Liaison permanente

vendredi 3 juillet 2015
par  FRANKIE
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La fin des vacances scolaires arrivant bientôt, Catherine décida brusquement de partir 8 jours avec ses 2 filles Judith et Eléonore (la cadette) dans une maison de campagne appartenant à sa famille, me disant que ce séjour avec les deux ne pouvait qu’être reposant pour elle, car celles-ci devenaient maintenant de grandes filles disciplinées et obéissantes ; « ce qui n’est pas le cas pour ma 3° fille » me dit-elle en me regardant fixement ; en entendant cela je rougis et baissais la tête honteuse.
Mais en arrivant le soir à la maison, après avoir embrassée tendrement Catherine et ses enfants, en leur souhaitant un très bon séjour, je me sentis soulagée : ne plus avoir sur moi pendant 8 jours ce regard constant et autoritaire de Catherine qui parfois me paralysait, au point de « me pousser en quelque sorte à la faute ! » ; effectivement les 2 premiers jours je me sentais bien, très détendue avec les enfants, qui eux-mêmes avaient l’air de respirer, ne sentant plus cette tension fréquente entre Catherine et moi ; détente véritable malgré qu’elle ait voulu se rappeler quand même à moi pendant 8 jours : je devais lui envoyer tous les soirs un texto sur son lieu de vacances pour lui dire si ma journée s’était bien passée, et s’il m’était arrivée de faire quelques bêtises méritant pour moi quelques fessées à son retour. Bien sûr cette exigence ne me troublait pas outre mesure.
Cependant est-ce le fait d’envoyer ce texto tous les soirs qui déclencha chez moi dès le 3° soir de la mélancolie, je ne sais ! Mais toujours est-il que le reste de la semaine devint pour moi une attente fiévreuse, pas très bonne pour mes enfants, attente de revoir Catherine, ma « petite maman », elle qui sait très bien me diriger dans la vie de tous les jours, que ce soit pour la moindre décision me concernant ou concernant les enfants, Catherine qui m’apporte beaucoup de tendresse et de caresses, Catherine qui sait aussi me corriger quand je suis en faute, et qui sait rendre ses fessées bienfaisantes pour moi ; et j’étais dans un tel état d’esprit que lorsqu’elle est revenue je lui ai sauté au cou en lui disant « tu m’a beaucoup manquée, ton amour m’a manqué, ton autorité m’a manquée, même tes punitions m’ont manquée » et je lui ai annoncé tout çà devant les 5 enfants avec une telle fougue qu’elle en a été toute retournée et m’a lancé un regard émerveillé, le regard émerveillé d’une maman à qui sa petite fille lui déclare son amour.
Le lendemain vers 7 h 30, mes enfants étaient sur le point de prendre leur petit déjeuner, et moi encore en robe de chambre, Catherine m’appelle et me dit :
— Pourrais- tu venir chez moi pour prendre mes 2 petits et les emmener à l’école avec les tiens, et puis ensuite tu reviens pour prendre notre petit-déjeuner ensemble ; et après je te parlerai d’un projet dont nous nous sommes déjà entretenus toutes les deux.
Bien sûr je ne pouvais pas lui manifester un désaccord, surtout après ma déclaration enflammée de la veille à « petite maman » ;aussitôt dit, aussitôt fait, après m’être rapidement habillée , tout en faisant attention aux contraintes vestimentaires habituelles ( robe jaune, culotte petit-bateau, socquettes blanches, chaussures plates) j’emmène les 4 enfants à l’école en passant par chez elle ; puis je retourne vite pour prendre le petit-déjeuner, en imaginant quelques instants de tendresse pendant celui-ci ; mais en arrivant Catherine reprend son ton autoritaire, me dit de me mettre devant elle, de baisser ma culotte à la hauteur des genoux et de bien relever ma robe comme elle me l’a appris ; puis elle me dit :
— Nathalie comment est cette culotte, sèche ou mouillée ?
Voyant qu’elle me sent embarrassée, elle touche le fond et ajoute
— Dis-moi ce qu’il en est.
Je lui réponds
— Petite-maman elle est mouillée, mais ce matin j’étais en retard pour m’occuper des enfants et je n’ai pas eu le temps de me laver entièrement
— Eh bien voyez-moi ça, c’est du joli vilaine petite fille ! Comment peux-tu bien éduquer tes enfants si tu te négliges comme cela ; viens sur mes genoux et recommençons le cycle des fessées, auquel tu es habituée. LIRE LA SUITE


Cette nouvelle deuxième vie je pourrais vous en parler si vous êtes toujours intéressés(es) des heurs et malheurs de Nathalie !

Ce récit se veut être la suite de Liaison par Franck



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