Amours ennemies

dimanche 22 mars 2015
par  Fatum
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Partie 1 : l’occupation

André avait perdu son père lors de l’invasion allemande. Depuis, il vivait avec sa sœur Agnès et sa mère Catherine chez sa grand-mère Clémentine. Celle-ci avait été de longues années institutrice dans la petite ville de Pézenas, mais était retraitée depuis trois ans. Elle habitait à l’écart, dans une grande propriété que lui avait laissée son mari, décédé deux années avant le début de la guerre. Prudemment, André avait préféré conseiller à sa petite famille de se réfugier là-bas. On aurait dit qu’il avait prévu qu’un jour la France aurait connu une zone de démarcation. L’instituteur local ayant disparu lui-aussi dans les premières batailles, le village cherchait à le remplacer, ce qui dans le désordre dans lequel vivait le pays à cette époque était quasiment impossible.
Catherine proposa alors au maire de prendre en charge temporairement les élèves abandonnés à eux-mêmes : elle serait assistée par les conseils de sa mère. Et sa proposition fut accueillie sans la moindre réticence. Malheureusement, en 1942, les allemands occupèrent la zone libre. Et un gros détachement fut affecté à Pézenas afin de surveiller la région que l’occupant supposait cacher de nombreux résistants.
A ce moment-là, André était âgé de dix-sept ans, sa sœur Agnès de quinze ans. Leur mère Catherine, elle, n’avait que trente-huit ans, et n’avait jamais tenté de remplacer son mari. Outre la propriété, elle avait hérité de Clémentine, décédée peu après l’arrivée du détachement ennemi, plusieurs terrains qu’elle était parvenue à revendre à un bon prix à des habitants du village. Cela lui permettait de survivre sans trop de problèmes avec ses deux enfants, tenant compte du maigre salaire qu’elle touchait comme éducatrice temporaire. André se destinait au droit et sa mère préparait avec lui le bachot qu’il passerait fin 1943. Agnès, elle, était encore trop jeune pour s’orienter dans la vie. André était de taille élancée, cheveux noirs et yeux pers. Il adorait sa mère et Agnès qui le lui rendaient bien. Catherine était une vraie blonde, aux yeux bleus, comme ceux de son fils, un visage encore très net malgré les soucis de la vie. Agnès, elle, promettait de devenir une véritable beauté, blonde comme l’était sa mère. Ses seins commençaient à tendre ses blouses, elle avait une taille très fine. Son visage n’était qu’un sourire enrichi de mignonnes pommettes, et un petit nez mutin achevait de lui donner un air impertinent dont elle se servait à merveille.
Les deux adolescents s’étaient sans trop de mal fondus dans le milieu du village, mais ils le fréquentaient peu, l’endroit où ils habitaient étant très à l’écart. Leur mère avait fait l’objet de nombreuses approches de la part de la population masculine, approches qu’elle rejetait toujours avec le sourire. Mais l’arrivée des allemands fin 1942 allait tout changer.
Le gros du détachement avait été logé dans un ancien institut, désaffecté depuis le début de la guerre. Le colonel qui dirigeait la petite troupe avait élu domicile dans une villa réquisitionnée pour la circonstance, où il vivait avec une certaine Frau Krauss. La propriété de Catherine n’avait pas été oubliée. Deux militaires féminines vinrent s’y installer : Hilde, une lieutenante, devait avoir une bonne trentaine d’années. Elle avait un visage autoritaire, qui semblait ne pas connaître le sourire, et maîtrisait parfaitement le français, ayant vécu avant-guerre comme interprète dans un bureau de voyages parisien. Elle avait emmenée avec elle Inge, une toute jeune militaire, qui n’avait guère plus de vingt ans et semblait totalement sous la coupe de sa supérieure. Elles avaient chacune reçu une chambre, mais Catherine s’aperçut très vite que des rapports très intimes existaient entre les deux femmes, et que la petite Inge était totalement soumise à son aînée.
Les rapports entre les habitants de la propriété et leurs locataires ne posèrent guère de problèmes. Les militaires partaient à sept heures rejoindre le gros des troupes et ne rentraient le soir que vers vingt heures, après avoir pris le repas du soir à leur cantine. Elles étaient libres un week-end sur trois, et passaient leur congé dans leur chambre ou en se promenant aux environs. Tout semblait donc se passer normalement jusqu’au moment où le colonel allait poser un acte qui bouleversa totalement la vie du petit village.
Prétextant qu’il fallait entretenir le moral de ses troupes, il décida de choisir parmi la population du village dix femmes, jeunes de préférence, et parmi les plus jolies. Elles seraient contraintes à passer chaque week-end du vendredi soir au dimanche midi à l’institut. Elles y seraient mises à la disposition des occupants et chargées d’agrémenter leur séjour, principalement en leur offrant les plaisirs sexuels dont ils étaient privés depuis longtemps. Il fit convoquer par le maire une cinquantaine de femmes qu’il passa en revue, désignant l’une ou l’autre. Furent notamment retenues la fille du maire, la femme du pharmacien et de l’épicier, et malheureusement pour elle, Catherine figurait sur la liste des élues.
Ces dernières, au nombre de quinze, devaient le vendredi se rassembler à dix-huit heures à la mairie, où un camion viendrait les chercher pour les amener à l’institut. Elles y resteraient jusqu’au dimanche soir, lorsque le même camion les reconduirait au village. Cette décision mit évidemment en colère les époux ou pères concernés, mais le colonel fit une nouvelle annonce : il ne tolérerait aucun manquement, et punirait de la manière la plus sévère ceux ou celles qui s’opposeraient à ses exigences.
Et le premier week-end, leur mère partie, André et Agnès ne savaient trop comment se débrouiller. Hilde alors, qui avec son amie, n’était en rien concernée par le nouveau règlement, et par ailleurs n’était absolument pas tentée par ces soirées qui immanquablement se termineraient en beuveries et en orgies, prit les choses en mains. Elle organisa les repas et très vite leur quatuor se mua en un petit groupe d’amis. Agnès se lia avec la jeune Inge, avec la bénédiction de Hilde. Mais cette dernière avait un autre projet : elle aussi n’avait plus connu d’homme depuis de longs mois. Ayant deviné qu’André était encore puceau, elle décida de l’éduquer. Cela ne fut pas difficile. Dès le premier soir, elle annonça qu’elle allait prendre un bain, et oublia soigneusement de fermer la porte. Elle avait ordonné à Inge d’attirer dans sa chambre la petite Agnès et sous prétexte de perfectionner sa connaissance du français, l’occuper peu à peu d’une autre manière, pour finir par l’attirer dans son lit. Hilde sentait bien que comme toutes les filles de son âge, Agnès cherchait à découvrir le sexe, et ne demanderait qu’à le faire avec Inge, qu’elle avait elle même dressée et transformée en une lesbienne accomplie. Les deux filles parties dans l’autre aile de la maison, où se trouvaient leurs chambres, Hilde attendit. Elle ne dut pas attendre longtemps. Quelques minutes plus tard, comme distraitement, André pénétra dans la salle de bain.
Découvrant Hilde totalement nue, il fit mine de s’excuser. Mais il continua à la regarder sans la moindre gêne. Il n’avait jamais vue de femme nue, et entendait bien en profiter. Hilde fit alors mine de se fâcher.
— Eh bien, on dirait que le spectacle te plait. Je veux bien te laisser encore en profiter, mais ce sera maintenant dans ma chambre. Et tu te mettras nu, comme moi. Je crois que tu as tout à apprendre. Mais je serai un bon professeur, et tu ne regretteras pas d’être entré me surprendre.
André ouvrit de grands yeux, et suivit la jeune femme. Celle-ci s’assit sur le lit et dit au garçon :
— Viens te mettre à côté de moi, que je puisse te déshabiller.
André ne refusa pas l’aubaine : il allait enfin découvrir l’amour, qui plus est avec une femme d’expérience, et qui mieux est encore, belle dans tout l’éclat de sa maturité. Elle enleva, comme en jouant, la chemise du garçon, son gilet de corps, puis fit tomber son pantalon et glissa la main dans son slip. Elle eut un haut-le-corps. Elle venait de saisir la verge d’André et en un éclair comprit que désormais elle tiendrait toute la famille à sa disposition. Elle fit tomber alors le slip et s’exclama :
— Aber du bist einem Joden !
André avait été circoncis dans sa jeunesse pour pallier à une petite malformation mais ne comprit pas ce que Hilde venait de dire. Elle reprit en français.
— Je crois que tu es d’origine juive, et ta famille doit l’être aussi. Tu sais donc ce qui vous attend.
André tenta de lui expliquer qu’elle faisait erreur, mais Hilde ne le lâcha pas.
— Tu sais ce qui arrivera si je vous dénonce : ce sera le départ pour mon pays, où votre race n’est pas aimée. Et je suppose que tu as déjà entendu parler de nos camps. Mais je veux bien fermer les yeux, et ne rien signaler à mes autorités. Il vous faudra pour cela obéir au moindre de mes ordres, quoi qu’il vous en coûte. Le moindre faux-pas, le moindre refus, et ce sera la Gestapo qui viendra vous cueillir. Je suppose que vous accepterez mes conditions, vous n’avez d’ailleurs pas le choix. A partir de maintenant donc, tu m’appartiens totalement. Tu souffriras parfois, mais aussi tu découvriras des plaisirs que tu ne soupçonnes même pas. Et nous allons commencer de suite ton éducation. Premier point : pour t’adresser à moi, tu devras toujours dire « Madame ». J’ai déjà en tête de nombreux projets. Pour ta mère notamment, qui à l’heure qu’il est, est certainement en train de se faire sauter par les gars de mon détachement. Et pour l’avoir observée en douce, je crois qu’elle aimera cela. Une bonne queue, il n’y a rien de tel pour le moral. Quant à Agnès, elle est déjà en bonnes mains. Inge n’aime pas les hommes, d’ailleurs, elle est encore vierge. J’imagine qu’avec ton aide et tout ce que je vais t’enseigner, elle ne le sera plus longtemps. Et je ferai sans peine de ta sœur une petite salope. Pour ma part, je me chargerai de la faire déflorer, et je connais quelqu’un qui raffole des petites filles en fleur. Mais rien ne presse : nous sommes sans doute ici pour pas mal de temps. Alors, profitons-en.
Hilde attira alors André à ses côtés sur le lit, et sans attendre se pencha pour prendre en bouche le sexe du garçon. Celui-ci, un peu inquiet quand même, se sentit bander. Jamais il n’avait connu pareil plaisir. La bouche de Hilde était chaude, et sa langue jouait avec adresse tout le long de sa verge. Il allait jouir, et ne tenta même pas de résister. Il fut tout étonné de constater que sa partenaire avait avalé tout son sperme. Elle le laissa se retirer d’elle et ne fit qu’un bref commentaire :
— C’est bien, ta crème a bon goût. Mais j’ai, tout prêt à te recevoir, un autre endroit, plus chaud encore. Bien sûr, tu devras le préparer avec ta bouche, pour pouvoir plus facilement y glisser ta queue. Mais crois-moi, tu ne le regretteras pas. Et quand tu t’y seras installé, ne crains pas de me bousculer : j’adore être forcée. Et je te garantis que tu ne sauras résister quand je ferai agir les muscles de mon cul afin de les resserrer sur toi. Tu m’en diras des nouvelles.
Elle se retourna alors sur le ventre, plia les genoux et présenta son entre-fesses à André qui n’osa pas refuser ce qu’on attendait de lui, et de la langue, entreprit d’énerver l’anus de la femme qui se mit à gémir. Elle laissa se prolonger la caresse, longtemps. Elle avait toujours aimée être léchée à cet endroit. Après de longues minutes, elle décida de brusquer les choses et ordonna à son compagnon :
— Maintenant, enfile-moi. Et ne crains pas de me faire mal, mon cul en a vu d’autres.
Excité par ce langage trivial, André força le passage. A son grand étonnement, ce fut sans le moindre problème qu’un instant plus tard, il se trouva totalement engagé dans le rectum de la femme. Celle-ci contractait et relâchait ses muscles par moments, et André avait l’impression qu’une main intérieure se saisissait de sa queue pour la presser vigoureusement, comme pour en extraire le sperme que Hilde sentait circuler vers son point d’expulsion. Et quand la chose arriva, la femme poussa un cri de plaisir. Le moment où il éjacula fut inoubliable pour André, étonné de l’intensité de sa jouissance. Et dans son for intérieur, il se promit de recommencer souvent l’expérience. Hilde se dégagea alors et se recoucha sur le dos. Elle était satisfaite d’elle-même. Elle avait compris qu’André n’oserait pas lui tenir tête, et serait une proie facile, dont elle pourrait user à sa guise. Elle décida d’immédiatement aller plus loin. Elle se leva, fit se lever André, et nus tous les deux, ils parcoururent le couloir qui le mena à l’autre aile du bâtiment.
La porte de la chambre d’Inge n’était pas fermée. Hilde l’ouvrit et stupéfait, André put voir, allongées nues sur le lit, sa sœur et Inge. La tête d’Agnès se trouvait entre les jambes de la jeune fille, dont elle était occupée à lécher le clitoris. Ni l’une ni l’autre n’attachèrent d’importance à l’arrivée du couple, et ce ne fut qu’après l’orgasme d’Inge qu’elles regardèrent les arrivants. Voyant son frère les regarder, l’air ahuri, Agnès rougit violemment. Elle ne savait où se mettre. Hilde s’amusa de son attitude et en profita pour la taquiner :
— Eh bien, pour une novice, tu m’as l’air très douée. D’habitude Inge met plus temps à jouir. Mais puisque tu m’as l’air si douée, je vais te donner l’occasion de me confirmer la chose. Avant tout, je dois te préciser que tu n’auras pas le droit de me refuser quoi que ce soit, André t’expliquera les raisons de ma décision. Alors, maintenant, tu vas me faire le plaisir de prendre en bouche la verge de ton frère qui vient de se retirer de mon fondement. Elle est un peu sale, je te l’accorde, mais tu devras t’habituer à la chose, car ce service, tu devras plus tard le rendre à de nombreux hommes. Et pour punir Inge, qui est allée plus loin que ce que je lui avais autorisé, elle devra pendant ce temps faire à ton frère ce qu’il m’a fait il n’y a pas si longtemps : une jolie feuille de rose. C’est à dire lui lécher le cul.
Agnès se rebella, mais une vigoureuse gifle de Hilde la calma. André lui ordonna alors d’obéir, et vint lui présenter son sexe. Agnès, honteuse, était en larmes. Voyant ce qui se passait, Hilde ouvrit un tiroir d’une commode, et en sortit la cravache dont elle se servait parfois pour calmer les humeurs de sa soumise, et ordonna à celle-ci :
— Tiens devant elle les mains d’Agnès, que je lui fasse découvrir le meilleur des arguments.
Quand ce fut fait, elle asséna à la jeune fille une première volée de coups qui la fit hurler. Impuissant, n’osant pas bouger, André regardait la scène. Hilde, de plus en plus violente, continua à corriger sa victime, et après quelques nouveaux coups, cette dernière était en pleurs, et de nouvelles traces lui marquèrent les fesses. Elle abandonna alors.
— C’est bon, je ferai ce que vous me demandez !
Hilde ricana, et se recula. André vint se placer devant Agnès qu’Inge avait fait se mettre à genoux. Il posa sa verge, totalement débandée, sur le plat de sa main et la présenta à sa sœur qui après un dernier hoquet, se mit à la caresser de la langue. Pendant ce temps, Inge s’était placée derrière le garçon et avait entrepris de lui glisser sa langue dans l’anus. De suite, André connut une érection qui surprit Agnès, qui s’en bien s’en rendre compte, prit dans sa bouche le membre de son frère, et se mit à le sucer. Et quand André éjacula, elle tenta de recracher le sperme, mais Hilde vint lui remontrer sa cravache. La fille alors s’exécuta et avala tout. LIRE LA SUITE

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