15- Scène et giton

vendredi 16 octobre 2015
par  calingiton
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Personnages : Axel Philippe La mère

Encore un peu étourdi, tel un zombie, une véritable petite marionnette manipulée par son vieil amant, je me soulève péniblement pour me rapprocher de maman, maintenue au sol par sa chaîne. Elle ne peut relever la tête et il me faut me glisser sous elle pour lui présenter ma queue dressée sous le nez. Sur ses genoux, à quatre pattes sur le dallage brûlant de la terrasse, elle nous présente sa croupe généreuse dans une impudeur absolue. J’ai envi qu’elle me suce et pour me faire commander je lui assène un léger coup de fouet sur ses fesses. Je l’entends gémir en tordant son corps telle une limace par terre, alors que je l’ai à peine touchée. Je la vois s’arc-bouter pour encore mieux présenter son cul, désireuse de jouer jusqu’au bout ce rôle de soumise réclamé par mon Maître. Je la frappe une seconde fois en visant ses fesses, un peu plus fermement alors qu’elle me gobe le gland congestionné. Je suis très mal à l’aise et je me contente seulement de lui caresser le corps avec les lanières de cuir. Mon Maître, furieux, me saisit le martinet des mains.

Il est facile de comprendre que si Philippe m’a enchaînée de cette manière au sol c’est pour me convaincre que je ne suis qu’une chienne. Comment peut-il en être autrement avec cette chaine au cou si lourde et surtout si courte qu’elle m’oblige à maintenir la tête à terre ? Je suis d’autant plus une chienne, que courbée ainsi, j’expose, dans une indécence infamante pour une mère, ma croupe généreuse. Il lui suffirait de m’enfiler un de ses plugs surmontés d’une imposante queue de fourrure pour que la similitude soit définitivement établie. Je ne suis pas non plus surprise lorsqu’Axel, sur l’ordre de son Maitre, m’inflige un premier coup de lanières sur les fesses. Je m’y attendais. Mon garçon est si lâche qu’il est prêt à toutes les aliénations dès qu’il se sent esclave de quelqu’un. Il l’était avec moi, avec d’autres certainement, et il l’est avec ce Maitre qu’il s’est enfin trouvé. Mais sa lâcheté est telle qu’il ne trouve même pas le courage de me frapper avec fermeté, ce qui, bien entendu, soulève immédiatement et fort logiquement la colère de Philippe de Beaudricourt. Je me contente de faire la sourde oreille en engouffrant son jeune sexe dans ma bouche, lui dévorant sa queue telle la louve avide que j’ai toujours été avec mon fils. Louve que je resterai toujours, même sous le joug de Philippe, mon nouvel amant.

Je regarde mon giton se contorsionner pour présenter sa queue à sa chère et tendre maman. Celle-ci relève la tête en apercevant cette jeune queue face à elle. Elle se rend compte de la lâcheté de son fils, qu’il profite de la situation pour assouvir de vieux fantasmes qu’il ne pensait peut être jamais vivre. Il aura fallu seulement qu’il croise mon chemin. LIRE LA SUITE

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