L’enfer de Linda

lundi 6 janvier 2014
par  Marsajean
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Préambule

C’est la troisième fois que mon cher et tendre part cette année et je commence à en avoir marre de passer des mois seule dans cette foutue baraque où je n’ai rien à faire que de me laisser vivre. J’ai bien l’intention de ne pas me laisser mourir d’ennui et j’ai demandé à Jacques, notre chauffeur, de me conduire dans une boîte à la mode.
Pendant trois semaines tout s’est bien passé mais je continuais à trouver le temps long et je finis par demander à Jacques de me trouver un endroit un peu plus animé pour passer mes soirées.

—  Que voulez-vous comme ambiance, me demanda-t-il, un peu grincheux.

—  Une ambiance un peu plus sexe me conviendrait parfaitement, lui répondis-je en souriant devant son air pincé.

—  Je peux vous trouver ça mais je ne sais pas si cela plaira à monsieur.

—  Si vous ne lui dites pas, il ne le saura pas. Vous croyez peut-être que mon cher et tendre époux reste sagement dans sa chambre d’hôtel le soir ? On voit bien que vous ne le connaissez pas très bien. Je suis sûre qu’il est parti avec sa secrétaire et qu’ils se donnent du bon temps alors que moi je meurs d’ennui.

—  Comme vous voudrez, madame, je vais essayer de vous trouver ce que vous voulez.

Il lui fallut quelques jours avant qu’il vienne me dire que si je le voulais toujours il avait trouvé un endroit qui devrait me plaire.

—  Bien, nous y allons ce soir.

—  Bien madame.

A vingt heures il se présenta avec la voiture et, après m’avoir fait monter, se dirigea vers la périphérie de la ville. Quand on fut arrivé, il se retourna et me dit.

—  Il faut que vous sachiez que cet endroit est un club où vous ne pouvez entrer seule. Si cela ne vous dérange pas, je vais entrer avec vous.

—  A la condition que vous me laissiez une totale liberté, je suis d’accord que vous veniez avec moi.

—  Bien entendu, vous êtes libre de faire ce qu’il vous plaira.

Dix minutes plus tard nous entrions dans la boîte. Il faisait sombre et beaucoup moins bruyant que je ne m’y attendais.
Je passai une bonne partie de la nuit à danser avec quelques hommes qui me firent des propositions plus ou moins honnêtes que je refusai. Il devait être quatre heure du matin quand Jacques me raccompagna à la maison où je m’endormis comme un bébé.
Pendant quelques semaines jacques continua à m’emmener au même endroit mais je n’arrivais pas à me décider à sauter le pas et à coucher avec un homme de la boîte même si je commençais sérieusement à m’exciter et, un soir, il arriva ce qui devait arriver mais, avec Jacques.
Comme d’habitude, il m’avait déposée devant la porte d’entrée avant de mettre la voiture au garage mais, au lieu de rentrer directement à son appartement il repassa par la cuisine où je buvais un café avant de monter.
Je ne sais toujours pas ce qui me prit de m’avancer vers lui et de l’embrasser à pleine bouche et lui mettant la main à la braguette.
Ce n’est que le lendemain matin en le voyant couché dans le lit à mes côtés que je compris ce que j’avais fait. On continua à sortir le soir mais, maintenant, c’est avec Jacques je dansais et en rentrant je passais la nuit avec lui, soit dans sa chambre soit dans la mienne.
Puis, mon mari rentra de son voyage et la vie reprit son cours normal jusqu’à son prochain voyage. Il ne me fallut pas attendre longtemps, puisque quelques semaines après son retour il m’annonça qu’il devait repartir pour trois mois aux USA.
A peine avait-il décollé que, au lieu de rentrer à la maison, je priai Jacques de m’emmener à la boîte. D’abord il refusa sous prétexte que la boîte n’était pas encore ouverte. Puis, il finit par me dire que je ne pouvais pas y aller pendant l’après-midi parce que, cette partie de la journée était réservée à certaines personnes qui y venait pour assouvir leurs besoins de jouer et de jouir.
Il m’expliqua que, chaque après-midi, cinq ou six joueurs se réunissaient dans l’arrière salle de la boîte pour participer à un poker un peu spécial. Il n’y avait pas d’argent en jeu mais chaque joueur était accompagné d’une femme qui servait d’enjeu. Le perdant devait laisser sa compagne pour une durée déterminée par les enjeux et pour un traitement qui pouvait aller du simple « Faire la pute pour la boîte » à « être fouettée en public chaque soir durant le temps de sa mise à disposition ».

Naturellement cela me fit réfléchir et je finis par admettre d’attendre le soir pour me rendre à la boîte. Le soir, je demandai à Jacques de me montrer les « perdantes ». Il me fit faire le tour des différentes pièces et je découvris l’envers du décor.

Dans une pièce, une jeune femme était enchaînée par un collier à un lit. Elle avait en outre ses bras attachés le long du corps à une ceinture et ses jambes étaient maintenues ouvertes par une barre d’écartement. Les hommes pouvaient donc se servir de la belle comme ils l’entendaient sans que la malheureuse puisse se défendre.

Dans une autre pièce, une autre femme était attachée de la même manière mais en plus un martinet traînait sur la table et de longues balafres lui couvraient le corps.
Jacques me fit visiter une dizaine de pièces où se trouvaient des jeunes femmes misent à la disposition des hommes et des femmes membre du club.
Plusieurs fois je demandai, dans les jours qui suivirent, à Jacques de me montrer les salles où se trouvaient les enjeux des parties de poker. Et chaque nuit, je jouissais comme une folle en m’imaginant à la place des malheureuses jeunes femmes.
Trois semaines après le départ de mon cher et tendre, je n’y tins plus et j’eus une longue conversation avec mon amant.

— Je voudrais que tu m’emmènes à une partie de poker.

Il me regarda fixement avant de me répondre.

— Tu es complètement folle.

— Je sais que c’est une folie mais j’en ai vraiment envie.

— Il faut que tu saches que si je me présente avec toi, ils vont tout faire pour me faire perdre. A la pensée qu’une bourgeoise BCBG, va faire partie de leur cheptel, ils vont flipper à mort et vont se liguer pour t’avoir.

— Et si la bourgeoise en a envie ?

— Tu ne sais pas ce qu’ils vont te faire. Ils vont te faire mettre nue et tu devras aller chez chacun d’eux te faire tripoter, les seins, la chatte et le cul. Après, ils vont s’arranger pour faire gagner Mamadou parce qu’ils savent que c’est le pire d’entre eux et qu’ils pourront profiter de toi comme ils en auront envie chaque après-midi pendant quelques semaines.

Pendant une heure il me mit en garde en me racontant ce qui allait m’arriver mais je tins bon et deux jours plus tard il m’emmenait à une partie de poker. LIRE LA SUITE

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