet du cône contre mon orifice anal, ajoute :
— Détend-toi bien, ça va rentrer tout seul !
Elle exerce une poussée ferme, sans arrêt.
Le suppositoire pénètre lentement, sans à-coups dans mes fesses, poussé fermement par son doigt, qui s’enfonce totalement à la suite.
Je gémis :
— Aaaaaaaye !...
Elle laisse son doigt en moi une bonne minute, puis le sort, attrape le petit plug, court, épais, l’enfonce en moi ; mon trou du cul l’emprisonne en se resserrant sur le hiatus précédant la rondelle terminale.
Sabrina explique :
— C’est en fait un bouchon qui évitera, quand tu vas avoir envie de te soulager, de faire tant que je ne te l’aurai pas ôté.
Elle ferme la boîte, va la ranger, jette ses gants de latex dans la poubelle, précise :
— Tu dois attendre au moins vingt minutes avant de te libérer.
Revenu près de moi, Sabrina m’enlace, me caresse, descend sa bouche vers mes seins. Ses lèvres s’emparent d’un mamelon, l’embrasse, le titille.
Quant à moi je la caresse avec mes mains, parcours son corps avec douceur.
Après une dizaine de minutes de ces échanges manuels et labiaux, une envie de déféquer commence à m’envahir. Je le dis à Sabrina qui a délaissé mes seins pour m’embrasser sur la bouche :
— J’ai envie… Il faut me laisser aller me soulager.
— Encore dix minutes, chérie.
J’essaye d’échapper à son emprise.
En vain. Elle est plus forte que moi, dit :
— Tu veux faire la forte tête, hein ?
Je proteste en me dandinant d’un pied sur l’autre, tentative dérisoire pour soulager mon mal de ventre intérieur :
— Non !... Non !...
Tout en me ceinturant d’un bras, Sabrina pose son autre main sur la rondelle terminale du gode, se met à l’agiter en le maintenant enfoncé.
Horrible ! Je le crie :
— Arrrrrrrête !... Ne fais pas ça !... Je vais faire !... Nooooooon !...
Sa main a lâché le gode, commence à me fesser.
Environ dix de claques sèches, données main bien à plat, calment illico mon envie de rébellion.
Sabrina me relâche, s’enquiert :
— Veux-tu une autre fessée pour occuper les quatre minutes qui manquent ?
Je capitule :
— Non ! Non ! Chérie, excuse-moi.
— Mais tu es toute excusée. Chaque fois que tu contesteras mes décisions, je te donnerai une fessée cul nu. Si nous sommes dans un lieu public ou avec du monde, un petit séjour rapide aux toilettes me permettra de claquer ton derrière…
Elle consulte son chronomètre, achève :
— Tourne-toi, présente-moi ton cul, jambes écartées.
— Mais… Mais je n’ai rien dit.
Sabrina éclate de rire :
— Bien sûr, mais c’est l’heure de te soulager.
J’obtempère aussitôt, car l’envie de me vider me presse.
Elle agite le gode, l’ôte rapidement, m’alloue une claque :
— Allez, va vite !
A peine assise sur le siège, malgré la présence de mon amante, je fais mes besoins, sans me soucier des bruits incongrus qui accompagnent cette libération intestinale.
Le dîner s’est déroulé tranquillement, en tête à tête. J’ai juste eu droit à quelques claques sur mes fesses nues lorsque j’étais indécise ou peu réactive à ses ordres.
Nous remontons dans notre chambre vers vingt-deux heures.
Sabrina m’ordonne en me tendant un pot de gel :
— Met-en suffisamment pour que le gode glisse bien entre tes fesses.
Je m’active rapidement pendant qu’elle ôte son short de cuir et graisse le gode promis pour mon derrière. En fait une partie, droite, souple, moins épaisse que l’autre, allait prendre place dans son vagin, ensuite il y a la terminaison rigide fixée sur la base de la ceinture dont elle se garnit.
Je frémis à la vue de la partie du gode à moi réservée : elle est recouverte d’un préservatif de cuir crème, mesure vingt-vingt-deux centimètres, un sommet effilé long de cinq-six centimètres, suivi d’une espèce de boule, puis une partie plus fine, suivie d’une autre boule puis grosse et volumineuse que la précédente, enfin la partie finale, longue et épaisse de cinq centimètres.
Je m’approche de Sabrina, qui a déjà absorbé sa partie, me fais caressante :
— C’est trop gros, ça ne rentrera jamais dans mes fesses, chérie. C’est la première fois pour moi. Choisis-en un plus fin, moins long aussi.
Elle me sourit, caresse mon visage, mes seins qu’elle empaume avant de prendre mes mamelons turgescents, de les serrer entre de deux doigts, pas trop fort au début, me dit, tout en serrant un peu plus fort :
— C’est ton dépucelage, ma chérie, donc avec celui-ci tu vas t’en souvenir…
Elle lâche mes pointes, une de ses mains se plaque sur mon sexe, un doigt s’engouffre à l’intérieur :
— … D’ailleurs tu mouilles déjà.
Elle laisse le doigt en moi, son autre main claque mon derrière cambré par le doigt qui continue à s’agiter en moi.
Sous la violence des fortes claques qui percutent mes fesses, je capitule :
— D’accord… D’accord… Ne me fesse plus, s’il te plaît. Tes claques me font mal.
Sans cesser la lente distribution des gifles violentes sur mon derrière, Sabrina rétorque :
— C’est le but. Ton cul n’est plus assez rouge à mon goût, une petite fessée va lui redonner de la couleur.
Tenant solidement mon sexe, elle continue à me claquer lentement, avec force et puissance, afin que mon derrière soit rouge.
Je trépigne, porte mes mains vers mon sexe afin d’ôter la sienne, mais capitule car elle me tient bien. Du coup je sanglote, la supplie :
— Arrrrrrrête !... Pitiiiiiiié !… J’ai trooooooop… Maaaaaaal !...
— Peut-être chérie, mais tu mouilles encore plus depuis que je fesse ton beau petit cul.
Sur deux claques données à la jonction fesses-cuisses, elle cesse le châtiment, lâche mon sexe, présente son majeur à mes lèvres :
— Allez, suce mon doigt tout trempé de ta mouille.
J’ouvre la bouche et lèche son doigt couvert par ma cyprine, dont le goût légèrement acide me plaît bien.
Nouvelle claque sur mon derrière, Sabrina m’ordonne :
— Vite ! A genoux sur le lit, fesses hautes, cuisses écartées, pose ta tête sur l’oreiller.
Elle me suit, a pris un pot de gel qu’elle dépose à côté d’elle, attrape mes lombes à pleines mains, les écarte et abouche la pointe du factice sur mon anneau rectal entrouvert par la position.
Sans plus attendre elle donne un petit coup de rein vers l’avant et je sens aussitôt la pointe du gode qui perce mon orifice, glisse lentement dans mon conduit.
Puis je sens mes fronces se dilater, signe que la première boule va pénétrer en moi. La douleur me vrille les nerfs. Je secoue mon derrière pour tenter de désarçonner Sabrina.
En vain.
Elle me tient solidement, continue sa poussée et je crie :
— Aaaaaaaye !... Nooooooon !... Ça m’éventre !...
Je sens mon orifice se resserrer sur la colonne moins large qui suit, en profite pour souffler un peu.
Mais très vite, la deuxième boule écarte mes fronces et, malgré les mains de Sabrina qui me tiennent, je remue mes fesses en une dérisoire tentative pour la désarçonner.
Elle pousse de deux-trois coups de reins, et la large boule est avalée par mon conduit suivi de la fin du gode.
Elle passe sa main vers mon ventre, un de ses doigts s’introduit entre mes lèvres vaginales, y pénètre :
— Comme je l’avais prévu, tu mouilles, chérie…
Son doigt quitte ma chaude cavité, va titiller mon clitoris raidi :
— … Ton clitounet est bien excité lui aussi.
Sabrina reprend mes lombes à pleines mains, opère un lent retrait. Comme ma peau a eu le temps d’adhérer au gode, je crie :
— Aaaaaaaye !... Non !... Nooooooon !... Reste !... Ne sort pas !... Tu m’arraches la peau !...
Pour toute réponse, elle lâche une fesse, me claque le cul par quatre fois, reprend sa sortie, prend quand même soin de laisser le gland en moi, puis se renfonce dans mes reins d’un trait puissant.
Nouveau cri de ma part :
— Aaaaaaaye !
Cette fois, en reculant à nouveau, Sabrina ne me claque pas, mais reprend ses caresses sur mon sexe, titillant mon clitoris.
Puis, après quelques allers et retours dans mes reins, elle laisse le gode en moi, passe son autre main entre son ventre et mon derrière, tient le gode et sort la partie qui est en elle.
Sabrina alterne les allers et retours entre son sexe et mon cul.
Si bien que nous jouissons presque en simultanée.
Nous passons trois beaux jours ensemble à Firenze.
Je reçois ma dernière et intense fessée dans les toilettes de l’aéroport Amerigo Vespucci dit aussi Firenze Peretola.
J’embarque le cul rouge et ai du mal à rester assise pendant tout le vol.




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