Plus c’est long, plus c’est bon

vendredi 14 février 2014
par  Thierry13
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Sybile a une relation très chaude avec un homme marié qui habite à plusieurs kilomètres de chez elle. Elle ne le voit que trop peu à son goût. En colère parce qu’il n’est pas venu lui rendre visite depuis plus de 3 jours, elle décide de lui faire une surprise en allant sonner à sa porte.
Sybile, décide de mettre une robe sexy qu’elle a dans sa garde robe. Elle choisit la robe à lamelles larges. Elle ne met aucun sous vêtement. Cependant, elle enfile des bas auto fixant.
Pour ne pas attraper froid et surtout ne pas être ennuyée lors de son déplacement, elle revêt un long manteau en fourrure et chausse ses bottes cuissardes en cuir à talon. Ces dernières montent jusqu’au dessous du genoux. De cette manière, ce dit-elle, personne ne pourra se douter de la façon dont je suis accoutrée sous mon manteau.
Elle monte au volant de sa voiture, mais celle-ci ne veut rien savoir. Après plusieurs essais elle ne démarre toujours pas. Il est trop tard pour faire venir un garagiste, alors je vais y aller en stop, se dit-elle. Ce n’est pas trop loin et il y aura certainement du monde qui passera sur la route qui mène au domicile de son amant.
Elle commence à faire du stop. A peine quelques minutes se sont écoulées, qu’elle ressent quelques gouttes de pluie sur son visage. Par chance, elle voit arriver une grosse voiture qui ralenti et se gare juste devant elle. La vitre passager avant s’ouvre et Sybile constate qu’il y a déjà 4 personnes dans la voiture, 2 devant et 2 derrière. Le chauffeur lui lance :
— Bonjour Madame, vous allez où comme ça ?
— Je vais à Carry-le-Rouet, vous connaissez ?
— Bien sur, c’est à 30 km d’ici. Si ça ne vous fait pas peur de monter avec 4 hommes inconnus, je peux vous prendre et vous y déposer.
— Il commence à pleuvoir, et j’ai l’impression qu’aujourd’hui les voitures ne vont pas se bousculer.
Sur ordre du conducteur, l’homme assis en place passager avant descend, laisse sa place à Sybile et prend place à l’arrière avec les deux autres hommes.
— Bonsoir, moi c’est Thierry et vous ?
— Sybile. Merci de vous êtes arrêté.
— Très joli prénom. Alors, vous allez faire quoi à Carry, Sybile ? demande Thierry.
— Je vais voir un ami.
— Et vous n’avez pas de voiture ?
— Si, mais elle et tombée en panne.
— Et lui ne pouvait pas venir vous chercher ?
— C’est compliqué.
— Vous n’avez pas peur de vous faire agresser toute seule à cette heure-ci sur une route aussi déserte ?
— Je vais peut-être vous choquer, mais je préfère prendre 20 cm dans le cul que d’avoir 30 km à me taper à pieds.
Sybile se rend compte en prononçant ses paroles qu’elle est seule dans une voiture avec 4 inconnus. Elle rougit.
Le chauffage de la voiture est à son maximum. Elle n’ose pas demander à ce que le conducteur baisse le chauffage. Elle déboutonne cependant son manteau en prenant bien soin de le garder maintenu fermé avec ses deux mains. De temps en temps elle l’entrouvre, tout en essayant de faire en sorte que ni le conducteur ni les passagers ne s’aperçoivent qu’elle est presque nue sous son manteau. Elle est un peu mal à l’aise, d’autant plus qu’elle a de plus en plus chaud.
— Mettez-vous à l’aise, vous pouvez enlever votre manteau si vous avez trop chaud.
— Je vous remercie, ça va très bien pour le moment.
— Vous êtes mariée ?
— Non, j’ai un sex friend’s
— Vous avez raison, c’est mieux comme ça.
— Et vous, vous allez faire quoi à Carry ?
— Nous, en fait on ne va pas exactement à Carry.
— Ah bon ?
— Oui, on a rendez-vous dans un club BDSM.
— Et vous y allez à 4 mecs, comme ça ? Il n’y a que des hommes dans ce club, c’est un club gay ?
Thierry éclate de rire.
— Non, il y a des femmes. J’attends un appel d’une de mes amies qui doit nous accompagner. C’est d’ailleurs grâce à elle qu’on pourra y rentrer.
— Pourquoi ?
— Parce qu’il faut impérativement venir avec une femme pour y rentrer, et qu’elle soit soumise.
— Soumise ?
— Oui, elle fait tout ce qu’on lui ordonne de faire. Souvent on a même pas besoin de parler, elle comprend d’elle-même.
— Tout ?
— Oui, absolument tout.
— Ce doit être avilissant, non ?
— Pourquoi dites vous cela ?
— Une femme aux ordres d’un homme, à exécuter toutes ses volontés.
— Ce n’est pas le cas.
— Ah bon ?
— Les soumises sont comme ça, c’est dans leur nature de faire plaisir à leur Maître. En lui faisant plaisir elles prennent du plaisir, beaucoup de plaisir. C’est un échange.
— Leur Maître ?
— C’est le terme, il vous choque ?
— Un peu, oui. Vous parlez des femmes comme si elles étaient dressées, comme des animaux.
— C’est un peu vrai. Pouvez-vous me sortir le prospectus qu’il y a au fond de la boîte à gants, s’il vous plait ?
Sybile défait sa ceinture, essaie d’ouvrir la boîte à gants d’une seule main en maintenant son manteau fermé de l’autre main. N’arrivant pas à l’ouvrir, elle lâche son manteau et tente d’ouvrir la boîte à gants avec ses deux mains. Celle si se montre récalcitrante au point que Sybile se concentre plus pour tenter d’arriver à l’ouvrir. Son manteau s’écarte de chaque côté de ses jambes, mais elle ne s’en rend pas compte car elle est pliée en deux, penchée, pour tenter d’ouvrir cette maudite boîte à gant qui lui résiste. Tout d’un coup, elle parvient à l’ouvrir, fouille dedans et trouve le fameux document qu’elle prend et tend vers le haut en l’agitant tout en disant :
— Ca y est, je l’ai trouvé !
En se redressant d’un coup, son manteau s’est complètement ouvert et a laissé apparaître se qu’elle porte dessous.
Thierry s’aperçoit qu’elle porte des cuissardes, des bas auto fixant et une magnifique robe à lamelles. Sybile se rend compte de se qui vient de se produire, rougit et referme immédiatement son manteau avec ses deux mains en espérant que Thierry n’a pas eu le temps d’observer quoi que ce soit.
— Tenez, le voici.
— Prenez-le. C’est pour vous, c’est pour que vous puissiez voir où nous nous rendons, avec mes copains. Quel type de soirée c’est.
Elle le déplie et commence à le parcourir. Elle y prête une grande attention, et a, à nouveau, lâché son manteau qui s’est ouvert. Elle n’en peut plus de cette chaleur, mais n’ose pas demander à ce que Thierry baisse le chauffage.
— Ca a l’air de vous passionner, demande Thierry
— Je suis curieuse de nature.
— Ca vous choque ces photos de femmes nues qui portent certains artifices ?
— Non, je trouve ça joli.
— Et vous, ça vous direz de vous habiller comme ça ? De jouer un de leur rôle ?
— Je ne sais pas.
— Pourquoi n’enlevez vous pas votre manteau, vous êtes timides à ce point là ?
— Pas du tout.
— Vous n’avez pas trop chaud avec se grand manteau ?
— Si un peu
— Alors enlevez-le et passez-le derrière, ils vont le ranger sur la lunette arrière. Vous serrez mieux ainsi. Mon chauffage est en panne, je n’arrive plus à le régler.
Sybile obéit. Elle dégrafe sa ceinture de sécurité, enlève son manteau et le passe à l’arrière, sans se retourner, pour ne pas croiser le regard des hommes qui sont sur la banquette arrière. Elle raccroche sa ceinture et se cale à fond dans son siège. La sangle de sa ceinture passe entre ses seins et sur son ventre.
Quand elle l’accroche, elle met en tension la sangle de la ceinture, ce qui a pour effet de tirer sur la partie du tissus de sa robe qui couvre ses seins et le bas de sa robe. Le tissus glisse et laisse apparaître ses deux seins qui pointent. Elle ne s’en rend pas compte. Elle regarde droit devant elle, pour ne pas croiser le regard de Thierry. Sa robe en bandelettes est très courte. Elle serre ses cuisses et pose ses mains entre elles pour dissimuler le fait qu’elle ne porte pas de culotte. Elle rougit à nouveau, mais aime cette situation particulière ou elle se trouve pratiquement nue en présence de quatre inconnus à qui elle vient tout juste d’avouer aimer la sodomie.
— Vous avez une robe magnifique, lui lance Thierry
— Merci
— Et vos seins sont splendides aussi
Elle baisse la tête et s’aperçoit que ses seins sont tous les deux sortis en dehors de la robe. Ils sont arrogants et pointent avec force. Elle tente maladroitement de les recouvrir en prenant le tissus placé juste au dessus avec ses deux mains, en tirant dessus pour les recouvrir. Elle y parvient, mais dès qu’elle le relâche, la sangle de la ceinture le repousse à nouveau vers le haut. Elle en oublie que le bas de sa robe remonte aussi sous l’effet de la ceinture ventrale, et laisse maintenant apparaître son pubis parfaitement épilé et imberbe.
— Laissez tomber, ça ne me gène pas, bien au contraire. Je vous trouve splendide.
— Merci.
Sybile rougit encore, mais a retiré ses mains définitivement de son entre-jambe, comme pour remercier Thierry de son compliment. Elle écarte même un peu les cuisses pour tenter d’y faire passer un peut d’air, car elle commence vraiment à avoir chaud. Elle est très excitée de savoir que les hommes qui sont avec elle dans la voiture savent maintenant qu’elle est presque nue et qu’elle est sans défense, attachée à un siège, dans une voiture qui roule. Impossible de s’échapper. Elle sent son sexe la brûler et son clitoris monter en érection à cette pensée. Elle se demande si Thierry peut s’en apercevoir d’où il se trouve. Elle regarde droit devant.
Tout d’un coup, elle sent son dossier basculer légèrement vers l’arrière sans quelle fasse quoi que ce soit. Elle écarte machinalement les jambes pour trouver un appui avec ses pieds qui se sont levés sous l’effet de la bascule surprise de son dossier, et essaie de s’agripper avec ses mains où elle le peu. Avec une elle accroche la poignée de la porte et avec l’autre, sans s’en rendre compte immédiatement, elle s’accroche à l’entrejambe de Thierry. Elle sent une barre dure et s’y cramponne sans même regarder se qu’elle tient dans sa main... LIRE LA SUITE



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