Bijou

vendredi 6 novembre 2015
par  Fatum
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Je viens d’avoir dix-huit, et me prépare aux vacances. Des vacances dont j’allais me souvenir. Depuis six ans, je vivais en pension. Mon père, à cause de son travail, parcourait le plus souvent le monde pour y participer à d’importantes réunions internationales. J’avais sept ans lorsque ma mère nous a quittés, laissant à Papa le soin de m’élever. Sauf à quitter son travail, mon père n’en avait pas la possibilité. Mais il parvint à persuader tante Alice, la sœur cadette de ma mère, de me prendre en charge. Elle habitait donc chez nous et ma foi, je dois reconnaître que je m’en trouvais bien. En fait, ces vacances-là changèrent totalement ma vie. Lorsque j’arrivai à la maison, munie d’un excellent bulletin, tante Alice me félicita. Puis, elle me déclara :
« Tu as maintenant un âge important dans ta vie. Il faut que je te mette au courant de certaines choses, dont au pensionnat on ne t’a certainement jamais parlé ».
Je n’allais pas lui avouer qu’avec une amie j’avais découvert comme se faire plaisir, et que la masturbation n’avait plus de secret pour nous. Je laissai donc tante Alice achever son petit discours.
« Cette nuit donc, je vais te faire découvrir comment deux femmes peuvent faire l’amour. Sais-tu quelque chose à ce sujet ? »
Honteuse, je dus mentir et lui dire que non. Et j’ajoutai que le sujet du sexe était honni dans un couvent, sachant pour ma part que je mentais effrontément. Nous avions découvert que certains soirs, des nonnettes allaient dans une alcôve trouver une collègue et avec elle se livrer à certains ébats que publiquement elles désavouaient.
Tante Alice tint parole. Après le repas du soir, et après avoir fermé la TV, elle m’emmena dans sa chambre. Sans la moindre fausse honte, elle se déshabilla et m’ordonna de faire de même. Quand ce fut fait, elle se coucha sur son lit et me dit de venir la rejoindre. Dieu, qu’elle était belle. Elle avait trente-cinq ans, en totale plénitude de son âge. Elle me laissa l’admirer, et écarta les jambes sans la moindre honte. Je n’avais pour ma part qu’une toison pubienne encore clairsemée. Tante Alice était rousse, et le spectacle de sa chatte – j’avais appris ce mot par mon amie – était fascinant. Elle me dit alors de me placer au dessus d’elle, la tête entre ses jambes et de lécher ce qu’elle appelait son petit bouton. Par bonheur, elle ne pouvait savoir que je connaissais cette pratique, et le lui prouvai en procurant à ma tante un rapide orgasme.
Elle ouvrit de grands yeux, et se mit à rire :
« Petite cachotière, je ne te savais pas aussi instruite de ce genre de plaisir. Alors, fais-moi encore jouir, puis ce sera à mon tout de te rendre la pareille ».
Heureuse de voir comment elle prenait la chose, je récidivai. Puis, elle me fit me coucher sur le dos et à son tour, me procura un premier orgasme. Puis, elle me fit me mettre sur le ventre et glissant sa tête entre mes cuisses, débusqua de la langue mon petit orifice. J’étais honteuse et heureuse à la fois. Je laissai faire, et très vite je sentis la langue de tante Alice, forcer l’accès de mon anus. Dieu, que c’était bon. Je criai mon plaisir, et comme la fille bien élevée qu’elle me croyait être, je lui rendis la politesse.
Nous n’avons pas beaucoup dormi cette nuit-là. Nous nous sommes levées tard ce samedi-là, et pendant notre petit déjeuner que nous prîmes totalement nues, ma tante me parla de chose et d’autres. Elle m’avoua qu’il lui serait difficile d’encore s’occuper de moi. Elle avait de moins en moins de nouvelles de mon père qui depuis deux mois ne lui versait plus d’argent. Elle pourrait continuer à habiter la villa familiale, mais il me faudrait gagner de l’argent. Elle n’avait qu’un travail à mi- temps qui ne suffirait pas à assurer le bon fonctionnement du ménage. Elle me dit avoir des contacts, et pourrait sans doute me trouver très vite un premier travail qui nous permettrait de joindre les deux bouts. Puis, curieusement, elle me dit que le soir elle m’emmènerait à une soirée où je découvrirais pas mal de choses, qui certainement plus tard me seraient très utiles.
Je m’aperçois que j’ai oublié de me décrire. Je suis assez grande pour mon âge, et mesure déjà plus d’un mètre septante. Je suis toujours restée mince. On me dit très jolie fille, et ma tante me confirma la chose : « Tu comprendras ce soir pourquoi ! » J’avais de longs cheveux noirs, des yeux bleus, des pommettes saillantes et de très jolies lèvres. J’étais assez fière de mon allure, mais me demandais ce que Tante allait me faire découvrir le soir. Et je m’appelle Cindy.
Elle devait avoir préparé cette soirée, et m’avait acheté pour cela des vêtements qui me plurent beaucoup. Une blouse de dentelle, qui ne cachait pas grand-chose de ma poitrine de débutante, une jupe très courte, de beaux escarpins vernis. Elle me maquilla soigneusement, et me laissa m’admirer dans le grand miroir. Je ne me reconnus pas. J’avais face à moi une demoiselle qui ne pouvait qu’attirer sur elle les regards de tous, aussi bien hommes que femmes. Je lui fis remarquer que je n’avais pas reçu de culotte et elle éclata de rire
« Rassure-toi, ce n’est pas un oubli. Mais où nous allons ce soir, personne ne porte de culotte. C’est une règle tacite, et même une débutante comme toi dois t’y soumettre. Tu comprendras vite pourquoi. »
L’endroit où tante Alice m’amena s’appelait le FLOWERS. C’était dans un quartier voisin une grande villa, totalement isolée. Dans le parking, une dizaine de voitures. Tante Alice décréta que ce serait parfait, pour y faire mes débuts. Arrivées dans un hall, tante Alice fut accueillie par une jeune femme vêtue de façon assez excentrique. Elle embrassa ma tante, me sourit en m’embrassant sur le front en me disant que je ne perdais rien pour attendre, et remercia ma tante pour avoir emmené une aussi jolie fleur.
« Ne crains-tu pas qu’elle soit une peu désorientée ? »
La réponse de tante Alice fut immédiate :
« Ne crains rien, cette nuit elle m’a déjà fait ses preuves. D’ailleurs, regarde ! »
Elle releva ma jupe et fit admirer à son amie le spectacle de ma chatte que je sentais déjà se tremper. La jeune femme, qu’on appelait Véro ouvrit de grands yeux :
« Que c’est joli tout cela. Mais sait-elle s’en servir ? ».
Tante Alice éclata de rire et elle rétorqua :
« Je peux te garantir qu’elle est joliment douée, et toutes pourront ce soir s’en apercevoir. Mais ne perdons pas de temps, et entrons dans la grande salle. »
Et là, j’ouvris de grands yeux. La salle était immense. Le long d’un grand mur, un énorme bar muni de tabourets où étaient installées des femmes de tous âges. Puis, éparpillés ça et là, de grands fauteuils et même quelques divans. Sur l’un d’eux, il y avait un couple de femmes, totalement nues, qui faisaient l’amour sous le regard de quelques curieuses. Je regardai tante Alice, intriguée, et lui demandai où elle m’avait amenée.
« C’est un club où je viens régulièrement. Il est interdit aux hommes. Seules des femmes peuvent y venir, et c’est en général pour trouver une partenaire pour cette nuit. J’ai connu ici de merveilleux moments, et j’espère bien que ce sera aussi ton cas. »
Mon arrivée avait provoqué quelques remous, et je fus de suite entourée. Les commentaires fusèrent
« Qu’elle est mignonne ! Je me l’offrirais bien. Mais je crois qu’elle serait encore plus belle toute nue. »
Tante Alice avait entendu cette remarque, et en un clin d’œil me déshabilla. On aurait que toute l’assistance s’était regroupée autour de moi, et d’une main, je tentai de cacher ma chatte. Une claque vigoureuse m’en dissuada.
« Allons, chérie, ne fais pas ta mijaurée. Tantôt, nos langues s’affronteront pour pouvoir s’occuper de ton joli joujou, et toutes mettront un point d’honneur à lui procurer les joies qu’il mérite bien ».
Curieusement, je me sentais bien. Je laissai faire les mains qui se baladaient sur mon corps, mes seins de débutante, mes fesses et plus particulièrement mon entre-fesses. Ma chatte était maintenant trempée. Tante Alice s’en aperçut : elle repoussa les filles qui se pressaient contre moi, et m’emmena sur un divan vide où elle me fit me coucher. Elle donna alors le signal de début d’une soirée que jamais je n’oublierais
« Voilà, Cindy est à vous. Faites-vous plaisir en lui offrant vos chattes, et surtout pensez à son plaisir. Elle est toute à vous, je vous l’offre : ne me décevez pas, et surtout ne la décevez pas. »
Des orgasmes, j’en ai connus. Mais jamais autant que cette nuit-là. Je sais qu’ils étaient nombreux, au point que mon clitoris finit par me faire mal. Une voiture nous ramena chez nous. Tant bien que mal, je m’étais rhabillée et installée sur la banquette arrière où vint me rejoindre tante Alice.
« Alors, heureuse ? Qu’en dis-tu ? »
Je répondis immédiatement
« Oh, c’était merveilleux. Dis-moi que nous y retournerons ! »
« Je te le promets. Mais il fait aussi maintenant que tu découvres l’homme, et que tu perdes tes deux pucelages. Nous en reparlerons demain, et aurons une importante discussion à ce propos. »
Je ’insistai pas. Malgré ma fatigue bien compréhensible, je vécus une nouvelle nuit agitée Mais elle le fut aussi pour ma tante, que pour remercier je fis jouir à plusieurs reprises.LIRE LA SUITE

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Commentaires

Logo de Henic
mercredi 5 juillet 2023 à 18h29 - par  Henic

C’est amusant : la première page en accès direct signale en première ligne que l’héroïne vient d’avoir dix-huit... (on suppose qu’il s’agit d’ans), alors que la première page du texte complet (zone abonnés) débute par « je viens d’avoir dix-sept... », âge que l’on retrouve plus loin dans le texte (ch2 p.ex.).
Par ailleurs, il n’est pas évident pour une femme de trouver du plaisir lors de son dépucelage, mais tout existe !