A la recherche d’une nouvelle soumise

dimanche 23 août 2015
par  Fatum
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Il y avait longtemps que je n’avais plus pris de vacances, et ce mois-là, je changeai mes habitudes. J’avais évidemment entendu parler de la vie en Thaïlande, et décidai d’y passer quelque temps, dans l’espoir d’y rencontrer une ou l’autre jeune proie que je ramènerais dans mon antre en France. J’avais confié mes deux soumises actuelles à mon ami Jean, et savais que chez lui elles seraient bien traitées...ou bien maltraitées, et c’est sans regret que je quittai la France.
J’avais choisi une agence de luxe et c’est avec curiosité que j’allais découvrir ce pays, et surtout ses jeunes demoiselles dont on disait tant de bien. Je m’étais lourdement trompé. Les quelques relations que j’eus avec de jeunes autochtones me déçurent. En fait, si elles étaient incontestablement expertes, elles étaient aussi beaucoup trop soumises à mon gré : elles acceptaient tout, et jamais je n’eus droit à un refus ou un geste de défense. Ce fut sans étonnement que j’aperçus dans notre petit groupe de touristes une demoiselle apparemment fort jeune encore, mais très jolie et toujours souriante. Adroitement, je parvins à prendre contact avec elle. J’étais routinier pour ce genre d’approches et ce fut sans la moindre difficulté que je parvins à la faire parler. Elle me raconta sa vie, qui ne m’intéressa que fort peu. Par contre, elle fut prolixe quant à ses projets d’avenir. Elle avait décroché un poste temporaire dans un journal de province qui lui avait demandé de préparer un article sur le monde du BDSM, un monde dont elle n’avait pas la moindre idée. Je lui expliquai que la Thaïlande n’était pas toujours l’endroit rêvé pour ce genre d’enquêtes, et allai lui en fournir la preuve.
Je parvins à la persuader de me suivre dans un salon de massage : elle y découvrirait la raison de mes réticences. Sa curiosité l’emporta. Jamais elle n’aurait osé se rendre seule dans un établissement de ce genre, et me demanda de l’y accompagner. Je n’allais pas refuser et le lendemain après-midi, j’emmenai Betty dans une de ces fameux salons. J’y demandai un local pour un couple, et ce fut sans la moindre difficulté que je trouvai ce que je cherchai.
C’est accompagnés de deux très jolies et très jeunes masseuses que nous avons pénétré, Betty et moi, dans une grande salle au centre de laquelle où se trouvaient côte à côte deux tables de massage. Les deux masseuses s’étaient immédiatement mises nues, et je vis Betty s’en étonner. Une des jeunes filles vint me déshabiller, et ce fut totalement nu que je me couchai sur une des tables. Je fis mine de ne pas observer Betty qui après quelques hésitations et sur l’insistance de sa masseuse m’imita, sans toutefois oser me regarder. Je ne m’étais pas trompé : la fille était superbe, et je décidai sur le champ d’en faire ma troisième soumise. Mais il me fallait être prudent et surtout ne rien brusquer. Il valait mieux attendre notre retour en France pour ferrer le joli poisson.
Couché sur le ventre, je m’étais placé de manière à pouvoir du coin de l’œil observer Betty, aidé en cela pour un grand miroir fixé au plafond. Je me laissais triturer par ma partenaire, poussant de temps à autre de gros soupirs destinés à troubler Betty. A mon étonnement, celle-ci s’abandonnait aux caresses de plus en plus indiscrètes de sa partenaire, et quand celle-ci écarta les fesses de Betty pour y faire jouer sa langue, Betty poussa de langoureux soupirs qui n’étaient pas de comédie. Je la vis jouir, et quand elle aperçut mes yeux qui la fixaient, elle fit l’ingénue. La séance était loin d’être terminée. Après de nombreuses caresses qui nous menèrent, Betty et moi, au bord de l’orgasme, nous dûmes quitter nos tables pour aller dans une énorme baignoire où immédiatement vinrent nous rejoindre nos masseuses. J’avais alors pu à mon aise contempler Betty. Comme je l’espérais, elle n’était pas une fausse blonde. Même trempés, ses poils pubiens en témoignaient. Ses seins étaient magnifiques et sa croupe superbe. J’aurais bien du plaisir à plus tard pouvoir la fouetter. Betty me regardait souriante : visiblement, elle m’avait adopté, me cataloguant comme une personne de confiance. Elle ne se méfiait plus de moi, et je me pourléchai les babines, sachant que quelques semaines plus tard, elle se tordrait sous mes coups, et aurait appris à aimer cela.
Nous passâmes le reste de nos vacances ensemble, mais jamais je ne la touchai, bien décidé à ne pas brusquer les choses. Nous avons alors parlé de choses et d’autre pendant les quelques jours qui nous restaient à passer dans le pays. Je la questionnai adroitement, tâchant de découvrir pourquoi elle avait choisi d’écrire un article sur une chose dont elle ne savait rien. Elle me disait de rien y comprendre « Comment une femme peut-elle abandonner son corps à quelqu’un qui se prétend son maître ? Et quand celui-ci la fouette ou la supplicie, comment peut-elle en être heureuse ? Une femme peut-elle être folle à ce point ? » Je lui répondis que moi non plus, je n’y comprenais rien. Mais je promis aussi de l’aider dans son travail, lui disant que j’avais rassemblé en France pour un livre que je préparais sur le même thème une importante collection de textes et de photos que si elle le désirait, elle pourrait venir consulter chez moi, dès notre retour. Elle se dit d’accord et m’avoua vivre seule, ayant rompu avec ses parents. Elle n’avait jamais, dans toute sa jeunesse, connu de caresses que dans les bras d’une amie d’école, quand elle avait eu seize ans. Ma jeune proie était donc vierge, et cela ne pouvait que me réjouir. Mais prudemment, je ne la brusquai pas.

***

Après notre retour à Paris, je rappelai à Betty ma promesse de lui laisser voir ma documentation sur le BDSM, et nous convînmes d’un rendez-vous pour le vendredi suivant. Je lui donnai mon adresse, nous convînmes d’une heure pour le dîner, et elle fut ponctuelle. Quand elle entra dans mon appartement, la taille de celui-ci la sidéra « Comment peux-tu disposer d’un pareil bijou ? Cela doit te coûter une fortune ? » Je répondis que mes affaires marchaient fort bien, et elle sembla se satisfaire de cette réponse. Après avoir pris un apéritif dans mon salon, nous sommes passés au repas. J’avais mis les bouchées doubles : homard et foie gras, plus un élégant Sauternes. Elle se sentit flattée. Je l’amenai alors dans mon bureau, et là elle ouvrit de grands yeux. Aux murs pendaient d’anciens tableaux, tous libertins. La plupart montraient des esclaves mises en vente, mais aussi des esclaves fouettées et suppliciées. Je ne saurai jamais si là, elle ne se posa pas de questions.
Puis, j’ouvris une armoire et lui fis découvrir d’anciens livres, ornés d’illustrations suggestives. Tous parlaient de femmes soumises. « Alors, que penses-tu du BDSM ? Et regarde ceci ! » Je lui avais mis en main un album de photographies. Cet album présentait à gauche des photos de culs féminins dans leur état normal et à droite, des vues identique mais avec l’anus cette fois dilaté. Je vis Betty rougir, mais elle était apparemment fascinée.
« Comment est-ce possible, que leur a-t-on fait et au moyen de quel truquage ? »
J’éclatai de rire « Il n’y a là rien de mystérieux. Quelques jours de traitement, et elles sont prêtes, comme tu le vois, à accueillir dans leur anus le sexe de leur partenaire, si gros soit-il. »
Betty ne répondit pas, mais tournait avec avidité les pages. Je lui dis alors « Documente-toi à ton aise, je vais nous chercher à boire. » Pendant mon absence, elle avait fouillé une autre armoire, où elle avait découvert quelques godes et autres sex-toys. Je rentrai, avec deux verres pleins et une bouteille de champagne : « Buvons au succès de ton article, et à celui du livre que j’écris et dont tu feras partie »
Je poussai alors mes avantages à bout, et commençai à me montrer pressant. A mon grand étonnement, Betty se laissait faire. Visiblement, elle était prête à se donner à moi, et ce début de soumission m’enchantait. J’allais ainsi pouvoir découvrir les qualités éventuelles de ma jeune conquête.LIRE LA SUITE




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