Océane -2-

2° Partie
mardi 11 novembre 2014
par  Fatum
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Très vite, Océane s’habitua à sa nouvelle vie. Les épreuves qu’elle avait subies avaient endurci son caractère, et elle se sentait maintenant plus disponible pour tout ce que son Maître exigerait d’elle. Elle redécouvrait le monde extérieur, mais n’avait par ailleurs guère envie de sortir.
La première fois qu’elle dut se rendre dans la villa, quelques jours plus tard, ce fut pour y rencontrer un couple d’une quarantaine d’années. Visiblement, l’homme était désireux de posséder une autre femme devant la sienne. Elle dut pratiquer une fellation et se faire prendre par devant et par derrière. Elle se permit de jouir deux fois, poussant des plaintes exagérées. La femme se régalait du spectacle, et quand l’homme voulut se reposer, elle le remplaça près d’Océane. Visiblement, elle était une lesbienne avertie. A la grande stupéfaction d’Océane, elle prit possession du vagin de cette dernière, jouant de la langue en artiste consommée. Puis, elle se coucha sur le dos, demandant à Océane de lui rendre la pareille. Et pendant qu’Océane s’attelait avec plaisir à la tâche, l’homme, déjà reposé, vint se placer derrière elle pour lui infliger une nouvelle sodomie. La séance s’arrêta là, et après avoir pris un rafraîchissement, les visiteurs se retirèrent, promettant à Océane de revenir la voir, en compagnie d’un ami cette fois.
Le lendemain, le Maître annonça sa visite à Océane. Il arriva vers six heures le soir pour aller souper avec elle. Il vérifia bien sûr qu’elle ne portait pas de sous-vêtement, et lui imposa de mettre une jupe très courte, permettant aux clients du restaurant de découvrir par moments son intimité. Le repas se passa bien. Le Maître parla de tout, et signala à Océane avoir reçu des félicitations la concernant. Il lui demanda aussi de faire un effort pour lire davantage et ainsi avoir une conversation plus variée. Après le repas, il la ramena chez elle et au grand étonnement d’Océane lui dit qu’il passerait la nuit avec elle. Il la fit se déshabiller et se coucher sur le lit où il la caressa longuement. Il se saisit d’un gode et la fit jouir une première fois au moyen de celui-ci. Puis il la prit normalement et lui fit l’amour. Jamais Océane n’avait connu cela avec son Maître. Il se révélait un homme charmant, même si son côté sévère revenait presque toujours à la surface. Mais Océane s’abandonna à lui avec délice, de plus en plus attachée à cet homme qui la transformait complètement. Il lui promit de revenir une fois par semaine dans son studio.
Les autres fois, il la verrait au donjon, où elle devrait reprendre ses fonctions de soumise. Il lui avoua avoir de grands projets pour son futur, mais il était trop tôt pour en parler. Il était notamment question d’un séjour de deux mois à Ibiza, dans la villa d’un ami, séjour au cours duquel elle aurait une tâche bien précise à accomplir. Plus tard aussi, sans doute, elle aurait à tourner dans un film où elle aurait l’un des deux rôles principaux, le premier devant sans doute revenir à Caro. En entendant ce prénom, Océane s’inquiéta de ce que devenait cette dernière. Le Maître lui répondit que son stage de formation n’était pas terminé, tant elle se rebellait contre ce qu’on exigeait d’elle. Maître Jean avait un mal fou à la dresser, et les châtiments qu’on devait lui faire subir étaient de plus en plus cruels. Mais à l’arrivée, elle serait une dominatrice accomplie, dans les mains de laquelle il ne ferait pas bon tomber. Dans une quinzaine de jours sans doute, elle viendrait occuper le studio voisin de celui d’Océane, et les deux filles seraient invitées à se fréquenter intensivement, afin de se préparer pour le film prévu pour elles. Puis, le Maître quitta Océane, en la convoquant pour le WE suivant au donjon, où elle serait la vedette d’une soirée.
Océane se retrouvait seule. L’annonce de la prochaine soirée ne l’effrayait pas. Elle s’était accoutumée à la souffrance, et y trouvait souvent un malsain plaisir. Elle faisait l’amour indifféremment par devant ou par derrière, et aussi souvent qu’on le lui demandait. Elle aimait nettement moins les pinces, et préférait les machines à baiser, quelles qu’elles soient.
Les séances de fouet ne la traumatisaient plus : son corps était maintenant accoutumé à les subir même si elle avait une préférence pour la cravache à bout plat. LIRE LA SUITE|]

1° PARTIE

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