3 - Pierre, Agnès et les autres

Chapitre 3 - Souvenirs .... -
jeudi 7 mai 2009
par  herpin
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Chapitre 3 – Souvenirs .. –

Reprenant son souffle, en même temps que ses esprits, et découvrant les traces laissées par sa ceinture, il réalisa à quel point il s’était montré sévère. Ressentant une sorte de remord, il se mit à étaler telle une pommade apaisante le fruit de son éjaculation mélangé aux sécrétions féminines, sur les zones où le fouet s’était particulièrement attardé, et notamment sur le tendre sexe dont les lèvres tuméfiées révélaient l’intensité du traitement dont il avait été l’objet. Revenant à elle, Agnès, les yeux éperdus de reconnaissance, ne put que murmurer :

— C’était génial … Tu as été magnifique.

— Bienvenue parmi les vivants…. Il n’est pas facile de te faire prendre ton pied, mais lorsque l’on y parvient, quel envol … j’ai cru que tu ne redescendrais jamais sur terre.

— C’est que vois-tu, je crois bien n’avoir jamais ressenti un tel orgasme. Tu as pu constater que j’ai besoin de certains stimulants bien particuliers pour parvenir à jouir. Et bien, il n’est pas facile de trouver des partenaires prêts à m’accompagner dans cette quête.

— Mais comment as-tu pris conscience de ces pulsions bien étranges chez une jeune fille ?

— Comme je te l’ai dit, j’ai perdu mes parents alors que j’avais tout juste dix-sept ans ; j’ai alors été confiée, avec ma jeune sœur Sandrine, à un tuteur, qui fut de plus chargé d’administrer l’héritage familial. Dans un premier temps tout se passa normalement ; dans le but, disait-il de créer une atmosphère familiale, cet homme nous demanda de le considérer comme un oncle ; je partageais une chambre avec ma cadette, et nous tentions de nous réconforter mutuellement afin d’oublier ce deuil cruel. Puis progressivement, ce « parent » se mit à s’intéresser à moi d’une étrange façon. Il ne cessait de me réprimander sous le prétexte le plus futile, terminant chacune de ses remontrances par la promesse d’une bonne fessée, que mon inconduite justifiait paraît-il pleinement. Cela dura quelque temps, jusqu’au jour où profitant d’une absence de ma sœur, il vint me trouver dans notre chambre et m’annonça tout de go que je m’étais soit disant conduite de façon éhontée, et que je méritais une punition. Pensant qu’il allait encore se lancer dans un sermon, je n’y prêtais pas attention, aussi je fus surprise lorsque je me sentis empoignée à bras le corps et couchée en travers de ses genoux, alors que lui-même avait pris place sur le lit. Avant d’avoir pu réagir, je me suis retrouvée, le bassin plaqué sur ses cuisses, un bras replié dans le dos et maintenue fermement afin de m’ôter toute possibilité de fuite. Aussitôt je sentis une avalanche de claques s’abattre sur mes fesses, m’embrasant littéralement la croupe malgré la protection de mon pantalon et de ma culotte. Le diable y allait réellement de bon cœur, et je peux t’assurer que je dégustais vraiment. Pourtant aux premières douleurs qui ne manquèrent pas de m’arracher des pleurs et des gémissements, succéda un curieux sentiment. Si la cuisson de mon arrière train était toujours bien présente et ne faisait même que s’amplifier, je sentais mon sexe s’humidifier et devenir le centre d’une onde de plaisir qui se propageait dans tout mon corps. Je pense que le contact, à travers mon pantalon, du pénis de mon oncle, qui ne cessait de croître et de durcir, y était pour beaucoup. Si je n’étais pas totalement ignorante des choses du sexe, j’étais néanmoins toujours vierge, et aucun des garçons que je fréquentais ne s’était permis le moindre attouchement. Toujours est-il que je me sentais follement excitée et que je n’eux même pas conscience de ce que la fessée avait pris fin, et que mon oncle s’étant dégagé, il m’avait allongée sur le lit et avait entrepris de m’ôter pantalon et culotte. Lorsque je m’aperçu de ma semi-nudité, il était trop tard ; s’étant débarrassé de ses vêtements mon tuteur s’était vautré sur moi, m’immobilisant sous son poids. Tout de suite, je sentis l’une de ses jambes s’insérer entre mes cuisses pour me contraindre à les écarter. Parvenu à ses fins, il dirigea son sexe raidi à l’extrême pour autant que j’ai pu en juger, sur ma fente, et sans le moindre préliminaire, il força l’entrée de mon sexe, déchirant mon hymen, et m’arrachant un hurlement de douleur. Sans se laisser attendrir pour autant ce sadique « parent » poursuivit son investissement et parvint à un degré de pénétration maximum, ses couilles venant heurter le sillon de mes fesses qu’il maintenait grand ouvert. Il se mit alors à me besogner à grands coups de reins sans se soucier de ce que je ressentais. A ma grande honte je dois dire qu’aux premières souffrances nées de ma défloraison, succéda une réelle excitation qui me fit bientôt accompagner de violentes ruades de ma croupe les coups de béliers dont il me défonçait. Percevant l’évolution de mes sentiments, mon oncle me traita de traînée, de vicieuse et de pute. Toutes ces insultes, jointes à l’humiliation du viol dont j’étais victime me firent parvenir à la jouissance en même temps que mon oncle qui éjacula en moi sans la moindre précaution. Ensuite il se dégagea, puis se revêtit, et quitta la pièce sans un mot. Je courus à la salle de bain pour me nettoyer des traces laissées par ce coït ignoble, et je constatais la persistance des rougeurs colorant mes fesses et le haut de mes cuisses, là où les coups avaient été portés avec le plus de vigueur, et je dois dire que j’en ressentis à nouveau un trouble étrange, me faisant comprendre que désormais pour atteindre au plaisir, il me faudrait tout d’abord ressentir douleurs et humiliation. Je suppose que les circonstances d’une défloraison marquent toujours une jeune fille. Pour moi, le plaisir était né d’une fessée et lui était désormais associé.

Le lendemain, mon oncle décréta que j’étais devenue trop âgée pour partager encore la chambre de ma sœur, et il me fit emménager dans une pièce indépendante. Il désirait en vérité m’avoir plus facilement à sa merci, et de fait, il prit l’habitude de venir me retrouver tous les soirs. Après des remontrances concernant mes prétendues incartades de la journée, il m’annonçait qu’il allait devoir me punir, et me demandait alors de me dévêtir et de venir me positionner sur ses genoux. Mon trouble était tellement intense au souvenir de ma première fessée, que je ne songeais même plus à me révolter. C’est résignée que je prenais place en position de pénitente. Il est vrai aussi que je prenais de plus en plus de plaisir à ces séances punitives, jusqu’à les attendre avec impatience. Il m’arrivait même de me rendre coupable de fautes réelles, afin de mieux attiser la colère de mon oncle et de provoquer ainsi une correction plus cruelle, d’où je tirais finalement une jouissance plus vive. Ces séances de flagellations manuelles se terminaient invariablement par des jeux sexuels variés. Conscient de l’évolution qui s’opérait en moi, il décida selon son expression « de corser nos jeux », et pour cela, il se munit d’un martinet et d’une fine baguette recourbée à une extrémité ; j’appris par la suite qu’il s’agissait d’une « cane », instrument de flagellation très prisé des britanniques. Si j’en ignorais alors l’usage, je le découvris rapidement à mes dépens. En effet, mon oncle ayant décidé de m’initier à la fellation, je ne pus me résoudre à avaler son membre dont l’odeur forte me souleva le cœur. C’est là que la cane intervint, et prouva son efficacité ; m’ayant fait coucher sur le dos, il me replia les jambes sur la poitrine, et entreprit de me cingler les cuisses. Très rapidement la douleur devint telle, que je le suppliais de mettre fin à ce supplice. Il vint alors se placer au-dessus de moi, et me présenta à nouveau son membre que je fus bien contrainte d’avaler cette fois. En fait cette intromission forcée se révéla moins pénible que je ne le craignais, et je pris même un certain plaisir à sentir la verge croître dans ma bouche ; sur les conseils qu’il me prodiguait, j’appris à la flatter de la langue, à en humecter le gland, à l’enserrer dans mes lèvres que je refermais avec gourmandise, avant de parcourir toute la longueur du mandrin. Je me livrais même avec tellement d’enthousiasme à ce plaisir nouveau pour moi, que je provoquais une jouissance qu’il jugea un peu trop prématurée, et pour laquelle il me punit à nouveau de quelques coups de badine, lesquels, ravivèrent la douleur provoquée par les assènements précédents, mais aussi, déclenchèrent en moi une jouissance qui ne demandait qu’à exploser, et ce à ma plus grande honte, tant je trouvais avilissant l’acte auquel je venais de me livrer. LIRE LA SUITE


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Commentaires

vendredi 8 mai 2009 à 12h13

Bravo Herpin, trèe beau récit dont je me réjouis de lire la suite.