Les deux amies

vendredi 2 mai 2014
par  Fatum
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Ce soir-là, Laure et Linda se retrouvaient seules dans la salle de sport du lycée. Tous les élèves avaient déjà quitté l’établissement. La salle ne fermait qu’une heure plus tard, mais plus aucune autre activité n’était prévue. Elles étaient occupées à prendre leur douche dans le vestiaire réservé aux filles. Et elles en profitaient, comme elles en avaient pris l’habitude, pour se caresser et se masturber mutuellement. Elles étaient en terminale, et devaient passer leur bac fin d’année. Laure était une grande brune d’un mètre septante cinq, avait une jolie figure, des yeux marron, mais aussi une silhouette fine et sportive. Linda, elle, était blonde et très belle. Elle était d’ailleurs une des coqueluches du lycée, et jouait pour ne pas dire abusait de ce pouvoir. Elles venaient d’avoir toutes les deux dix-huit ans, et étaient parmi les meilleures élèves de leur classe. Depuis plusieurs mois, elles avaient découvert le tennis et se livraient à une heure de ce sport tous les vendredis soir. Puis, peu à peu, elles devinrent amies et même d’excellentes amies. Elles étaient maintenant habituées à se voir nues, et insensiblement leurs contacts d’abord simplement visuels évoluèrent vers d’autres contacts, nettement plus intimes. Elles s’embrassaient sous la douche, mais se caressaient aussi. Et depuis deux semaines, après y avoir étendu des essuies de bain, elles se couchaient côte à côte sur une banquette du vestiaire pour s’y caresser le sexe. Elles étaient heureuses de ces relations qu’elles préféraient nettement aux flirts habituels des lycées, et s’adonnaient de plus en plus passionnément à des plaisirs saphiques que vu leur isolement, personne ne devait découvrir. Un soir cependant, pendant qu’elles étaient en pleine action, elles entendirent un bruit dans le corridor : une porte venait de se fermer. Elles se rhabillèrent en vitesse pour aller voir ce qui se passait. Mais le corridor était vide. Rassurées, elles quittèrent l’établissement après un dernier baiser, et chacune alla rejoindre sa famille.
Le lundi matin, lorsque Linda passa devant la loge du concierge pour pénétrer dans la cour, elle fut interpellée par le préposé à ce poste qui lui remit une enveloppe. L’homme, âgé d’une quarantaine d’années, était en poste depuis plus de dix ans, et connaissait pratiquement toutes les élèves de terminale. Linda ne s’inquiéta pas et courut rejoindre Laure qui l’attendait. La classe allait débuter, elle glissa l’enveloppe dans son cartable et l’y oublia. Ce n’est qu’après la dernière heure de cours qu’en fouillant dans son cartable, elle retrouva l’enveloppe. Elle l’ouvrit, et saisit ce qui s’y trouvait. Laure la vit pâlir, et sans un mot lui tendre une photo. On les y voyait couchées sur la banquette, la tête de Linda entre les cuisses de Laure. La photo ne laissait aucun doute : elles avaient été piégées. Il y avait également un petit mot du concierge « Prière de passer dans ma loge à dix-huit heures. Il faut que je vous parle ! » Pressentant une menace, elles n’osèrent se dérober et à l’heure dite se présentèrent au rendez-vous. Le lycée, hormis la salle de sport, était déjà totalement vide.
Le concierge les accueillit avec un sourire moqueur. C’était un homme apparemment fort costaud, mais très soigné de sa personne, et vêtu avec une certaine élégance, étonnante pour le poste qu’il occupait. Il fit pénétrer les deux filles dans sa loge dont il ferma la porte à clé, et les fit s’avancer dans la partie arrière de son petit appartement. Immédiatement, il les mit au courant :
« J’ai fort apprécié le petit spectacle que sans le vouloir vous m’avez offert. J’en ai gardé un excellent souvenir...et d’excellents clichés ! »
Il leur montra alors plusieurs photos encore plus explicites que la première, faisant rougir de honte les deux demoiselles, de plus en plus inquiètes. L’homme s’amusa de leur gêne :
« J’ai hésité à rendre ces photos publiques. Internet était un bon moyen pour le faire. Mais vous savez les ennuis que cela pourrait vous occasionner, dont le moindre ne serait pas votre renvoi du lycée, ce qui en dernière année serait une catastrophe pour vous. Et je ne parle pas des scandales familiaux qui s’ensuivraient. Alors, je vous propose un marché. Deux fois par semaine, vous viendrez à vingt heures me rendre visite ici et dans ma chambre où personne ne saurait vous voir, vous m’offrirez en toute décontraction un remake de votre spectacle, et tenterez d’encore davantage le corser. »
Linda et Laure ne pouvaient refuser. Elles se rendaient compte que la diffusion de ces photos, outre qu’elle ferait d’elles la risée de leur condisciples, leur vaudrait une foule d’ennuis et des conséquences fâcheuses au point de vue scolaire. Elles acceptèrent sans même devoir réfléchir la proposition qui leur était faite, d’autant plus que l’idée de s’exhiber ainsi devant un homme n’était pas sans les exciter. Mais en acceptant la proposition du concierge, elles mettaient sans le savoir les doigts dans un engrenage infernal, comme elles le constatèrent très vite. Rendez-vous fut pris pour le mercredi suivant. « Vous prendrez vos affaires de sport, pour que vos parents ne s’étonnent pas de vos absences. Mais pour venir ici, je veux que vous portiez de courtes jupes avec par dessous une culotte blanche. » L’exigence ne les étonna pas : elles savaient que les hommes adoraient plonger leur regard sous des jupes assez courtes pour leur permettre de détailler des yeux le spectacle coquin qui leur était ainsi gracieusement offert.
Deux jours plus tard, à l’heure convenue, Linda et Laure se présentèrent chez le concierge qui les fit immédiatement entrer dans son petit living après avoir soigneusement fermé à clé la porte d’entrée de sa loge. Personne ne s’en étonnerait : vers onze heures, il sortait chaque soir faire sa ronde qu’il terminait en fermant l’accès du hall de sport. Le concierge avait prévu une bouteille de mousseux et trois verres « Il faut quand même fêter cet événement ! » Et fit trinquer les filles avec lui. Puis, il les fit entrer dans sa chambre que prévenant, il avait décorée de fleurs. Les filles sursautèrent : il y avait là, face au lit, une caméra montée sur un pied. Elles se récrièrent
« Non, pas de çà. Nous ne voulons pas être filmées ! »
L’homme se mit à rire :
« Mais vous n’avez pas le choix. Ce sera cela ou la publication des photos. Le film que j’ai bien l’intention de faire sera d’ailleurs strictement réservé à mon usage personnel, question de meubler agréablement mes soirées de solitude. Et il en sera heureux ! »
Grossièrement, il avait posé sa main sur le haut de son pantalon. Les filles avaient compris. Le concierge se plaça alors derrière la caméra et leur donna l’ordre de se déshabiller
« Pas trop vite, s’il vous plait. Et soyez coquines ! »
Excitées par les paroles de l’homme, Linda et Laure se dévêtirent lentement pendant que le concierge les filmait. Quand elles furent nues, il leur ordonna de s’asseoir sur le bord du lit et d’écarter les cuisses pour lui permettre de filmer en gros plan leurs intimités. Puis, il leur ordonna de se coucher l’une sur l’autre et d’ainsi se masturber
« Ici au moins, personne ne viendra vous déranger, et vous pourrez jouir à votre aise ! »
Rassurées, Linda et Laure firent ce qu’il leur ordonnait. Et à leur grande stupéfaction, elles constatèrent que l’homme, tout en continuant de filmer d’une main, avait de l’autre main sorti son sexe de son pantalon et le caressait, provoquant son érection. Les filles, ahuries, arrêtèrent leurs caresses pour regarder le spectacle. Jamais elles n’avaient vu le sexe d’un homme, et ce spectacle les hypnotisait littéralement.
« Allons, mesdemoiselles, continuez ce que vous faites. Mon petit copain apprécie, comme vous le voyez ! »
Le petit copain appréciait tellement qu’il ne put se retenir. Le concierge s’était approché du lit et s’amusa à répandre son sperme sur les deux corps nus à nouveau en mouvement
« Profitez-en et goûtez. Vous m’en direz des nouvelles. »
De plus en plus excitées, les deux filles posèrent un doigt sur les traînées blanchâtres et le portèrent à leur bouche pour le lécher. Le goût leur parut bizarre, mais il était nouveau pour elles, et elles firent mine de l’aimer.
« Vous voyez, je vous l’avais bien dit. »
L’homme avait repris sa caméra et s’était posté au bord du lit. Il voulait filmer en gros plan le tableau que lui offrait la langue de Linda sur le clitoris de Laure, maintenant dressé comme un petit doigt. L’homme laissa les filles poursuivre leur masturbation, mais ne put filmer leurs orgasmes, ceux-ci étant survenus trop brusquement. Il les laissa se rhabiller, honteuses et heureuses à la fois.
« A vendredi, et bonne nuit. Vous restez d’ailleurs en ma compagnie ! » et il leur montra la caméra.
Comprenant très bien ce que l’homme voulait dire, Linda et Laure piquèrent un fard, et après avoir posé un baiser sur les joues du concierge, s’en retournèrent chez elles, se demandant déjà ce qu’il avait prévu pour elles le surlendemain. Elles se rendaient parfaitement compte que les exigences de l’homme iraient croissant, mais ne s’en effrayaient pas. Le plaisir vicieux qu’elles avaient retiré de cette soirée leur était devenu précieux. Désormais, il ferait partie de leur vie, et elles se sentaient prêtes à aller loin, beaucoup plus loin.
Le vendredi soir, comme convenu, elles se présentèrent à Brian, le concierge, qui les attendait. Il les reçut de la même manière, mais après la bouteille d’entrée, tout se passa autrement. Il fit regarder aux filles le petit film tourné l’avant-veille, et commenta ce qui s’y passait. Puis, il les fit se déshabiller, et leur tint un petit discours :
« J’ai eu beaucoup de plaisir avant-hier, grâce à vous. Mais j’ai aussi constaté que vous êtes fort ignorantes en matière de sexe. Nous allons commencer à améliorer vos connaissances. Apparemment, vos deux trous n’ont pas encore été utilisés. A votre âge, cela m’étonne un peu. Nous allons modifier tout cela, en commençant par vos trous de derrière. Mettez-vous côte à côté à genoux sur le lit, et montrez-moi vos petits œillets. » Lire la suite

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