Sévère rencontre florentine -1-

dimanche 1er novembre 2015
par  Sylvain de Perry
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Je me nomme Catherine, ai vingt-deux ans, mesure un mètre soixante-dix-huit pour un poids de soixante-cinq kilogrammes. Je suis une vraie blonde (merci de m’épargnez vos commentaires à ce sujet), yeux marrons, nez droit, bouche large, cou un peu long, poitrine aux seins menus avec mes aréoles brunes, sexe entièrement épilé, fesses rondes, musclées par de la gymnastique régulière.
Messieurs, vous pouvez rester à distance, je n’aime que les femmes, de préférence mûres.
C’est à un mariage des plus conventionnelles que j’avais fait la connaissance de Sabrina. Elle avait quarante-cinq ans. Brune aux yeux verts, plus petite que moi de dix centimètres, ce qui m’avait plu en elle, en premier sa tenue : cuir et cuir plus cuir.
Quand on vit à Firenze (Florence en français) que l’on est invité au mariage d’un vrai Marchese (Marquis), où la tenue de soirée est sinon exigée, du moins fortement recommandée, et que l’on s’y pointe en cuir, que malgré cela les cent convives saluent Sabrina avec respect, il y a de quoi intriguer.
Je m’étais donc arrangée pour m’approcher de Sabrina, qui était seule loin de tout groupe. Après quelques paroles de politesse convenue, j’avais questionnée, directe :
— Etrange de vous voir en cuir dans ce milieu de la bourgeoisie florentine.
Ses yeux bleus m’ont fixé, perçant, comme pour remonter jusqu’à mon cerveau, puis elle a éclaté d’un rire clair, vite stoppé :
— Tu es bien impertinente, petite française. Mais ça me plaît. (A voix plus basse, mais tout aussi incisive, elle s’enquit :) Où loges-tu ?
— Albergo Kursaal-Ausonia.
— Le directeur Giovan-Paolo et Paola, son épouse, sont des connaissances.
Elle sort de sa poche de pantalon un téléphone portable, poursuit :
— Avise la réception que tu ne rentreras pas ce soir. Tu es mon invitée.
Un court instant, l’envie de lui jeter son téléphone à la figure et de lui dire que je décide seule ce que je fais.
La seconde suivante, je tapote le numéro sur le clavier, avise le portier de nuit qu’il ne s’inquiète pas de mon absence, restitue l’appareil à sa propriétaire.
Sabrina pose sa main sur ma joue, la caresse doucement :
— Je suis la princesse Sabrina Del Monte. Voilà pourquoi on ne dit rien sur ma tenue. Par contre, je t’invite pour ton impertinence, car elle mérite une punition.
Sa main s’est faite plus lourde sur ma joue, néanmoins pour la forme, je proteste :
— Mais non !... J’étais juste surprise, pas impertinente…
Je n’en dis pas plus, Sabrina m’entraîne vers une proche partie sombre du vaste jardin de la propriété de Fiesole.
Elle m’enlace, bouche contre bouche, son autre main se pose sur ma croupe ferme, elle chuchote :
— Une bonne fessée réparera l’incongruité de ta question…
Avant que je ne dise quoi que ce soit, ses lèvres se posent sur les miennes, sa langue avide pénètre dans ma bouche, la parcourt en tous sens alors que mes bras ont entouré son corps de cuir.
Je réponds à ce baiser surprenant et très agréable pendant que l’autre main pelote avec ardeur mon derrière à travers la robe.
Puis nos bouches se séparent (à regret pour moi), Sabrina, même pas essoufflée, commande :
— Enlève ton string ou slip, donne-le-moi !
Je ne proteste même pas, passe mes mains sous ma robe, ôte mon slip, le lui tend.
Elle le porte à son nez, puis, sans commentaire, l’enfourne dans sa poche ; une de ses mains enlace mes doigts, elle décide :
— Allons chez moi.
Alors que nous marchons dans l’allée, déserte, vers le parking, Sabrina s’enquiert :
— Comment es-tu venue ici ?
— En taxi.
— Parfait.
Elle m’ouvre la portière côté passager d’une Porsche Carrera noire, commande :
— Met tes fesses nues directement sur le siège.
Je retiens un hoquet de surprise, relève ma jupe, pose mon derrière nu sur le cuir qui recouvre le siège.
Sabrina contourne le véhicule, s’assoit derrière le volant, met le contact.
Une trentaine de minutes plus tard, la Porsche emprunte la descente d’un garage souterrain d’un grand hôtel particulier dans une via (que, volontairement, je ne nommerai pas) près de la Basilique Santa Croce.
Sabrina range l’auto à côté d’une Rolls Royce.
Devant mon air surpris, elle s’approche près de moi, m’enlace sans souci, murmure, lèvres collées contre mon oreille :
— Quand nous nous connaîtrons mieux, nous pourrons faire l’amour dans la Rolls…
Elle me prend par la main :
— Montons au premier.
A l’aide du « bip » ayant servi à ouvrir le garage, elle déverrouille la porte d’un petit ascenseur où nous entrons, puis elle appuie sur le bouton du premier étage. Il se meut lentement, Sabrina colle sa bouche contre la mienne pour un nouveau baiser qui m’émoustille et m’excite.
Quand la porte palière s’ouvre silencieusement, nous sortons, enfilons un vaste couloir légèrement éclairé, laissons deux portes et franchissons la troisième.
Je comprends que je suis dans la chambre de Sabrina. Vaste, elle mesure au moins soixante-dix mètres carrés. Les murs sont recouverts de papier bleu clair, un vaste lit semble nous attendre.
Sabrina me regarde, dit :
— Met-toi nue que je t’admire. Si tu as besoin, la salle de bain est à droite.
J’ôte ma robe, mon soutien-gorge, les dépose sur un fauteuil, me retourne pour faire face à mon hôte, demande :
— Restes-tu habillée ?
Sa voix se fait plus incisive :
— Oui. Pour l’instant…
Elle me désigne une chaise près du cosy en teck massif :
— Avance-moi la chaise !
Je marque un bref temps d’hésitation, puis obéis.
Je crois qu’elle va s’asseoir, mais Sabrina pose ses mains sur mon cou, les fait descendre vers mes seins dont elle agace les pointes avec les doigts. Quand elles saillent sous l’excitation, elle les pince fortement entre pouce et index, me fait crier :
— Aaaaaaaye !... Doucement !...
Comme je porte mes mains vers mes seins, Sabrina en délaisse un, m’alloue une forte claque sur la fesse gauche, ordonne :
— Les bras le long du corps !
— Oui… Mais tu m’as fait mal…
— Je sais. Et ça ne fait que commencer…
Sabrina se laisse tomber sur la chaise au dossier droit, m’attire en me faisant basculer à plat ventre sur ses cuisses de cuir, me ceinture de son bras gauche et, sans préavis, sa main droite commence à claquer mon cul nu offert dans toute sa plénitude.
Sa dextre se lève et s’abaisse rapidement, frappe mon derrière avec puissance, si bien que très vite, malgré moi, je crie ma douleur :
— Nooooooon !... Aaaaaaaye !... Pas si fooooooort !...
— Je t’ai promis une punition. Tu ne croyais tout de même pas que ce serait des caresses. Tu dois comprendre que je te fesserai dès que l’envie m’en prendra. Au moins deux fois, sinon trois fois par jour.
Pendant toute sa diatribe, elle a continué de marteler mes fesses nues par ses fortes claques.
La douleur irradie toute ma chair. Je me tords dans le cercle de son bras, pédale en tous sens pour tenter d’échapper aux pamussades qui percutent mes globes jumeaux sur un rythme soutenu.
Mes cris n’ébranlent pas ma fesseuse :
— Asssssssez !... Pluuuuuuus… Le fesssssssée !... Pitiiiiiiié !... Je ferai… Tout… Ce… Que… Tu veux !... Aaaaaaaye !...
— Mais ce que je veux, c’est te fesser ma belle. Tu as un cul très agréable à claquer. Il rebondit bien, rougit parfaitement.
Au ton de sa voix je comprends que me donner une fessée, cela l’excite. Et
Même si un tel châtiment ne m’est plus arrivé depuis mes dix-douze ans, je dois, à mon grand regret, malgré la douleur, la chaleur qui irradient mon derrière, je commence moi aussi à avoir mon sexe qui s’humidifie.
La vigueur des claques ne diminue pas, mes cris, non plus :
— Asssssssez !... Pitiiiiiiié !... Arrrrrrrête… S’il te plaît !… Pluuuuuuus… La fesssssssée !... Nooooooon !...
La main qui me ceinture s’est glissée sous mon ventre, deux doigts se sont emparés de mon clitoris exacerbé et saillant, l’ont pincé fortement. D’où ce « non ! » plus stridulent.
Sabrina pince mon clitoris, puis le relâche, en alternant avec des caresses. Son autre dextre continue à me claquer le derrière, si bien que sous cette double douleur, je me contorsionne sur ses cuisses de cuir.
Puis, sans préavis, elle cesse son jeu, attrape ma tête entre ses mains, dont l’une est très chaude, colle sa bouche sur la mienne, m’embrasse avec ardeur.
Je réponds avec avidité à son baiser.
Puis, elle me repousse vers le lit où je m’étale à plein dos.
Sabrina m’y rejoint, colle son corps de cuir contre moi, reprend ma bouche, pendant que ses mains caressent mes seins, descendent jusqu’à mon ventre, puis mon sexe.
Puis elle me sert contre elle, bascule sur le dos ; je me retrouve allongé sur elle. Elle présente son majeur devant ma bouche, m’ordonne :
— Lèche-le ! Salive-le bien ! Il me reste ton petit conduit anal à découvrir.
Je grimace, annone :
— Non ! Non !... Quand je prends ma température, ça me fait déjà mal, alors…
Son autre main claque mon cul par deux fois :
— Justement. Je veux voir ce que ça donne.
Sachant que Sabrina n’en démordra pas, je dépose plein de salive sur le majeur qui, peu après, me badigeonne le trou du cul de salive avant de revenir entre mes lèvres. Elle m’exhorte :
— Allez, salive-le sur toute sa longueur maintenant.
Je mouille abondamment le doigt qui, une fois ma besogne achevée, prend position sur mon orifice anale.
Sabrina, de sa main libre, me prend le cou, sans serrer, pose sa bouche sur la mienne, force mes lèvres de sa langue imitée par son doigt qui se forge un passage dans mon trou du cul serré.
Je pousse un petit cri étouffé par le baiser de mon amante, qui le rompt quelques secondes :
— Détend-toi !
Sabrina me reprend la bouche tout en faisant pénétrer son majeur dans mon derrière dont les parois l’enserrent.
La salive abondante permet un douloureux glissement jusqu’à ce que je sente la paume se coller à ma chair.
Nouvelle rupture de baiser de Sabrina qui dit :
— Je vais le faire naviguer un peu en toi. Ça risque de te faire un peu mal, mais il faut le supporter. Quand ce sera un gode…
Reprise du baiser et le doigt navigue en moi, me faisant crier dans la bouche de Sabrina.
Après quelques douloureuses minutes, elle l’extrait de mon derrière, le présente à ma bouche libérée :
— Nettoie-le !
J’ai un léger mouvement de recul, ce qui me vaut deux claques sur ma croupe par son autre main.
Je me résous à ouvrir la bouche et à lécher le majeur imprégné de mon parfum interne et intime.
Sabrina déclare :
— Il est temps de dormir maintenant…
Elle quitte le lit, se déshabille.
Pour la première fois je peux admirer son corps : deux seins fermes, une paire de fesses longues, musclées.
Sabrina revient vite se coucher, m’enlace, m’embrasse puis dit :
— Allons-nous laver les dents, puis dodo. Demain il me faudra te travailler ton orifice afin de le préparer pour le don de ta virginité anale.
Deux nouvelles claques pleines fesses et direction salle de bain.





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