Traduit de l’anglais par Henic

La vérité est que mon Angeluí - Angel Lluis Moscoso Perales sur son certificat de naissance – a tout ce qu’il désire dans sa vie. Grâce à Dieu et à mon carnet de chèques, nous vivons confortablement et nous pouvons donner à notre fils chéri tout ce qu’il mérite. Une assistante maternelle à sa naissance, un Scalextric quand il eut six ans, une bicyclette et fibre de titane à dis ans, une moto à seize, une voiture de sport décapotable puis une Harley et un 4x4 de deux cents chevaux pour ses dix-huit ans. Des bêtises comparées à la plus importante pour sa vie : moi, sa magnifique et généreuse mère, dotée de gros seins et chaussée de hautes bottes, connue dans la région sous le nom de Black. C’est ma couleur préférée vous voyez : lunettes de soleil, bottes, soutien-gorge et culotte. Il n’y a que les Tampax qui soient blancs.
Bon, comme j’étais en train de le dire, son vingt-et-unième anniversaire pose un problème. J’ai un temps examiné l’idée de lui offrir un yacht Sunseeker de cinquante mètres et cinq cents chevaux, mais à quoi cela peut-il servir lorsqu’on n’habite pas sur la côte ? Un ULM était une autre possibilité mais le pauvre garçon souffre d’impétigo ou de ce que vous appelez… vertigo, vertige, c’est cela. Je n’ai jamais été bonne en orthographe. J’ai toujours été meilleure avec ma chatte – ou celle d’une autre ! C’est ce pourquoi une langue est faite en réalité, n’est-ce pas ? Je ne suis peut-être pas capable d’épeler « clitoris » mais je sais comment mettre ma langue dessus !
Quoi qu’il en soit, un jour, alors que j’achetais du poisson, voilà cette salope de première classe qui coupe la file d’attente ! Elle entre, ignore la clientèle locale et commence à commander. Il est apparu plus tard qu’elle travaillait pour une multinationale qui l’avait envoyée par ici à la tête d’une usine. Je suppose qu’elle avait l’habitude de donner des ordres. De beaux nichons mais la dame n’avait aucune classe.
Bon, je lui en mets plein les oreilles et vous savez ce qu’elle fait ? Elle me répond ! Ici, dans mon propre coin, devant d’autres personnes ! Le côté amusant est que je ne pouvais détacher mon regard de ses nichons. Elle portait un chemisier transparent, un soutien-gorge en dentelle pigeonnant et ses nibards semblaient vouloir en sortir tout seuls. Lorsqu’elle s’est mise à crier, ils gigotent dans tous les sens ! Je les regarde et je me dis en moi-même : « une autre fois, nous finirons cette conversation lorsque je tiendrai un de tes tétons entre les dents… »
Je rentre donc chez moi dans la Cherokee V8 et j’appelle quelques amies. Deux d’entre elles sont très intéressées à l’idée de coopérer. Elles viennent chez moi et nous commençons à réfléchir à ce que nous allons faire d’elle – qui la travaillera devant et qui derrière, qui fera quoi à ses nichons, etc. Il y a bon nombre d’endroits où travailler une femme.
J’ai viré la bonne d’Angeluí. Lorsqu’il était plus jeune, elle était sa nourrice et le nourrissait de son lait mais il est sevré depuis déjà pas mal de temps. Maintenant, il a besoin de seins plus fermes. Nous étions d’accord pour qu’Anita – le poissonnier connaissait son nom – remplace la nourrice dès que nos fils seraient en âge d’en profiter. Avoir sa propre société de construction est une aide formidable : nous avions construit un bunker souterrain insonorisé. Un bon endroit pour que mon fils devienne un homme – et pour moi aussi lorsque mon caprice me fait tenir un rôle masculin !
La fille est livrée dans un grand coffre en bois. C’est merveilleux ce que l’on peut faire avec de l’argent, n’est-ce pas ? Lorsque nous l’ouvrons pour l’en extraire, elle est encore inconsciente. Mais une vraie gagnante, avec des nichons comme des bombes de la Seconde Guerre mondiale lorsque nous l’avons soulevée et qu’ils se sont trouvés pendants sous elle. Comment faisaient-elles, ces Allemandes ?
Lorsqu’elle se réveille, c’est à moi en tant qu’hôtesse de lui expliquer les choses. Maintenant, a-t-elle compris ? Si elle comprend, elle doit cligner deux fois des yeux. Cela signifie « oui ». Trois fois signifient « non ». Ce n’est pas un vocabulaire très étendu mais c’est suffisant. Il n’y a en fait qu’une seule question, de toute façon :
« Avez-vous compris ? »

A huit heures arrive Piluca Repóllez, la célèbre créatrice de pizzas. Lors des soirées privées, elle est célèbre pour les pizzas qu’elle fait avec des moules vivants : elle fait une Pizza Sein, une Mont de Vénus, une Poil de Cul, tout ce que vous voulez.
La vengeance est douce. Je place une matraque en caoutchouc sur son passage arrière. Piluca claque et suce ses nichons et Gemima joue avec sa chatte. Gemima fait courir quatre doigts – et leurs ongles – sur les lèvres de sa chatte comme quelqu’un qui tambourine sur une table. Lorsqu’elles sont parties, je fais moi-même un peu de travail entre ses jambes et elle termine sans plus aucune toison. Je la mets au courant de la suite :
« Ce soir, j’amène mon fils. Il est un peu timide. Apprends-lui quelques trucs ! »
Angeluí est très content et dit :
« Il y a longtemps que je veux essayer quelque chose de nouveau. »
La vérité est que Claudia – comme je l’appelle à présent – a l’air adorable. Elle est debout contre le mur, les poignets attachés au-dessus de sa tête, en équilibre sur un pied et la jambe droite levée bien haut pour exposer sa grande chatte provocante de Teutonne. Elle a un harnais sur la tête et de la haine ou de la peur, ou les deux, dans ses yeux bleus.
Angeluí se déshabille. Il est ferme et rigide ! Nous autres mères ne réalisons pas vraiment que nos enfants grandissent, n’est-ce pas ?
« Tu vois cette fente ? C’est là que tu dois mettre ton zizi, fiston.
— Je sais bien ! Est-ce que je peux mordre ses seins comme ceux d’une nourrice ?
— Tout ce que tu veux, mon fils. Elle est toute à toi, comme le vélo que tu as cassé avec un marteau. »