Sévère rencontre florentine -2-

2° partie
jeudi 3 décembre 2015
par  Sylvain de Perry
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Le lendemain matin, la lumière brillante distillée par un beau soleil me tire du sommeil.
Où suis-je ?
Puis ça me revient : ma rencontre avec Sabrina, ma fessée, etc.
Je constate que ma compagne est déjà levée ; j’en fais autant, passe dans la salle de bain, procède à mes ablutions, décide de rester nue, la rejoins en suivant le bruit.
Sabrina, vêtue d’un simple short de cuir moulant, s’affaire à préparer une substantielle prima colazione.
— Bonjour, Catherine. Bien dormie ?
— Oui, chérie. Et toi ?
— Parfaitement. Café noir ou avec lait ou crème ?
— Noir, serré, sans sucre !
— Comme moi.
Sabrina glisse une tasse sous la Pavoni qui ronronne.
Cinq minutes plus tard, assises face à face, nous dégustons nos cafés, en devisant de tout et de rien, et inversement.
Puis, Sabrina me commande alors qu’elle se lève pour aller évacuer la vapeur de sa Pavoni :
— Lave les tasses ! Ensuite, ce sera ta fessée du matin, suivie de l’exercice pour ton petit anneau…
Je proteste :
— Non ! Pas déjà une fessée !
Sabrina me fixe droit dans les yeux, dit sèchement :
— Comme tu veux. Dans ce cas habille-toi, je te ramène à ton hôtel.
J’ai un instant d’hésitation. Bien sûr, je peux partir, retourner à ma solitude de vacances. Mais je me suis senti si bien avec Sabrina hier soir et cette nuit, que je réponds :
— Excuse-moi !...
Je m’approche d’elle, près du meuble où trône la Pavoni :
— … Je ne sais pas trop où j’en suis. C’est tout nouveau pour moi.
Sabrina m’enlace, avance son visage vers le mien, dit :
— Je comprends, ma chérie.
Ses deux mains glissent dans mon dos jusqu’à mes fesses qu’elles tapotent :
— Ton beau cul va rapidement te donner conseil.
Sa bouche écrase la mienne, sa langue vipérine me sonde avec énergie.
Je réponds activement à son baiser.
Sabrina rompt notre baiser, me claque les fesses, comme si par ce geste elle mettait fin à un abandon sentimental, me prend la main :
— Allons dans la chambre !
Main dans la main nous grimpons à l’étage, marchons dans le couloir. J’ouvre la porte et elle me suit, ferme le battant dans mon dos, m’ordonne :
— Va contre le mur, bras levés, mains en appui, cambre-toi en m’offrant ton cul !
Je suis surprise par la froideur du ton, mais obtempère néanmoins.
Sabrina se place sur mon côté gauche, pose son bras gauche sur mon ventre, sa main sur ma hanche droite.
— Cambre-toi mieux que ça ! Tu dois m’offrir littéralement ton derrière, comme si tu m’invitais à le fesser.
Je m’efforce de me cambrer d’avantage, écarte légèrement les cuisses.
— C’est ça !
En récompense, la première claque percute mes fesses avec un bruit assez fort. Ses sœurs se suivent, se répartissent anarchiquement sur toute la surface de ma chair nue, idéalement offerte.
Très vite sous l’intense douleur, je crie ma douleur :
— Aaaaaaaye !... Moins fooooooort !... Ça fait trooooooop… Maaaaaaal !... Aaaaaaarrête !...
En même temps, je piétine sur place, me crispe, gratte le mur de mes ongles. Cette fessée est plus douloureuse que celle d’hier soir.
La main de Sabrina qui tient ma hanche la quitte, descend jusqu’à mon sexe dont elle suit la fente avant de s’y plaquer, et que deux doigts s’emparent de mon clitoris exacerbé après l’avoir extrait de sa gangue de protection.
Sans que ne cessent de s’abattre les claques sur mon cul, les deux doigts serrent puis relâchent pour serrer de nouveau mon clitoris, provoquant une autre douleur qui, ajoutée à celle de la fessée, m’exaspère, si bien que je vais quitter ma position.
Sabrina serre plus fortement mon clitoris, lâche :
— Reste en position !...
Je capitule.
Les claques se font plus fortes, m’arrachant des cris plus vrillant pour les nerfs :
— Nooooooon !... Asssssssez !... Pitiiiiiiié !... Pluuuuuuus… La fesssssssée !... C’est trooooooop… Horrrrrrrible !...
Les doigts ont lâché mon clitoris, s’engouffrent dans mon sexe béant, qui suinte abondamment de cyprine.
Sabrina me dit :
— Mes doigts ont la preuve que tu aimes ma fessée. Et tu voudrais que je m’arrête de claquer ton cul, déjà bien rouge. Pas question, ma chérie !
Pour me le prouver, elle augmente la puissance des gifles qui percutent ma croupe offerte dans toute son amplitude.
Je la supplie alors que des larmes de douleur submergent mes yeux, coulent le long de mon visage :
— Pitiiiiiiié !... J’ai… Trooooooop… Maaaaaaal !... Aaaaaaarrête !... Je t’en… Priiiiiiie !... Nooooooon !... Pluuuuuuus !...
Pourtant, malgré l’intensité de la douleur, mes inutiles supplications, je reste dans la même position, possédée par ses doigts qui fouillent mon intimité toujours plus humide de mon abondante cyprine.
Puis la fessée s’arrête.LIRE LA SUITE

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