Mon amie Margaux

mardi 17 juin 2014
par  Fatum
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Je venais de réussir mon bac. Mes parents avaient marqué leur accord pour que j’aille entamer des études universitaires à Montpellier et comme nous habitions Limoges, ils se mirent à la recherche d’un studio pour me permettre de facilement suivre mes cours. Par chance, ils tombèrent sur une petite annonce émanant d’une jeune demoiselle qui cherchait à cohabiter avec une autre étudiante. C’est ainsi que je connus Margaux.
Le studio comportant deux (petites) chambres plus un assez vaste living, une petite cuisine et une salle de bains, le problème fut vite réglé. Nous avions fixé rendez-vous à Margaux la veille de la reprise des cours. Quand je la vis débarquer à ce qui allait devenir mon adresse, mon cœur se mit à battre. La petite demoiselle me parut charmante. Âgée comme moi de dix-huit ans, elle avait à peu près la même taille que moi, un mètre soixante-dix. Contrairement à moi qui suis noire de cheveux, elle était une mignonne blonde, toujours souriante. Sa frimousse, marquée de deux fossettes, désarmait ses interlocuteurs. Elle avait une poitrine apparemment très délicate, et une silhouette qui appelait aux rêves les plus fous. Tout naturellement, elle me tendit la main et m’embrassa sur les joues. Un baiser que je lui rendis avec plaisir. Et nous sommes entrées dans ce qui durant plusieurs années allait devenir notre chez-nous.
Nous avons très vite sympathisé, et au cours de notre premier repas en commun avons appris à nous connaître. Mais j’oubliais de me décrire. Je m’appelle Anita, ce qui n’est pas étonnant, mes parents étant diplomates d’origine sud-américaine. On me dit très jolie. Nous vivons depuis plus de douze ans en France, ce qui explique ma facilité à utiliser la langue locale. Mes cheveux sont noirs, comme il le doit pour une jeune fille d’origine hispanique. J’avais brillamment réussi mon bac, et allai entamer, comme Margaux d’ailleurs, des études de philologie. Mon passe-temps favori était d’ailleurs la lecture. J’aimais moins la TV et n’étais pas adepte de sport. Mes parents étaient fortunés, et m’accordaient mensuellement une bourse me permettant de vivre très à mon aise. Une fois par mois, je devais me rendre à Limoges pour les retrouver.
Margaux me confia que ses parents étaient divorcés, et qu’elle ne voyait pratiquement jamais sa mère, qui parait-il, menait une vie assez dissolue.
Puis, tout naturellement, comme deux amies, nous nous sommes mises à parler de nos amours. Je confiai à Margaux ma totale ou presque totale ignorance du sexe. Je n’avais pratiquement pas fréquenté les garçons, et oui, je l’avouai en rougissant, il m’arrivait régulièrement de me caresser. A mon grand étonnement, Margaux ne me raconta pas grand-chose, semblant réticente à me parler de ses expériences en la matière. J’allais vite comprendre pourquoi.
Le soir en effet, j’avais monopolisé la salle de bains et me prélassais dans ma baignoire, heureuse de pouvoir me laver : mon déménagement avait laissé des traces. Et à mon grand étonnement, je vis entrer Margaux, nue comme un ver. Elle vint à côté de la baignoire, et se contenta d’un « Tu permets ? » avant de se glisser face à moi dans l’eau chaude. Éberluée, je ne sus que répondre et préférai éclater de rire. Margaux m’imita : la glace était bien rompue. Dieu, qu’elle était jolie, et que la nudité lui allait. J’avais déjà parlé de sa figure, mais son corps était troublant. Ses seins étaient petits, mais les mamelons étaient étonnamment dressés. Et je constatai avec stupeur que son sexe avait été rasé, mettant ainsi en évidence un clitoris qui me parut bien impertinent. Pas gênée le moins du monde, Margaux me sembla inspecter mon corps. Apparemment, la chose lui plaisait. Elle ne posa qu’une question en me désignant le bas de mon corps, visible à travers l’eau claire du bain
« Pourquoi ne te rases-tu pas ? Tu verras, un sexe nu est beaucoup plus émouvant, et les garçons adorent cela. Regarde-moi, ma chatte n’est-elle pas plus jolie, et mieux mise en évidence ».
C’était vrai : le sexe de Margaux était spécialement attirant. On voyait nettement le dessin de sa fente, dominée par le capuchon du clitoris. Et les petites lèvres pouvaient ainsi mieux être vues. Margaux me proposa alors de me raser, mais je repoussai son offre
« Plus tard, peut-être, il me faut m’habituer à cette idée. »
Nous avons alors un peu batifolé, Margaux semblant prendre plaisir à me caresser la poitrine en étirant mes tétons. Jamais je n’avais connu cela, mais j’y pris beaucoup de plaisir. Puis, Margaux sortit de bain, m’exposant ainsi son dos et ses fesses. Ces dernières étaient superbes, et je ne pus m’empêcher de les envier. Mais je constatai, ahurie, que deux balafres rouges les décoraient, comme si Margaux avait été fouettée. Margaux s’amusa de mon étonnement, mais préféra ne rien dire, m’abandonnant à ma curiosité. Nous nous sommes essuyées et avons chacune rejoint notre chambre. J’enfilai une nuisette et allai me coucher sur mon lit. Je m’attendais à une nouvelle surprise, et ne fus pas déçue. Margaux entra dans ma chambre, vêtue simplement d’un string rouge, et sans un mot me repoussa d’un côté du lit, venant se coucher à côté de moi. Je ne fus même pas choquée, curieuse que j’étais de ce qui allait se passer. Elle me caressa les cheveux et me souffla à l’oreille
« Retire cette nuisette, elle pourrait nous gêner. » ...



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Commentaires

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jeudi 13 octobre 2022 à 09h46 - par  Henic

L’histoire est bien amenée, puis conduite avec l’efficacité qui caractérise Fatum.
Le changement de monde ne semble pas affecter outre mesure Anita, ce qui est pour le moins surprenant, mais évite sûrement des jérémiades.

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mardi 17 juin 2014 à 16h49 - par  Crabou

J’aime bien ce début et cette fille qui affiche potentiellement sa soumission. J’attends la suite pour découvrir l’initiation de la petite nouvelle.