18 - Scène et giton

samedi 12 décembre 2015
par  calingiton
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Personnages : Axel Philippe La mère

Résumé des épisodes précédents :

Axel, éphèbe de 18 ans, se laisse entraîner par Philippe, un riche et dangereux pervers, dans sa luxueuse propriété. Il devient très vite l’esclave sexuel de ce sexagénaire avide de chair fraîche. Désireux d’officialiser cette relation inespérée, Philippe invite sans attendre Béatrice, la mère de son jeune protégé. Celle-ci, séduite par la fortune de Philippe, accepte également de se soumettre au vieux pervers. Elle sera même contrainte à des rapports incestueux sur son propre fils. Incapable de résister à cet homme, elle se livrera à ses plus vils instincts. Le destin d’Axel et de Béatrice se voit ensuite scellé par la signature par tous deux d’un contrat de soumission. Mais Beatrice comprend très vite que sa relation avec Philippe ne tient que par l’intérêt de cet homme pour son fils, qu’elle obligera à se féminiser davantage pour plaire à son vieil amant. En même temps, nait en elle un désir de plus en plus irrépressible de dominer son propre garçon.

***

Un nouveau flot de sperme inonde mon trou en même temps que je me mets à jouir. Ma mère, au sol, se met à ramper à terre jusqu’à moi, pour m’empoigner la bite. Elle n’a même pas besoin de me branler que j’explose et lui éclabousse le visage de mon jus. Sa réaction est aussi violente qu’inattendue. Elle se relève pour me gifler en s’essuyant les joues dégoulinantes.
― Tu vas laisser ça impuni, mon chéri ?... Tu as vu ce qu’il a fait ?... Elle m’a souillée cette salope !
Elle est folle de rage. Et si elle joue la comédie devant mon vieil amant, c’est vraiment très bien fait. Une vraie actrice. Car j’ai compris que tout cela est un jeu, comme si elle voulait me dominer, au même titre que mon amant. Je me retire de la queue de Philippe redevenue plus molle pour me jeter aux pieds de maman pour la supplier.
― Je t’en supplie maman... Ne me punit pas....

Je vois la scène et la réaction de la mère. Elle a sans doute des envies, mais je me dois marquer tout de suite les limites de ses prérogatives. Elle doit bien se mettre en tête qu’ici, il n’y a qu’un seul maitre. Moi. Je suis le seul qui ait le droit de punir. Moi seul ait le droit de décider qui sera battu, qui sera récompensé, qui sera baisé, et par qui.
― Toi la lopette, va m’attendre dans la salle en bas.
J’attends que mon giton se soit éloigné pour continuer avec sa mère. Je la gifle immédiatement, à terre.
― Ecoute moi bien salope. Je ne te le dirai pas deux fois. Ici, c’est moi qui commande et qui ai tout les droits sur vous. Vous n’êtes que des esclaves ici, et rien d’autre.
Je continue en lui empoignant les cheveux, pour la secouer, qu’elle comprenne. Et je continue sur le même ton.
― Alors même si tu veux jouer les mamans offusquées, ne t’avise plus de reprendre une initiative de la sorte, devant moi. Sinon, c’est le cachot. Et pour un moment. Et terminé pour toi, tes rêves de maitresse de maison et d’épouse.
Je la relâche pour ordonner.
― Viens me sucer la bite. A cause de toi, ta lope de fils n’a pas eu le temps de me la nettoyer.

Apeurée, sans comprendre cette réaction aussi brutale qu’inattendue de sa part, je me jette sur sa queue pour l’engloutir voracement. Je reste à quatre pattes, mains posées à terre, bien cambrée, ma robe moulante et trop courte remontée sur les reins. J’ai compris que ce n’est pas dans mon intérêt de lui répondre, et que je dois me contenter que de me soumettre. Il me veut docile et soumise, et c’est en véritable chienne que je me mets à le sucer avec avidité, suçant et léchant se membre épais, qu’il y a quelques minutes encore était dans le cul de mon fils.
Mais je reste dubitative face à son attitude. Sans vouloir être son égale, je n’en ai ni l’envi ni la volonté, j’avais compris que je pouvais au moins continuer à dominer mon garçon. Je reste sa mère quand même ? Tout en continuant de le sucer, pour lui témoigner avant tout ma servilité de femme, et peut être d’épouse, je ne cache pas mon désarroi. Je suis un peu perdue.

Je ne demande pas mon reste, et file tout droit dans mon cachot, imaginant que c’est là que le Maître me veut. En retrouvant le sous sol et surtout ma cellule immonde, je comprends que ma tenue est totalement inappropriée à l’endroit. Je décide, à l’entrée de mon cachot, de me débarrasser de ma jupe plissée, de mon string et surtout mes sandales plateformes. J’imagine que c’est comme ça que le Maître me veut, enfermé ici, nu. Et c’est entièrement nu, ne gardant que mon collier de cuir rose que je m’étends sur ma paillasse. Je reste ainsi étendu, en frissonnant à la fois, de froid et de terreur, pour attendre la punition qu’il a décidé de me réserver. Seul dans le noir, j’ai tout d’un coup le sentiment violent de ne plus être maître de ma destinée.

Je sais que j’ai été dur avec la mère de mon giton Elle ne s’attendait certainement pas à une réaction aussi violente de ma part. Mais il faut que les choses soient bien claires à son esprit. Elle n’est qu’une salope, elle me doit totale obéissance et elle ne peut agir sur mon giton qu’à mes conditions.
En attendant, je vois que ma conduite fait son effet car non seulement elle me nettoie avec application et respect, mais une fois propre, elle continue de me sucer et de me donner du plaisir. Elle se tient à quatre pattes et ne se sert que de sa bouche et de sa langue pour me contenter. Croupe saillante, sa robe trop courte et retroussée, dévoile une partie de ses fesses et de son sillon.
De mes doigts, je lui relève le menton pour qu’elle continue de me sucer en me regardant.
— Tu as bien compris ? J’ai été assez claire, grosse pute ?

Je supporte ses injures en femme totalement résignée à l’autorité de l’homme, mais aussi comblée d’être ainsi traitée comme une chienne. Je n’en attends pas plus d’un homme, d’un homme comme je les aime, viril, puissant, autoritaire et pervers. Au risque d’insupporter les féministes, j’ai toujours considéré les hommes supérieurs aux femmes, dans tous les domaines. La phallocratie est pour moi le seul système qui mérite de perdurer. J’ai une totale aversion pour toutes ces femmes qui osent réclamer l’égalité avec les hommes. Comme je déteste tous ces hommes lâches, sans volonté, incapable de montrer qu’ils ont des couilles. Je prône pour ma part l’androcratie, une organisation sociale fondée sur la seule suprématie masculine. Je considère que le seul pouvoir fécondant est celui du « phallus » et que le vagin féminin n’est qu’un réceptacle. Les hommes doivent être valorisés et eux seuls peuvent prétendre à exercer le pouvoir, notamment sur nous les femmes, par le seul fait d’être du sexe masculin et supérieur à nous les femelles. Les femmes ne doivent être qu’une sous-espèce limitée au rôle traditionnel de génitrices, servant à perpétuer l’espèce, ou de prostituées.
Je voudrais lui expliquer tout cela, qu’il comprenne une fois pour toute que je veux simplement rester sa compagne asservie, incapable et ne voulant surtout pas rivaliser avec lui. Qu’il comprenne aussi que je reste la mère de cette petite merde que j’ai enfantée. Un fils sur lequel je veux aussi continuer d’exercer mon pouvoir.
J’espère qu’il me laissera m’expliquer, en continuant de lui laper sa belle bite, dont je voue une adoration sans borne.
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