Innocentes torturées

Par Robert
samedi 1er février 2014
par  Henic
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Les immenses gardes du corps arabes à la peau bronzée entrent dans la tente avec un air bourru, une main sur la garde de leur cimeterre au fourreau, et inspectent l’intérieur à la recherche d’éventuelles menaces. Mais la seule personne qui se trouve là est le marchand d’esclaves, un bonhomme plutôt rondouillard nommé Bacchus qui attend avec impatience vautré sur une énorme pile de coussins à un bout de la vaste tente. Il sirote son vin tandis que les gardes regardent en arrière et hochent la tête en signe d’approbation vers leur maître. Une bruyante vente d’esclaves aux enchères se déroule dehors dans la cour, le bruit des offres et les railleries de la foule alimentent une rumeur stable. Les gardes s’écartent pour laisser le passage.
Bacchus se lève lorsque le Cheik entre. Le gros homme grisonnant, à la peau foncée, paré d’une une belle gandoura et couvert de bagues s’avance tranquillement vers Bacchus, fronçant les sourcils en regardant carrément dans les yeux le vendeur Sicilien. Bacchus se demande comment les dieux peuvent faire preuve de tant d’ironie en donnant autant de richesses à cet homme qui est probablement le prince bédouin le plus laid de toute l’Arabie.
« Il vaudrait mieux que ça vaille plus la peine que je me suis donné aujourd’hui, Bacchus, ou je pourrai bien prendre ta tête comme trophée. Qu’as-tu trouvé de si spectaculaire que tu envoies des messagers me déranger au milieu de la nuit ? »
Bacchus ouvre largement les bras et sourit d’un petit sourire tordu.
« Relax, Seigneur ! Vous ai-je jamais déçu ? Est-ce que je n’ai pas les plus belles chairs féminines de tous les Sept Royaumes ? Je pensais que vous seriez enthousiasmé, sachant que pour que je fasse tant d’efforts, je dois sûrement avoir quelque chose de tout à fait spectaculaire ! Venez, asseyez-vous ! J’apporte encore du vin avant la présentation ! »
Bacchus claque fort de ses mains potelées. Deux belles esclaves aux cheveux noirs se précipitent dans la tente, vêtues seulement de leur collier d’esclave et de bracelets aux poignets et aux chevilles, leurs jeunes seins fermes oscillent tandis qu’elles apportent du vin et des gobelets. Le Cheik prend le sien et sirote, hochant la tête en signe d’approbation alors que les filles s’accroupissent de part et d’autre des hommes assis dans les immenses coussins, elles ont la tête baissée et attendent l’ordre suivant. Le Cheik raille :
« Alors, montre-moi pourquoi je ne dois pas simplement ressortir et aller acheter un nouveau jouet dans le stock qu’Aramis a amené aujourd’hui…
— Pffff ! Est la réponse de Bacchus qui se renfrogne. Les vaches ! Dit-il en fronçant les sourcils. »
Il bat deux fois des mains et un grand garde Maure noir entre dans la tente par une trappe, suivi d’un autre qui tire sur une chaîne. Ce qui est au bout de la chaîne fait se redresser le Cheik.
Deux jeunes blondes nues encore adolescentes et toutes craintives entrent en trébuchant dans la salle, leurs yeux d’un bleu lumineux tourné vers le sol en terre battue, emplies de honte tandis que le garde les tire devant les hommes qui les lorgnent. Ce sont de jeunes créatures magnifiques, à la chevelure couleur miel qui leur tombe sur le dos jusqu’à leurs culs blancs et ronds. La chaîne est attachée à leurs deux colliers d’esclave, ce qui les contraint à essayer de marcher alors qu’elles sont collées l’une à l’autre, leurs seins jeunes et fermes se frottant les uns contre les autres. Leurs mains sont menottées derrière leur dos, et leurs chevilles sont entravées avec de courtes chaînes qui les empêchent de faire de grands pas. Des bâillons de cuir cruellement serrés ne s’échappent que des grognements étouffés. On les force à se placer devant le Cheik qui sourit à présent en les détaillant de haut en bas ; il n’en croit pas ses yeux lorsqu’elles apportent toutes ces chairs blanches magnifiques. Il examine en particulier les touffes de poils blonds de leurs chattes, chose que ses yeux n’ont encore jamais vue. Il est incapable de prononcer un mot.
« Mon Seigneur reste muet ? Raille Bacchus en regardant nonchalamment le fond de sa tasse.
— Combien ? Est le seul mot que le Cheik parvient à prononcer, hypnotisé par les filles qui tremblent.
— Vingt-mille monnaies romaines en or feront bien l’affaire. »
Bacchus gazouille avec un sourire. Le Cheik se lève et glapit :
« Tope là ! »
Un garde apporte un grand coffre très lourd qu’il pose aux pieds de Bacchus. Bacchus soulève le couvercle et contemple sa fortune nouvelle. Le Cheik se tourne vers ses gardes :
« Mettez ces cons en cage et dans la charrette, nous partons immédiatement. »

Les filles sont traînées rudement au dehors vers leur destin tandis que le Cheik se dirige vers la sortie et, se tournant une fois encore vers le marchand d’esclave resté assis ; il lui ordonne :
« Pour tout autre trésor de ce genre que tu pourrais trouver, je suis le premier que tu contactes ! »
Bacchus lève les yeux.
« Bien entendu, mon Seigneur. Oh, vous remarquerez qu’il n’y a de trace de fouet sur aucune des deux. Je vous ai laissé le plaisir de les entraîner à votre guise, mon Seigneur. Amusez-vous bien ! »
Le Cheik sourit en sortant.

***

La housse en tissu est arrachée de la cage, ce qui permet aux blondes nues et attachées qui sont à l’intérieur de voir où elles ont finalement échoué. Elles regardent alentours avec de grands yeux et la peur au ventre grandit en elle à mesure qu’elles réalisent ce qu’est leur environnement. La cage est posée sur le sol, au milieu d’un vaste donjon. Des rayons de la lumière du jour y parviennent au travers d’un puits de lumière dont l’accès est interdit par d’épais barreaux, illuminant l’éventail des étagères et des dispositifs de torture disposés contre les murs.
Les deux filles luttent désespérément mais en vain, leurs bras écartés enchaînés aux coins hauts opposés de la cage, elles sont assises face à face, leurs culs nus sur l’acier froid de la grille, les jambes écartées et attachées au-dessus les unes des autres, leurs chattes à la blonde fourrure ouvertes de force, dévoilant toute leur gloire rose.
Les gardes sortent en claquant la lourde porte de bois et les filles se mettent à pleurer, toujours étouffées par les cruels bâillons de cuir. Le temps passe et les regards des filles se croisent lorsque leurs yeux s’ajustent à la lumière, la terreur est totale dans chacun d’eux qui découvrent le sort de l’autre. Les larmes se mettent à couler sur les joues lisses qui rougissent de colère lorsqu’elles imaginent ce que ce hideux personnage va faire d’elles.
La plus âgée des filles gémit de douleur en se tordant une fois de plus dans ses chaînes, toujours aussi impitoyables. Elle essaie de parler d’une bouche baveuse ; « Je suis désolée » franchit la balle de cuir dur qui lui emplit la bouche, mais ne sort que sous la forme de grognements et de gémissements tandis que la bave goutte sur ses nichons blancs et doux qui gigotent bien haut à chaque mouvement qu’elle fait.
Sa jeune sœur sanglote amèrement, la terreur d’être enlevée et vendue, l’humiliation d’être exposée nue devant des hommes bizarres et l’impuissance provenant de ce qu’elle est liée nue dans cette cage cruelle, tout cela ressort dans un flot de larmes. Voir sa sœur aînée contrainte de la même manière qu’elle rend les choses pires encore, elle sait que quoi qu’il arrive à sa sœur, cela lui arrivera également. Et probablement pendant qu’elle sera obligée de regarder !
Des pas s’approchent et elles sont prises de panique en voyant le Cheik qui apparaît sur le seuil sombre, vêtu d’une robe noire toute ouverte sur le devant, exposant ainsi sa panse arrondie et son pénis dur comme du roc.
Les filles ont un mouvement de dégout lorsqu’il appuie sa bite à travers les barreaux de la cage à quelques centimètres de la plus âgée des deux sœurs. Il présente un énorme godemiché recouvert de cuir, avec de petits picots de métal tout autour, emmanché sur un bâton sculpté. Les filles gémissent plus fort, la plus jeunes écarquille les yeux en voyant l’immense bite recouverte de cuir.
« A présent, nous allons faire un cours sur le nouveau sens de votre vie, mes jolies et jeunes esclaves. A partir de maintenant, vous êtes mes jouets personnels, destinés à faire ce qui me plaît, et vous obéirez à chacun de mes désirs. »... LIRE LA SUITE

La suite de ce récit traduit de l’anglais par Hénic et illustré de dessin de l’auteur,est disponible pour les abonnés de RdF




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