13 - Scène et Giton

samedi 12 septembre 2015
par  calingiton
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Personnages : Axel Philippe La mère

Résumé des épisodes précédents :

Axel, éphèbe de 18 ans, se laisse entraîner par Philippe, un riche et dangereux pervers, dans sa luxueuse propriété héraultaise. Il devient très vite l’esclave sexuel de ce sexagénaire avide de chair fraîche. Désireux d’officialiser cette relation inespérée, Philippe invite le soir même la mère de son jeune protégé. Celle-ci, séduite par le luxe dans lequel vit cet homme, se laisse aussi prendre au piège. Elle a très vite la confirmation des relations sadomasochistes qu’entretiennent Philippe et son fils. Relation qu’elle va très vite acceptée elle aussi de la part de leur hôte, dans le donjon où il retient prisonnier Axel. Fessée tout d’abord, elle sera contrainte ensuite à pratiquer un simulacre de sodomie sur son fils, puis obligée de le sucer sur son pilori. Submergée par la honte, elle s’abandonne à ses instincts les plus vils, incapable de résister à cet homme qu’elle s’est choisie.

***

Je reste un moment comme tétanisé de me retrouver seul avec maman, à commettre cet acte infâme, le visage enfoui entre ses grosses fesses. Je veux m’arrêter tout de suite, pour m’excuser auprès d’elle, de ce que l’on me force à commettre. Poursuivre une telle horreur est inacceptable. Comment puis-je continuer à commettre un tel acte sur maman ? Je soulève alors ma tête, un peu inquiet en regardant autour de moi, chercher ces maudites caméras qui nous filment. Mais maman me retient :
― Non mon chéri... Ne tente rien ! Il pourrait revenir et nous punir.
Elle a peur, c’est évident. Mais comment peut-elle supporter d’avoir ma propre langue dans son trou ? Elle aussi est totalement sous la coupe de Philippe. Comment pourrait-elle accepter ce qu’elle fait, sans réagir. Cette langue humide et chaude qui s’insinue dans son anus béant, c’est peut être trop d’excitation pour elle. C’est ce que je me dis aussi, en m’imposant cet acte abominable entre nous. Ses doigts agrippés à ses deux globes fessiers, pour les écarter en grand, comme Philippe de Beaudricourt lui a intimé de faire, elle m’oblige à continuer. Je la vois se laisser engloutir par des vagues successives de plaisir. Elle me saisit même par l’épaule pour me contraindre à me maintenir entre ses fesses. Elle me supplie même :
― Continue mon ange... Je t’en prie... Hum… C’est trop bon, ce que tu me fais, mon chéri !
J’hésite, partagé entre la honte qui m’habite alors et cette volonté farouche de répondre au désir de ma mère. Le dilemme est cruel. Finalement c’est la seconde alternative qui s’impose à moi. Il est facile pour moi de me réfugier derrière la volonté de maman, pour continuer cet acte obscène, avec la ténacité de celui prêt à toutes les compromissions pourvu que je réponde aux ordres et désirs d’une autorité supérieure. Je suis lâche et craintif, mon Maître ne cesse de me le répéter. Je ne suis qu’une lope à ses yeux, je l’ai compris. Mais comment puis-je refuser ce que ma maman me réclame. De quel droit je peux lui refuser, ce qui parait naturel à ma mère de réaliser.

Je m’abandonne alors, de longues minutes, aux délicieuses caresses buccales qu’on me gratifie, consciente que celui qui me les prodigue est mon si dévoué garçon. Mes plaintes et râles de plaisir, comme mes trémoussements obscènes sur cet arçon diabolique, sont autant de démonstrations de l’obscénité de mon comportement. Comme s’il avait fallu attendre que cet homme, ce Philippe de Baudricourt, me pousse dans mes retranchements pour que s’exprime toute l’horreur de ses pulsions incestueuses enfouies en moi.
Satisfaite enfin d’avoir suffisamment joui sous sa langue avide, je me redresse pour le repousser brutalement, comme s’il me dégoûtait tout d’un coup. Il paraît complètement décontenancé par mon attitude assez déconcertante, il est vrai. Il espérait certainement autres choses de ma part. Là, je l’ai refroidi. Je ne veux surtout pas lui laisser imaginer que je serai une mère facile. Qu’il n’ait aucun faux espoir, je reste et veux rester cette femme distante avec lui. Plus encore maintenant que je sais comment il fonctionne avec les hommes.
Il a l’air complément désorienté. Cela en est affligeant même. Décidément mon garçon m’insupporte par sa médiocrité. Pourtant qu’est ce qu’il est beau, là devant moi. C’est peut être la seule chose qui m’attire chez lui, et sa dévotion pour moi. Je comprends aisément qu’il puisse attirer autant les hommes. Je me rends surtout compte qu’il serait déraisonnable de ne pas exploiter son physique et ce piètre caractère à mes fins. Surtout, maintenant que nous avons rencontré ce Philippe de Beaudricourt. Je le saisis alors par la main pour l’attirer à moi, mon ventre collé au sien.
― Il faut qu’on aille retrouver ton Maitre, il nous attend !
Et je me mets alors à le cajoler, mi maternelle, mi amante. Il s’abandonne aussitôt à mes cajoleries, avec le bonheur béat du fils qui retrouve la chaleur de sa mère, après ma brusque froideur. Je ne veux surtout pas oublier que cette rencontre avec ce type friqué aux as est une chose inespérée, pour nous. Et j’ai conscience qu’Axel est une pièce maîtresse dans cette relation à trois qui se profile.


Surpris par la réaction méchante et brutale de maman, je reste un moment pétrifié, sans comprendre. Comme d’habitude elle se comporte de manière injuste et abusive avec moi. Elle sait que je n’y suis pour rien. C’est le Maître qui m’a forcé à commettre tout ça. Elle ne s’est pas non plus dressée contre lui. Mais pour elle, je suis le responsable, c’est certain. Je comprends qu’elle m’en veuille. Je ne suis qu’un lâche et un faible. Une lopette comme n’arrête pas de me dire. Et puis, tout ne serait pas arrivé si je n’avais pas croisé le chemin de cet homme chez SPAR, au Cap d’Agde. C’est moi seul le responsable de tout ce qui arrive.
Et de manière tout aussi incompréhensible, elle m’attire contre elle pour me serrer dans ses bras, mon sexe tendu venant se glisser entre ses cuisses de manière involontaire. Elle me tient alors blotti contre elle sans un mot d’explication. Comme si elle devait se prouver qu’elle est encore ma mère, après tout ce que l’on vient de faire. Mais qui pourrait le croire, en nous voyant enlacés nus comme cela, surtout dans cet endroit. On renvoie surtout l’image d’une relation des plus équivoques, entre une femme Cougar et son jeune lionceau.
Mais cet échange aussi ambigu que dévoyé n’est que de trop courte durée, car déjà, elle s’empresse à me ramener à la réalité : le Maître nous attend là haut au bord de la piscine, là où il m’a enchainé tout à l’heure. Et me maintenant enlacé à elle, son bras autour de ma taille, elle me ramène à mon homme de manière assez directive, en me couvrant de petits baisers. Comme si elle voulait lui prouver que sa conduite et sa relation incestueuse qu’elle a maintenant avec moi est définitivement installée.
Le Maître s’est baigné et nous attend allongé dans un transat, son sexe toujours bien raide. Sa satisfaction est à peine dissimulée lorsqu’il nous retrouve,, nos deux corps nus étreints de manière plus qu’équivoque. Maman se saisit de mon sexe en nous approchant de Philippe. Cette fois, il n’y a plus aucun doute.
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