Qui aime le cuir sait sévir

mardi 1er avril 2014
par  Sylvain de Perry
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Dans la grande salle du Château se trouvent réunis tous les amis du Comte. Ils n’étaient pas cent, tout au plus une dizaine.
Tous ont un point commun : ils aiment dominer, aiment faire souffrir, aiment jouir des cris de leurs invités.
Vaste programme !
Pour l’heure, assis dans de profonds fauteuils, notre petit groupe devise.
Le Comte se lève, immédiatement les conversations cessent.
Il est vêtu d’une combinaison de cuir rouge vif qui le moule comme seconde peau. Grand, un mètre quatre-vingt-cinq, les cheveux restant en couronne sont blancs. Ses yeux verts semblent sévères. Son nez droit, sa bouche large, son menton volontaire le font paraître bel homme.
Les autres membres portent une combinaison identique, hommes et femmes, mais bleue marine.
Debout face au petit groupe, le Comte explique :
— Mes amis, ce soir nous fêtons notre premier anniversaire de nos réunions mensuelles…
Une salve d’applaudissements salue ses premières paroles.
Le Comte attend la fin des claquements de mains, ironise :
— … Gardez vos forces claquantes pour tout à l’heure. Pour fêter dignement cette soirée comme il se doit, Jeanne…
La susnommée se lève.
— … Nous a amené sa dernière compagne, Claire. Quant à Jacques…
A son tour l’interpellé quitte son siège :
— … Il a décidé de nous livrer son épouse, Sophie. Comme pour chacune de nos réunions, ces nouvelles venues ont accepté d’être nos esclaves d’une soirée. Comme nous avons tout notre temps, elles seront traitées chacune à leur tour. Ne les ménagez pas, soyez sévères mais… Justes et surtout, amusez-vous bien…
Le Comte lève son verre face à l’assistance :
— Que la fête commence !
Jeanne et Jacques mêlent leurs applaudissements à ceux des autres invités, échangent quelques mots.
Jeanne s’éloigne vers une petite porte, située du côté droit de la grande salle alors que la lumière d’ambiance baisse d’intensité. Seul le centre de la salle se trouve parfaitement éclairé par deux projecteurs : un gros pouf de cuir noir, du plafond pend une corde munie à son extrémité de deux menottes garnies de velours, sur un côté, une table roulante avec des martinets, des raquettes, et une espèce de coffret de verre, sur le fond duquel reposent divers godemichets plus ou moins longs et larges.
Jeanne réapparait poussant devant elle une jolie jeune femme d’à peine vingt ans, les cheveux blonds ramenés en chignon, le corps entièrement nu.
Claire a de jolis petits seins piriformes à l’aréole brune, son ventre plat se termine par une jolie fente, complètement imberbe.
Jeanne juge que les spectateurs avaient apprécié l’arrivante, lui claque les fesses, ordonna :
— Demi-tour ! Fait-leur voir ton derrière !
Claire leur présente un beau petit cul musclé, bien rond, semblable à une pêche bien fendue avec sa raie polie au milieu, parfaitement cambré.
Jeanne lui claque à nouveau la croupe :
— Face aux invités !
Claire garde ses yeux bleus baissés, attend la suite avec une légère anxiété.
Un homme quitte son siège, s’approche de la jeune fille, dit d’une voix grave :
— Assied-toi sur le pouf et branle-toi ! Face aux amis !
Il appuie sur les épaules afin qu’elle repose sur le pouf, dont le cuir froid au contact de ses fesses nues la fait frissonner.
Elle écarte un peu les cuisses, porte ses doigts vers son sexe pour commencer à se caresser.
De la salle jaillit une voix d’homme :
— Ecarte bien tes cuisses qu’on en profite tous.
Claire augmente l’ouverture de ses cuisses alors que ses doigts se posent sur son sexe en une timide caresse presque malhabile.
Malgré sa honte, sachant que les yeux sont fixés sur ses gestes, elle active ses doigts.
Contre toute attente, assez rapidement, Claire se met à haleter et gémir, appréciant cette jouissance née de ses propres doigts.
Alors qu’un petit orgasme naît en elle, Claire se met à battre les fesses sur le pouf de cuir sur lequel elle est cabrée, tendue comme la corde d’un arc.
Les spectateurs retiennent leur souffle ; les femmes, comme Claire, caressent leurs sexes ; les hommes bandent dans leur combinaison de cuir.
Un cri couronne la jouissance de Claire.
L’homme, toujours debout à ses côtés, prend la main de la jeune fille, porte les doigts mouillés à sa bouche et, après les avoir sucés, déclare :
— Elle est… exquise.
Puis il force la main à retourner vers le sexe, les fait replonger vers le sexe inondé de cyprine, puis porte la main vers la bouche de Claire, qui, remplie de honte, détourne la tête.
— Comment ? Tu refuses de sucer ta propre mouille. Tu vas voir, je vais t’apprendre à l’aimer.
Sans forcer, l’homme la soulève du pouf. Avant que Claire n’ait le temps de
Comprendre ce qui se passe, elle se retrouve couchée à plat ventre en travers des cuisses recouvertes par le pantalon de cuir bleu de l’homme assis à sa place, qui dit :
- Rien de tel qu’une bonne fessée pour apprendre l’obéissance à une femme !
Claire proteste aussitôt :
— Non !... Non !... Monsieur, je vais goûter ma cyprine !...
Pour toute réponse, un
— Vlaaaaaaac !...
Sonore résonne dans la salle. La grande main sèche et musclée de l’homme a claqué à toute volée la tendre croupe étalée dans toute sa plénitude nue, presque fragile sous l’éclairage vif.
Les fesses s’écrasent sous l’impact et, aussitôt, se marbrent d’une tâche rose, puis rouge avec la marque des doigts bien visible.
Pas fessée depuis longtemps, Claire crie sous l’affreuse brûlure qui ravage son cul, projette instinctivement sa croupe vers le haut alors que ses deux globes jumeaux s’ouvrent comme pour aspirer l’air frais, dévoile à tous le mystère de sa vallée étroite et profonde.
Une seconde gifle, aussi vigoureuse que la précédente, s’abat sur les fesses alors que Claire tente de ramener son bras gauche vers l’arrière, tentative dérisoire pour protéger son cul.
L’homme prend rapidement le bras de sa main droite, l’immobilise dans le dos, en appui sur les reins.
La main gauche enflamme les fesses d’une bonne douzaine de claques qui font se cabrer la jeune fille fessée.
Puis l’homme porte sa main fesseuse entre les cuisses ouvertes, vers la vulve. Les doigts s’insinuent entre les lèvres alors que Claire, un instant surprise, creuse instinctivement les reins et s’offre d’elle-même à la main.
Sentant le vagin encore mouillé, voire même d’avantage encore, l’homme commente :
- Mais c’est une véritable chienne en chaleur. Je comprends pourquoi
Jeanne nous l’a amenée…
Et sans préavis, la main quitte le sexe exacerbé et claque de nouveau le cul offert.
Les claques se remettent à pleuvoir avec force, mais lentement, car l’homme est un fesseur patenté, sait les appliquer avec une lenteur calculée.
Claire se cabre sur les cuisses en cuir, tressaute de douleur, sursaute sous les assénements ininterrompus de la main masculine, largement ouverte pour mieux claquer son beau cul rond et musclé ; ses jambes pédalent dans le vide, ses pieds battent la moquette du sol. Elle crie :
— Nooooooon !... Asssssssez !... Pluuuuuuus… La fessée !... Je sucerai… Ma cyprine !... Aaaaaaarrêtez !... J’ai maaaaaaal…
Les spectateurs suivent avec plaisir et excitation le spectacle de cette fessée, admire surtout la vue du trou du cul et du sexe qui palpitent, s’ouvrent et se ferment au rythme des claques.
L’homme, après deux fortes claques données juste à la jonction cuisses-fesses, cesse la fessée, plonge deux doigts dans le sexe qu’il trouve très humide.
Les sortants de la vulve, l’homme les présente vers la bouche, ouverte sur les derniers cris de douleur, de Claire, laquelle ressent une intense cuisson à sa croupe rouge pivoine. Lire la suite




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Commentaires

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lundi 11 juillet 2022 à 11h38 - par  de Perry

Cher ami Henic,
réponse simple : j’étais effectivement à Milano, concert et déplacement d’affaire de ma compagne. L’histoire était dans ma tête depuis quelques jours. Je me suis lancé. A la fin, je ne savais plus quoi écrire sur Sophie, donc j’ai tout simplement clos mon récit. Précision : outre la fessée, j’adore le cuir, pantalon et slip plus que jupe. Sylvain.

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samedi 9 juillet 2022 à 10h09 - par  Henic

Deux soumises, une poignée de sadiques et quelques accessoires, ces ingrédients suffisent à Sylvain de Perry pour enchanter le lecteur, et faire chanter par les soumises l’hymne à la fessée qu’apprécie tant l’auteur.
Une question toutefois : pourquoi la première a-t-elle le droit de souffrir pendant une vingtaine de pages, quand la seconde n’en bénéficie que de huit ou neuf ? Serait-ce un privilège de femme mariée ?