Ma belle-fille bien-aimée

Traduit de l’anglais par Hénic
mardi 15 décembre 2015
par  Henic
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Je suis marié depuis des années et je dois dire que j’ai eu beaucoup de chance avec mon mariage. C’est souvent pour ainsi dire divin. Mon épouse Dorothée est une excellente cuisinière. Et elle ne parle pas trop. Que peut-on demander de plus de l’état sacré des liens sacrés du mariage ? Il a bien tourné par pur hasard. Je suis très timide, voyez-vous. Je me suis marié par procuration et je n’ai pas eu le courage de la voir jusqu’à trois ans après.
A dire vrai, j’admire ces gars que l’on voit dans les films qui ramassent des filles avec es robes décolletées et pas de poils sur les jambes. Un jour, je m’inscrirai dans un de ces bordels déguisés en académie de danse ou d’agences de rencontres. Ou peut-être que je travaillerai pour un organisme de charité plain de femmes riches aux gros nichons.
Pour l’instant, je ne suis pas pressé de changer mes habitudes solitaires. Dorothée est toujours excellente cuisinière. Elle a aussi quelque chose de plus pour elle : sa fille, ma belle-fille, Jennifer. Jennifer, c’est autre chose !
La première fois que je l’ai vue, j’ai remarqué qu’elle me regardait d’une drôle de façon. J’ai eu le sentiment qu’elle me regardait de haut, comme si mon apparence physique n’était en quelque sorte pas assez bien pour elle ou pour sa mère. Ces jeunes ! Aucun respect pour les personnes d’âge mûr.
Si elle avait été plus sensible, elle aurait réalisé que tout n’est pas une question d’attirance physique. Je veux dire qu’elle aurait pu voir au-delà de la panse de buveur de bière, les jambes arquées, les pectoraux flasques qui commencent à avoir l’air de seins, et mon apparence générale d’employé de banque plutôt conservateur. Cela vient en partie de ce que je suis un employé de banque. Ce que Jennifer ne voit pas est la poésie qui est à l’intérieur, pas à l’extérieur. (Vraiment, dans son cas, c’est à l’extérieur. Ça prend la forme d’une paire de supernichons, gros, fermes et suçables).
En tout cas, les personnes les plus célèbres de l’Histoire étaient tous plutôt laids. Seuls quelques-uns, comme Jack l’Eventreur ou l’empereur romain Néron, étaient vraiment beaux.
Où en suis-je ? Ah oui, le fait est que je voulais rencontrer Jenny par moi-même ; aussi, je téléphone à sa mère depuis la banque et la convainc d’apporter en personne une lettre aux Impôts. Je lui dis que je pourrais être arrêté le jour même si elle ne le fait pas. Elle veut savoir pourquoi je ne peux pas y aller moi-même, ou envoyer un porteur, mais je lui dis qu’ils prêteront plus d’attention à mon épouse. Le bureau des impôts est dans un autre village et je compte qu’elle ne sera pas de retour avant plusieurs heures, compte tenu de ce que sont les transports en bus entre les villages.
Ma belle-fille bien-aimée arrive à onze heures et à onze heures dix, elle dort comme un bébé. Un sachet de somnifère dans son café en est la cause.
J’étais déjà en train de m’exciter lorsqu’elle a dit qu’elle se sentait fatiguée et j’ai presque mis mes mains dans sa robe pour en sortir ses nichons mais j’essaie de garder la tête froide. C’est lors de semblables moments que la grandeur se manifeste et je ne voulais pas qu’elle me voit faire quoique ce soit d’inhabituel.
Je la descends à la cuisine et je lui lave la tête avec la machine que nous utilisons pour le doberman. Puis je lui mets la cagoule. Ça prend un peu de temps de mettre toutes les lanières et de les serrer mais lorsque c’est fait, ça fait charmant. Le plus difficile est le tube dans la bouche. A la fin, je dois utiliser une de ces vis qui fonctionnent comme la prise d’une voiture (une miniature, évidemment, ne vous inquiétez pas !). J’ai mis quelque temps à installer correctement le tube puis il m’a semblé l’entendre gémir doucement. Lorsque j’enlève la vis, je laisse ses dents mordre dans la bordure de caoutchouc. Elle ne peut pas l’extraire de sa bouche mais j’attache quand même la cagoule sur elle, pour des raisons esthétiques.
A la fin, elle ne peut ni voir ni entendre quoi que ce soit. Sa bouche est grande ouverte, ce que je trouve plutôt invitant. Il y a quelque temps que je voulais la voir ainsi. Pour être précis, depuis le jour où j’ai reçu quelques photos d’elle envoyées par sa mère juste avant notre mariage.
Je me souviens avoir regardé les photos et pensé :
« A poil, elle doit avoir l’air superbe ! »
Maintenant, je vais bien voir. Je la déshabille. Complètement. D’abord son jean, puis sa culotte, puis son T-shirt et ensuite son soutien-gorge. Le croirez-vous si je vous dis que son soutien-gorge est si court que l’on peu voir une partie de l’aréole autour de ses tétons ? Amusant, hein, mais je suis pris d’une terrible érection lorsque je vois l’aréole de nichons. Et si les tétons sont tubulaires, c’est tout juste si je ne jouis pas sur place !
En dernier, je lui retire ses chaussures de sport et ses chaussettes et lui met les chaussures à hauts talons que j’ai achetées pour l’occasion. C’est démodé mais ça grandit les femmes et leur donne l’air distingué.
Lorsque je la vois allongée sans rien sur elle et les cuisses largement écartées qui dévoilent sa chatte, je n’ai plus qu’à me branler ! Je perds ma concentration ! J’aime tout cela. J’aime bien les habits, vous savez, mais j’aime aussi la nudité.
Comme je suppose que Jenny n’aimerait pas les changements que j’ai faits, j’attache ses bras derrière son dos, bien haut pour qu’ils n’interfèrent pas avec ses parties plus nobles. Puis j’accroche la lanière qui est au-dessus de sa tête à une poulie au plafond et je tends la corde jusqu’à ce que son corps soit droit et ses énormes nichons tirés vers le haut. Elle a l’ait absolument sensationnel !
Je m’assois alors et prends un peu de repos parce que tous ces bâillons et lanières sont fatigants. Pour la première fois, je suis à même d’apprécier l’un des plus beaux travaux de la création – une superbe jeune femme splendidement exposée et sans aucun moyen de protéger ses nichons ni sa chatte. LIRE LA SUITE

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