Je fus une otage

mardi 13 mai 2014
par  Fatum
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Je m’étais assoupie dans le taxi qui de l’aéroport devait m’amener dans la villa où m’attendait mon père. J’étais heureuse de revoir ce dernier, seul membre de ma famille encore en vie, qui pratiquait le difficile métier de diplomate dans le pays où je devais me rendre. La route de l’aéroport à la capitale était quasi déserte à cette heure matinale, et le début du trajet de cinquante kilomètres était monotone au possible. Un brutal coup de frein me réveilla. Le taxi s’était immobilisé et autour de lui se trouvaient plusieurs cavaliers portant une cagoule. Deux d’entre eux descendirent de leur monture, vinrent me tirer hors de la voiture et l’un d’eux m’appliqua sur le visage un tampon de chloroforme. Immédiatement, je sombrai dans l’inconscience.
Quand je me réveillai, je me trouvais dans un jardin entouré de hauts murs, près d’un petit bassin. A mes côtés, deux jeunes filles, vêtues d’une tunique blanche, me souriaient en pépiant un langage qui m’était totalement inconnu. Apparemment, aucune ne connaissait ni l’anglais, ni le français, les seules langues que je pratiquais. Ne sachant à quoi m’attendre, je résolus d’accepter provisoirement ce que l’on semblait attendre de moi. Je me laissai emmener dans un grand bâtiment jouxtant le jardin. Là, on me fit découvrir une gigantesque salle de bains, aux murs recouverts de marbre. Une seule porte y donnait accès. Mes deux accompagnatrices me firent me déshabiller et entrer dans une baignoire où je me plongeai avec délice tant mon corps me semblait couvert d’une sueur malodorante. On m’y laissa barboter durant de longues minutes, puis je dus me mettre debout. Les deux filles se mirent alors à me laver, prenant plaisir à me taquiner les seins et le clitoris sans que je songe même à réagir. Puis, elles me firent sortir de la baignoire et me séchèrent sommairement pour ensuite me faire me coucher sur une table de massage.
Une femme plus âgée arriva alors et m’examina complètement de la tête aux pieds. Elle aussi restait muette, et je dus la laisser procéder sur moi à des palpations dont je ne comprenais toujours pas le but. Elle me fit alors me coucher sur le ventre et je dus écarter les fesses sous ses mains vigoureuses. Elle examina mon anus, y glissant un, puis plusieurs doigts inquisiteurs. J’étais honteuse, mais n’osai me défendre. Elle donna un ordre bref à l’une des filles qui sortit pour revenir très vite, poussant devant elle une petite table sur laquelle se trouvaient, outre quelques courroies, d’étranges objets de diverses dimensions, et un pot de vaseline. La femme en badigeonna mon petit orifice pour ensuite y faire pénétrer à tour de rôle chacun des objets qui se révélèrent alors être des godes. Elle arrêta son choix sur un gode de taille moyenne, le mit en place et le fixa au moyen de quelques courroies, en disant quelque chose aux deux filles. L’une d’elles alla chercher un collier de cuir qui me fut placé au cou et deux bracelets de cuir également qu’on plaça à mes poignets. Puis, je pus me mettre debout, la femme grommela un ordre et les filles me firent alors sortir pour traverser le jardin et rejoindre un autre bâtiment. Au cours de ce petit voyage, je rencontrai plusieurs hommes et quelques autres demoiselles, toutes vêtues d’une tunique blanche. Une seule femme, qui marchait tête baissée, était vêtue d’une tunique rouge. Tous pouvaient voir l’objet qui m’avaient été planté dans le cul, et je connus un sentiment de honte comme jamais je n’en avais connu. Visiblement, tous devinaient les raisons de l’étrange harnachement que je portais, et malgré ma naïveté moi-même compris alors ce à quoi on me préparait.
Dans l’autre bâtiment, je fus amenée dans une petite salle où m’attendait un déjeuner que je consommai avec plaisir. Puis, on me laissa libre de parcourir le nouveau bâtiment à ma guise en compagnie d’une des deux filles qui m’avaient accueillie. Mais j’eus vite fait le tour de ce qui me semblait être une prison de luxe. Je pris le repas du midi, dans un réfectoire où se trouvaient d’autres jeunes femmes, toutes aussi jolies, mais toutes portaient comme moi un collier et des bracelets. Aucune ne parlait une de mes langues. Après le repas, deux de ces filles me firent entrer dans une salle remplie de sofas et me firent m’allonger sur un de ceux-ci. Elles se couchèrent à côte de moi et commencèrent à me caresser méthodiquement. Leurs corps chauds à côté du mien me rassuraient, et je les laissai faire. Au cours de mes années d’études, j’avais connu plusieurs liaisons de ce type, et me trouvais donc en paysage connu. Elles me firent jouir à diverses reprises, et je leur rendis la pareille. Puis la fatigue me surprit, et je m’endormis.
Quand je me réveillai, je vis à mes côtés une femme d’une trentaine d’années, vêtue d’une longue robe de soie verte fendue sur le côté. Elle me souriait et m’interpella en français
« Bonjour, Myriam, et bienvenue au palais de mon maître. Je m’appelle Jamila et suis chargée de m’occuper de toi durant ton séjour chez nous. Je vais t’expliquer les raisons de ton arrivée ici, et aussi ce qui t’attend. Plusieurs membres de la famille de mon maître sont détenus par ton pays sous prétexte de relations avec un groupe terroriste. Ton rôle sera de servir de monnaie d’échange pour les faire libérer. Mais les négociations ne seront pas aisées, et tu risques fort de passer plusieurs mois ici. Si après six mois rien n’a pu se réaliser, mon maître fera de toi une esclave et jusqu’à la fin de ta vie tu resteras ici pour le servir comme toutes les jeunes femmes porteuses d’une tunique rouge que tu as déjà vues. Comme elles, tu porteras alors gravé dans ta chair le symbole de ta dépendance. Mais bien évidemment, le maître espère ne pas devoir en arriver là. Demain matin, et pratiquement chaque jour tu seras photographiée de manière à pouvoir prouver à ton père que tu es bien en notre possession. Et régulièrement, tant que dureront les tractations, d’autres photos ou vidéos de plus en plus explicites lui prouveront à quel point ton sort deviendra de plus en plus pénible. Durant ton séjour ici, lorsque tu porteras une tunique rouge, chaque homme que tu rencontreras aura le droit de se servir de ton corps comme il l’entend. Les filles vêtues de blanc bénéficient du même privilège. Nous savons que tu es encore vierge par tous tes orifices, et ne connais de l’amour que quelques relations avec des filles, par ailleurs restées sans lendemain. Demain soir donc, au cours d’une séance publique, notre maître te déflorera le vagin. Et huit jours plus tard, quand ton anus sera prêt, il te fera découvrir la sodomie. Et pour davantage marquer ta différence d’avec les autres esclaves, ce soir je t’épilerai le sexe.
Malheureusement pour toi, chaque semaine les photos qui seront prises te montreront soumises à des tortures de plus en plus pénibles. Mais après tout, ce sera ton pays qui en portera la responsabilité. »
J’étais terrorisée. Incapable de me défendre, je me trouvais dans le rôle difficile d’une monnaie d’échange, mais une monnaie de chair, pouvant souffrir. Et des images folles me saisirent. Je réalisais ma fragilité, et à quel point mon corps en serait victime. Revenue dans la grande salle, apparemment mises au courant de ce qui m’attendait, les filles se groupèrent autour de moi, tentant d’apaiser mes craintes par leurs baisers et leurs caresses. Rien n’y fit et j’étais en larmes quand le soir venu, je fus amenée dans une petite salle par celle qui allait devenir ma tortionnaire attitrée. Plusieurs hommes invités par elle étaient présents, et ce serait sous leurs yeux moqueurs que j’allais me voir raser le sexe. Je fus attachée le dos sur une table, jambes écartées, et l’un d’eux put venir me savonner la toison. J’avais fermé les yeux, au comble de la honte, et très vite sentis le rasoir faire son œuvre. Quand ce fut terminé, j’ouvris à nouveau les yeux. Ma bourrelle invita dans sa langue les hommes à venir de près vérifier la qualité de son travail, et me traduisit le message qu’elle leur avait adressé
« Regardez comme sa fente est bien visible. Demain soir, plusieurs d’entre vous, désignés par notre maître, pourront s’y introduire et y déverser leur semence. Comme cette demoiselle va être gâtée. Et elle le sera encore plus quand son cul sera lui aussi disponible. »
Comprenant que j’avais vu juste à propos du gode que je portais, je me mis à pleurer. Jamila n’hésita pas à se moquer de moi.
« Mais chérie, de quoi te plains-tu ? Songe plutôt aux merveilleux moments que tu vas connaître lorsqu’en même temps tu pourras profiter d’une queue dans la chatte, d’une autre dans le cul et même d’une troisième dans la bouche. Et comme ton père sera heureux lorsque que grâce à une photo il découvrira sa fille ainsi comblée. »
Je ne pus alors retenir mes larmes, et l’étonnante tendresse que me manifestèrent les autres esclaves ne put me soulager. Je finis par m’endormir pour vivre une nuit de cauchemars.
Le lendemain matin, la sollicitude des autres captives me rasséréna quelque peu. Je déjeunai entourée de leur compassion, et me préparai à subir l’épreuve qui m’avait été annoncée. Quand tard dans la soirée on vint me chercher, je me croyais prête à subir vaillamment l’épreuve prévue pour moi. On me pomponna, on me farda, on passa un bâton de rouge sur mes lèvres sexuelles. Puis, je fus amenée dans une grande salle au centre de laquelle se trouvait un divan. Là, je fus couchée, bras et jambes écartées. Une esclave fut chargée de me lécher le sexe, afin de faciliter son intrusion. Je remarquai qu’une caméra filmait toute la scène. Puis, quand on m’estima prête, on me banda les yeux de manière à ce que je ne puisse pas voir l’homme qui me violerait en premier. Je sentis un corps se coucher sur le mien, une main impatiente écarter mes lèvres. Puis, je sentis quelque chose forcer le passage. Mon hymen se déchira et très vite la verge du violeur vint buter au fond de mon utérus. IL jouit très vite et à ma grande surprise, je me sentis aider ses mouvements et découvrir un étrange plaisir. L’homme se retira après avoir éjaculé, mais immédiatement un autre lui succéda. Etonnamment le plaisir était là, sans cesse renouvelé. Et plus tard, je ne pus m’empêcher de pousser un cri de joie.
J’ignore combien d’hommes ont profité de moi ce soir-là, et ne m’en inquiétai pas. Plus pénibles furent les jours suivants. On m’avait fait porter une tunique rouge et chaque fois que dans le parc ou dans l’un quelconque des bâtiments, je rencontrais un homme, il me fallait me mettre à genoux et lui offrir mon sexe, au grand plaisir de ceux qui par hasard passaient par là et profitaient du spectacle que je leur offrais sans pouvoir y échapper. Consentante ou non, j’avais découvert le sexe et les rares plaisirs qu’il pouvait parfois m’offrir.
Jamila décida alors de ne plus me quitter, et me fit venir dans son appartement où je restai en permanence à sa disposition. Elle comptait bien se servir de moi pour lui procurer de nombreuses jouissances. Chaque nuit, et parfois même au cours de la journée, je devais de ma langue lui lécher la chatte et même le cul. J’étais devenue pour elle un sextoy vivant, et dus me résigner à ce nouveau rôle. De temps à autre, elle me remerciait en inversant nos rôles, et c’était alors à elle de me faire jouir. Mais elle devenait de plus en plus sévère, et je sentis que bientôt j’aurais à découvrir la souffrance.
Deux semaines se passèrent ainsi. Chaque matin, ma bourrelle retirait mon gode pour examiner l’état de mon anus. Mais ce ne fut que quinze jours plus tard qu’elle avertit son Maître. J’étais prête à la sodomie. Ce même soir, je fus ramenée dans la salle où j’avais été déflorée. De nombreux hommes étaient présents et j’allais connaître une humiliation pire que toutes les précédentes. On m’attacha, le ventre sur un chevalet, de manière à mettre mon cul en évidence et Jamila se chargea de graisser celui-ci. Quand ce fut fait, un homme vint à mes côtés et me présenta sa verge bandée. Elle était énorme, et je réalisai la douleur que j’allais découvrir. Jamila se saisit du sexe et le présenta à ma rosette où il s’enfonça. J’avais l’impression qu’on m’enfonçait dans les entrailles un tison brûlant. Je hurlai tout le temps de l’intromission. Mais rien n’y fit :rien n’arrêta mon bourreau et il semblait prendre un plaisir tout particulier à pénétrer en moi le plus loin possible. Je m’évanouis alors. Immédiatement, je fus réveillée par Jamila. L’homme était toujours planté en moi, et me bousculait sans cesse dans des mouvements de plus en plus violents. Je préférai alors m’adapter à son rythme afin de diminuer le mal qu’il me faisait. Et quand il déchargea, je crus être arrivée au bout de mes peines. C’était mal connaître Jamila qui lui fit succéder quatre autres hommes. Je n’avais plus aucune réaction et laissai faire. Quand tout fut terminé, elle prit une photo de mon cul et me la montra. J’étais épouvantée. Je voyais de mon anus dilaté et béant s’écouler du sang et du sperme. Jamila me souriait moqueuse et me dit :
« Comme ton père va apprécier cette photo. Je vais la lui envoyer de suite. IL pourra ensuite en faire usage pour obtenir d’accélérer la libération des otages en prison dans ton pays. »
Je ne réagis même pas, et croyais être allée au-delà de mes limites. Comme je me trompais. Lire la suite




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