La journée d’un couple moderne -2-

2° partie
samedi 25 juillet 2015
par  Sylvain de Perry
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7 votes

Deuxième partie. Londres.
Caroline conduit la Bentley avec brio dans les rues encombrées de la capitale britannique.
Heureusement que les vitres sont teintées car je ne suis vêtu que de ma culotte de cuir. Je n’imagine même pas la tête des voisins de notre quartier posh de Chelsea s’ils m’avaient vu ainsi.
Caroline négocie parfaitement la descente dans le parking privé de mon entreprise.
Parvenus au troisième sous-sol nous franchissons la porte privée qui donne accès à la partie réservée à nous trois.
Caroline éteint le moteur, ouvre sa portière. Je l’imite et sors doucement vu le gode qui encombre mon intérieur.
Elle s’approche de moi alors que ferme la portière, passe sa main sous mes fesses, vérifie que le gode tient bien, pousse au cas où il serait un peu sorti, puis nous gagnons l’accès à l’ascenseur. Il ne dessert que notre sous-sol et va directement au huitième étage où se trouvent les bureaux de Claudia et Caroline.
Parvenus à destination, nous empruntons le couloir qui conduit aux bureaux et pièces de relaxation.
Caroline compose le code qui ouvre la porte donnant accès à son bureau, commande :
— Suis-moi, je vais voir si Claudia est seule.
Elle m’abandonne, frappe à la porte de communication entre les deux bureaux. La voix de mon épouse, basse vu l’épaisseur du battant, invite :
— Vous pouvez venir.
Caroline ouvre la porte et je la suis.
Claudia trône derrière le grand bureau, nous regarde pénétrer dans son antre, détaille ma tenue :
— Approche mon tout beau.
Je contourne le bureau, prends position tout près de mon épouse.
Elle passe sa main sur la culotte de cuir, claque de la langue contre son palais, lâche :
— C’est bien Caroline, tu l’as fessé avant de partir…
Claudia m’alloue deux fortes claques :
— … Ecarte tes cuisses !
J’obéis ; elle passe sa main entre mes jambes, s’arrête sur la rondelle du gode, exerce quelques mouvements qui me font mal car mes chairs internes sont collées sur le mandrin.
Deux nouvelles claques, et elle décide :
— Caroline, reste là. Le chef de produit et son assistante vont venir dans cinq minutes. Reçois-les, écoute-les, on décidera ensemble de ce qu’on fera. Je vais m’occuper de Gilles à côté. Ne me dérange sous aucun prétexte.
Claudia se lève, passe sa main droite entre le cuir et ma peau de la culotte, et nous repassons dans la partie appartement.
Mon épouse me guide jusqu’à un fauteuil de cuir où elle s’assoit avant de dire :
— Je vais ôter ta culotte de cuir après avoir dégonflé le gode.
Elle prend dans son sac la valve qui s’adapte au gode. Caroline possède la même. L’échappement de l’air s’accompagne d’une libération progressive de mon conduit anal.
Claudia le laisse juste gonflé ce qu’il faut pour le sortir sans souci, l’agite un peu afin que l’adhérence de mes chairs internes ne gêne aucunement son retrait. Elle baisse la culotte de cuir puis tire afin d’extraire le gode.
Ça me tire un peu, mais il sort accompagné par un pet.
Claudia rit, dit :
— Tu ne peux jamais te retenir.
— Excusez-moi, Maîtresse… Je ne l’ai pas fait exprès.
— Ne manquerait plus que ça !
Elle m’alloue deux claques sur les fesses, poursuit :
— Lève tes pieds que je retire la culotte.
Claudia dépose la culotte de cuir à terre, commande :
— Va chercher le petit martinet aux quatre lanières dans le premier tiroir de la commode et apporte-le moi.
Je proteste :
— Non !... Maîtresse, non !... Pas celui-là, il fait trop mal !
Deux nouvelles claques choient sur mes fesses, alors que mon épouse déclare :
— Cesse tes jérémiades ou c’est la cravache que tu vas aller chercher.
Maté, je vais à la commode, ouvre le premier tiroir sur le fond duquel reposent divers martinets aux nombres de lanières variées.
Celui requis à un petit manche en bois, quatre lanières de cuir noir, longues de vingt centimètres, taillées dans un cuir très rigide. Elles sont d’ailleurs très fines.
Je ferme le tiroir, l’apporte à Claudia, qui me remercie :
— Merci, mon chéri. Sur mes cuisses en position de fessée.
J’obtempère la mort dans l’âme car mon derrière est encore rose après la fessée de ce matin.
Claudia, après avoir positionné ma bite entre ses cuisses recouvertes par sa jupe de cuir, caresse mon cul avec les lanières qu’elle passe doucement sur ma peau.
Connaissant la forte douleur causée par ses quatre petites lanières, je la supplie d’une toute petite voix :
— Faîtes doucement, s’il vous plaît Maîtresse.
— Il ne fallait pas me péter au nez, mon chéri. Comme ça tu feras attention la prochaine fois. Si j’ai choisi cet instrument, c’est qu’il fait mal, sans trop te marquer. Je peux donc l’utiliser plus longtemps… LIRE LA SUITE

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