Fraude à la douane et autres récits

vendredi 29 août 2014
par  Henic
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Clinique psychiatriqueTobias
Fraude à la douane Lucas
Nettoyage ethnique Anonyme

Traduits de l’anglais par Henic

Clinique psychiatrique

Je me souviens du jour où ils m’ont envoyé son CV, un parmi un grand nombre d’autres pour un poste de recherche. Elle était la seule fille, une étrangère dans un cursus scolaire, vingt-quatre ans, pas de famille, et une photo qui paraissait très prometteuse. Je n’ai pas hésité.
Quelques jours plus tard, Rebecca arrive à mon bureau. Je dois lui servir de tuteur pour sa thèse de doctorat. Je lui présente ma proposition qu’elle accepte ingénument. Elle tiendra le rôle d’une patiente et fera sa thèse sur le traitement vu du côté du patient.

Nous commençons le lendemain. Je lui dis de retirer ses vêtements derrière un paravent et d’enfiler une camisole de force. Elle le fait d’une manière très professionnelle. Je l’aide à finir. Puis je lui montre le bâillon avec une boule :
« Cela permet d’éviter de s’abîmer la langue pendant les phases paranoïdes. »
Rebecca a l’air surprise mais elle ouvre la bouche. Puis j’enchaîne ses chevilles. C’est une courte chaîne et elle peut à peine marcher. Je l’emmène dans sa chambre, une pièce que j’avais préparée plusieurs mois auparavant, en prévision. Elle s’y rend pieds nus, enchaînée, bâillonnée et en camisole de force. La pièce est un placard insonorisé de deux mètres carrés, équipé de tout ce dont j’ai besoin : jet d’eau froide haute pression, sirènes fortes, éclairages intenses, et des haut-parleurs puissants. Je lui prodigue une séance de deux heures. Lorsque je rouvre la porte, elle est assise par terre, très secouée… Je lui montre le bâillon avec un anneau :
« Encore une chose. Il permet de nourrir le patient sans courir le risqué d’être mordu. »
Je ne souligne pas qu’il est parfaitement adapté au diamètre de mon pénis.

Il est un peu difficile à ajuster. Elle ne paraît plus avoir tellement envie de poursuivre sa thèse. Je lui installe également un harnais avec une bande d’acier souple qui serre son vagin. Elle a l’air perplexe. Je lui explique que c’est pour éviter qu’elle se fasse du mal par une masturbation excessive si elle parvient à libérer ses bras pendant les séances de soins. Je lui laisse la camisole – je m’occuperai de ses seins plus tard. Je la saisis par les cheveux et la fais se mettre à genoux devant moi. Je lui dis qu’elle sera plus à l’aise ainsi avec la protection vaginale. Qu’elle sera encore mieux si elle écarte les jambes. Elle les ouvre aussi grand qu’elle peut. De ma main libre, je fais tomber mon pantalon. Puis je caresse son visage avec mon érection. Elle a une peau si belle et si douce !
Je mouille mon pénis avec la salive qui coule sur son menton et je lui dis :
« Tu as le choix : soit tu m’obéis maintenant, soit je te fais une douzaine de séances de soins et je te repose la question ensuite. Qu’en dis-tu ? »
Rebecca hoche la tête désespérément. Les deux heures de douches froides intermittentes et autres stimuli ont été amplement suffisants pour la convaincre.
« Sors ta langue et lèche mes couilles… jusqu’à ce que je te dise d’arrêter. Tu peux ouvrir et fermer tes jambes si tu le souhaites. Essaie de te donner un orgasme. Appuie fort ton sexe contre le harnais. C’est ça, pousse ! Pousse plus fort ! Je te masturberai après, si tu n’arrives pas à te finir… »
Elle a beaucoup à apprendre. Je l’attrape par les cheveux et introduis mon gland dans sa gorge.
« Continue. Lèche, bon sang ! »
Je pénètre sa bouche. Puis j’enlève le harnais et je la travaille de la langue et des doigts. J’enlève également la camisole et me mets à m’occuper de ses seins. Pendant que je m’occupe ainsi d’elle, je lui explique point par point la vie d’une esclave sexuelle, avec ses innombrables tâches et obligations, et aucun droit.
Je lui donne quelques détails sur le système de bons et de mauvais points, les punitions, dont je la gratifierai. Ils sont spécifiques d’un usage extensif et généreux des différentes parties de son corps. Je lui dis quelques-uns de mes goûts érotiques et lui fournis un résumé du programme d’entraînement d’une esclave sexuelle. Je lui explique également l’importance de l’étiquette : comment m’accueillir comme il convient dans sa cellule, quelles positions adopter en différentes occasions, comment s’adresser à moi…
« La personne que tu étais est morte. Tu parleras désormais de toit en disant : « Votre esclave ». »
Oui, ça va être un plaisir de faire plier sa volonté, de la dresser, de la façonner et d’en profiter. Toutes les parties de son corps sont à ma disposition. En fait, ce n’est qu’une question d’organisation. C’est très important d’être organisé. Je ferai ça à la fin. Même si ça doit me prendre des années.



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