1 - Emmanuelle B ou comment une jeune bourgeoise bcbg est devenue au fil des années, des rencontres une véritable salope, une femelle accro au plaisir, à la jouissance. Histoires en plusieurs chapitres.

1er chapitre : quelques histoires de ma jeunesse et de mon adolescence… ou de l’influence de César et de Julie.
lundi 26 janvier 2015
par  emmanuelle batelle
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INTRODUCTION

À vrai dire je ne sais pas où commencer mon histoire…Je veux expliquer mon cheminement. Comment, moi Emmanuelle B, dentiste, je suis devenue une accro de la jouissance. Qu’est-ce qui a fait que je suis ce que je suis. Qu’est-ce qui fait que je ressens tellement et tout le temps ce besoin fondamental de jouir. C’est devenu avec les années aussi important pour moi, presque que de respirer. La jouissance est sous certains aspects une sorte d’oxygène qui me nourrit.
Alors j’ai décidé de coucher sur papier certains évènements, de me raconter le plus franchement possible. Il est bien possible que mes propos heurtent bien des âmes sensibles, mais je veux aller au bout de cette démarche d’introspection. Je veux savoir pourquoi, comment je suis devenue femelle plus que femme….et pourquoi je me sens si bien ainsi, pourquoi je suis totalement à l’aise dans cette pute que je suis.

1er chapitre :
Quelques histoires de ma jeunesse et de mon adolescence… ou de l’influence de César et de Julie.

Je me nomme Emmanuelle, j’ai 22 ans et je termine mes études pour devenir dentiste. Ça n’a pas toujours été mon choix de carrière. Au lycée j’étais déjà très jolie. Tous les mecs me courraient après et quelques profs aussi, je dois ajouter.
Je me souviens d’André, un prof de gym, qui me faisait de l’œil. Dès qu’il le pouvait, il me zyeutait sans retenue aucune, sans pudeur aucune. Il me regardait ma poitrine au travers les minces vêtements de coton que je portais en classe d’éduc. Déjà à 16 ans, j’avais une jolie poitrine ferme en pomme ( B+) et mes tétons durcissaient en cône grumeleux à la moindre stimulation, sur des aréoles creuses et sombres . Ils ont toujours été très sensibles et le sont encore. On peut me faire jouir juste à me les tâter, à me les écraser entre les doigts les ongles ou dans des pinces( j’adore…oufff…juste y penser et je mouille !!!) et finalement à me les téter en les mordillant.
Mais dans certaines circonstances, et entre autre, pendant les cours d’éducation physique, ça en était gênant. Si mon chandail les frottait, si je sautais en jouant au ballon, j’étais fichue et mes foutus tétins durcissaient (je m’en mordais les lèvres pour ne pas émettre des bruits incongrus de jouissance) et ça se voyait très bien. Les profs comme M André les auraient alors dévorés tout rond, les copains de classe devaient bander et plus tard se masturber en y rêvant et les copines éclataient de rire dès qu’on se changeait et m’avait surnommé alors Miss tétons durs
André lui ne se gênait pas pour me reluquer et s’il l’avait pu, il m’aurait déshabillée dans le gymnase et m’aurait tétée comme ça….
Je me souviens d’une occasion entre autre où je m’étais blessée à une cheville. J’avais alors réintégré la chambre de déshabillage. Elle était réservée aux filles. Et tranquillement en protégeant ma cheville, je m’étais débarrassée de mon pantalon et de mon chandail de gym….
Et tout à coup, alors que j’étais en culotte et soutif qui vois-je en tournant la tête ?? M André qui était entré et me dévisageait….Depuis combien de temps, je ne saurais le dire ?...Dès qu’il a réalisé que je le voyais, sans baisser le regard, il m’avait dit :
— -« Alors Emma, tout va bien ? Ta cheville ne te fait pas trop mal ? Laisse, je vais t’examiner ça. »
J’avais alors remarqué qu’il avait barré la porte derrière lui avant de se diriger vers moi….Je ne savais où me placer les mains. L’une pour cacher mes seins, l’autre sur ma chatte. Il s’est avancé. J’ai tout de suite remarqué la bosse que faisait son pénis dans son jogging. Il ne se cachait pas. Il a peut-être cru que ça m’exciterait ! Et il est venu à côté de moi.
J’ai tout de suite réalisé qu’il devait avoir une bite énorme, juste à la grosseur de cette bosse et je dois avouer que ça a tout de suite excité un peu mon entre-jambe. Mais la situation était si bizarre. Et toutes mes copines qui attendaient de l’autre côté de cette porte barrée !!!

— « Tiens donne-moi ta cheville que me dit André en se penchant. »
Il se place alors la tête à la hauteur de ma culotte…Rapidement, je la sens d’ailleurs qui me touche, me frôle….Il le fait exprès, j’en suis sûre, mais je ne bouge pas et je lui tends ma cheville comme une jument qui donne la patte. Et innocemment en faisant ça, ma chatte lui colle encore plus sa tête ! Ce que je pouvais être innocente !
— « Attention tu risques de tomber Emmanuelle. Assieds-toi sur le banc ! »
Je n’ose faire autrement et je m’assois,
Il reprend ma cheville mais pour se faire il profite du fait que mes cuisses sont entrouvertes et il se place entre mes deux jambes pour examiner de plus près.
Et alors qu’il me palpe, je sens son bras, son coude qui semblent se faire insistants en me frôlant la chatte au travers ma culotte. Mes mains me recouvrent mes seins…
Le plus sérieusement il joue à me palper à me tâter ma cheville endolorie de tous bords, tous côtés…longuement….et toujours avec son bras qui me frôle…..
Je me sens gênée, mais ces mouvements sur ma chatte au travers ma culotte m’excitent un peu et je sens que je mouille…Je crains tout de suite que ma culotte laisse voir une trace d’humidité….et il continue son examen. Et mes tétins, mes foutus tétins qui tout de suite me trahissent et que je tente du mieux que je peux de cacher par mes mains !
Puis il soulève sa tête et me regarde. Il a un de ces sourires. Il le sait lui aussi que mes seins sont très érectiles, et peut-être qu’il peut voir un bout de tétin dur malgré mes doigts qui tentent de tout cacher.
— « Je pense que ce n’est qu’une légère entorse. Et son regard passe de mon ventre, à mes seins gonflés sous mes mains( aux tétons érigés, merde !), à ma bouche, à mes yeux…… »
Il est toujours entre mes jambes et son pénis pointe maintenant vers le haut….je peux même, je crois voir le bout de son gland qui s’est faufilé entre son ventre et son jogging. Tout rose…et je mouille un peu plus….
Et soudainement, les copines rappliquent et frappent à la porte.
— « Allez Emmanuelle ,on a terminé ! Laisse-nous entrer !! »
Sur le champ M André abandonne ma cheville et se dirige vers l’autre sortie tellement rapidement que j’éclate de rire.
— « Mets de la glace dessus et si ça ne va pas mieux, viens demain après tes cours me montrer ça dans mon bureau ! »
À cloche-pied, je me dirige vers la porte pour laisser entrer les copines.
Si ce pervers croit que je vais lui permettre encore de me frotter la chatte en m’examinant que je me dis…..mais il a tout de même un beau gros gland bien rose….et sa queue doit être si belle !

Et vite je chasse ces pensées de ma tête. Je me déshabille alors, en cachant le plus possible aux yeux des copines ma culotte que je sais très humide.
Elles s’inquiètent mais aucune ne me posent de questions sur M André qu’elles n’ont sans pas vu se diriger vers cette chambre, pour m’y rejoindre.
Il y avait donc certains profs qui ne se gênaient pas pour me déshabiller du regard.
Et puis, je lisais tout de temps des magazines de filles, des trucs de modes et je m’étais persuadée que je voulais un jour faire mannequin. Être belle et être admirée pour cela. Porter des vêtements extras et surtout de la lingerie fine. J’ai toujours aimé ces filles qui posent dans des soutifs, des culottes de dentelle de façon très sensuelle et qui sont payés des millions. J’ai toujours adoré la lingerie de dessous. Et maintenant encore dès que j’ai quelques sous de côté, je me dirige vers des boutiques de lingerie ou des boutiques sex et luxe. Il y a là des culotte de tous genres, (je n’aime pas trop les trop ouvertement sexe : fendues pour y laisser lasser ma chatte et permettre une pénétration plus facile d’un beau vît). Mais des soutifs en cuir, en latex, en satin, en dentelle qui laissent tout voir ou presque, des ensembles soutien-gorge slip serre taille ou des body ….À bien y penser, j’aurais peut-être due plutôt devenir propriétaire d’une telle boutique ! À moi les dessous ! À moi tous ce luxe ! Vive le plaisir !
Revenons à nos moutons !
Par ailleurs, je sais que ces photos excitent les mecs.
J’avais eu un copain en seconde chez qui j’allais souvent. Il ne se passait rien de bien grave, mais j’avais remarqué à plusieurs reprises le nombre de magasines de filles en tenue légère près de son lit. On prenait un magazine et d’emblée il s’ouvrait sur la photo de la fille la plus sexy…d’emblée…et j’avais aussi remarqué un jour que certaines de ces pages étaient collées ! J’avais alors pensé qu’il devait se branler en regardant ces filles si sexy et presque e nues et je lui avais demandé sur un ton très innocent :
— « Alors Claude, tu fais quoi avec toutes ces photos…et tiens regarde celle-ci, les pages sont collées ! »
Rapidement il m’avait retiré des mains presque brusquement le magazine en question pour le fourrer rapidement dans un tiroir. Et il avait l’air très fâché, ne m’avait pas trouvé drôle. J’avais vite cessé cette conversation pour lui demander s’il n’avait pas à la cuisine un jus, que je mourrais de soif….Mais je me souviens encore du regard fâché et gêné de Claude…
Et j’ai voulu faire mannequin. Moi aussi je voulais mener la grande vie. Moi aussi je voulais porter des tenues chics, des tenues légères. Je voulais aussi être payée très cher pour faire ce job. Je voulais rencontrer plein de stars de cinéma, et des hommes beaux et riches …et vieux aussi s’ils avaient plein de fric ! Je voulais être une star. Et quelque part aussi, je voulais que plein d’hommes à travers le monde se branle, se vide de leur foutre, comme Claude, en regardant mes photos.
Mon père en avait décidé autrement pour lui seul le côté métier scientifique et plutôt intellectuel avait le heurt de lui plaire. Je lui avais dit à quelques reprises que le boulot de mannequin m’intéressait en admirant les photos de magazines de mode.
- « Jamais Emmanuelle ! Jamais…Tu feras un métier, une profession honorable et sûre. Tant que tu vivras sous mon toit, tant que je paierai pour tes études, ta nourriture, ton logement, tu ne feras pas ça. Et tu sais aussi que j’ai toujours voulu te voir dans une profession établie, comme mon cousin Paul notaire . Il fait un bon travail. Il gagne très bien sa vie. Il a une maison à Quimper et une autre maison dans le sud de la France. Ou bien que tu fasses médecin comme tes grands parents voire dentiste ! »
Je n’osais le contredire. D’abord j’ai toujours adoré mon père, ingénieur, enfant unique (deux sœurs mortes très jeunes) et qui avait trimé dur pour payer et faire ses études.
Il pouvait bien parler de Paul, que je me disais. S’il savait le vieux cochon qu’est son jeune cousin. S’il savait comment il m’a tripottée depuis toujours. J’avais 3-4 ans et il me prenant dans ses bras et me posait sur sa jambe pour jouer au petit cheval. Le vieux salaud me faisait me frotter et sauter sur sa jambe pour me frotter ma chatte.
J’ai réalisé ce qu’il me faisait quelques années plus tard.
À 3-4 ans, je trouvais ça drôle et de plus, ces mouvements me donnaient un certain plaisir dans mon entre jambe que je ne pouvais décrire. Je savais déjà que ça ne se disait pas…mais j’aimais sentir le résultat de ce frottage de mon minou sur la jambe de l’oncle Paul…Et j’éclatais de rire. Et tant que mon père n’intervenait pas pour faire cesser ce jeu, oncle Paul continuait.
J’ai compris son jeu de vieux cochon vers l’âge de 6 ans un bon jour qu’on était seuls lui et moi chez-lui dans son salon. Papa, maman et Berthe la femme de Paul étaient sortis faire de courtes commissions. On était seul Paul et moi….
— « Tu te souviens manu quand je te faisais faire le petit cheval, qu’il me dit, en s’approchant de moi ? Tu es devenue une si belle petite fille. J’adore cette jolie robe que tu portes. Laisse-moi voir de plus près !’
Il s’était approché de moi et avant que je puisse faire quoique ce soit, il m’attirait vers lui. Puis d’un seul coup, avec le visage tout rouge et en respirant profondément, il avait soulevé ma jupe et glissé ses gros doigts sur ma culotte.
J’avais rapidement tenté de me dégager.
Il me retenait fortement.
Et sa main tirait ma culotte….Et finalement il a réussi à exposer ma petite vulve de petite fille…mes grandes lèvres gonflées, mon mont protubérant…et déjà ses gros doigts se glissaient vers ma fente quand tante Berthe criait en ouvrant la porte :
— « Paul et manu, nous sommes de retour !! »
Aussi rapidement que le vieux salaud de tonton Paul avait quelques minutes auparavant relevé ma jupe et tassé ma culotte, il me repoussait tout aussi rapidement en me faisant un signe de ne pas dire un mot avec son doigt sur sa bouche et en me montant quelques pièces de monnaies tout en me faisant un clin d’œil.
Oui, un beau cochon Paul, notaire de profession et cousin de papa.
Et combien de fois cette situation s’est-elle répétée ? Je ne saurais le dire. Mais dès que je le pouvais, je le fuyais, je faisais tout en mon pouvoir pour ne jamais être seul avec Paul.
Une seule fois il a presque réussi. LIRE LA SUITE

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