Histoire d’histoire

mardi 15 octobre 2013
par  Sylvain de Perry
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Gilles, jeune garçon de 18ans, 1m85, 75kg, blond aux yeux verts, imberbe même au bas ventre, se tenait nu face à Jacques chez lequel il était venu à la demande de son amant afin « d’être dressé convenablement ».
Jacques avait vingt-cinq ans, mesurait 1m90 pour 80kg, brun, portait pour tout vêtement un pantalon de cuir noir, moulant comme une seconde peau.
— Ton amant t’a envoyé chez moi afin que je t’éduque. Pendant tout ton séjour tu devras m’appeler « Maître », sauf quand nous serons en dehors de la maison. Toute omission sera sanctionnée. Tu dormiras ici. Dans huit jours au plus, ta formation sera terminée. Ton amant, s’il le juge nécessaire, pourra te renvoyer ici pour un complément. Des questions ?
— Quelle seront les sanctions, Maître ?
Un sourire éclaira le visage de Jacques :
— Ca pourra aller de la simple fessée, toujours cul nu, au martinet, voire à la cravache si nécessaire.
Gilles soupira, ayant déjà compris ce qui l’attendait, dit :
— Bien, Maître !
— Alors commençons tout de suite !
Jacques s’approcha alors de lui en souriant, d’un mouvement vif lui encercla la taille d’un bras tout en lui saisissant les poignets et se mit à lui donner une fessée.
A la première claque, sonore mais supportable, Gilles se sentit vexé : plus de peur que de mal.
Il se garda de protester : sa fierté le lui interdisait.
Les claques suivantes lui parurent plus sévères. Par réflexe, à deux reprises, il lança sa jambe en arrière.
Gilles sentit ses fesses qui roulaient sous les claques. Même si la main de Jacques lui semblait fine avec ses longs doigts, la chaleur qu’elle faisait naître à chaque nouvelle claque se diffusait rapidement dans sa chair. Très vite, il comprit qu’il avait tort de considérer cette fessée comme une anodine punition.
Il se mit à éprouver une véritable douleur, sourde, envahissante, lancinante, persistante, grandissante.
Il ne voulait pas crier ni demander grâce. Ça devait cesser sous peu.
Plus la fessée se poursuivait, plus Gilles sentait ses fesses qui palpitaient. Ses jambes semblaient animées d’une vie autonome et dansaient derrière lui au rythme des claques qui résonnaient dans la grande pièce.
De plus en plus souvent, il haletait ou glapissait et cela ressemblait à des cris mal contenus.
Brusquement Gilles prit conscience que c’était l’érection de Jacques qui se pressait contre sa hanche entre le cuir et la peau. Il bandait ferme en le fessant. La bite paraissait longue et épaisse.
Jacques était calme, il fessait le cul nu avec enthousiasme, avec la régularité d’un métronome et l’endurance d’un sportif.
Il traitait Gilles comme un gamin et il le redevenait. Si ça durait encore, le garçon allait finir par craquer, par crier, par pleurer. Pour une fessée ridicule !
La douleur lui brûlait la chair, la souffrance était en train de consommer son amour propre.
— Aaaaaaaye !
Gilles se mordit la lèvre, mais c’était trop tard : il venait de se trahir.
Imperturbable, Jacques continuait à le fesser, visant une fesse, puis l’autre, et au milieu, sur les côtés, à la jonction cuisses fesses avec un léger mouvement ascendant, toujours avec une énergie constante, impitoyable, sans se soucier des cris et sanglots qui, maintenant, remplissaient les lieux :
— Pitié, Maître ! Asssssssez ! Plus la fessée, s’il vous plaît, Maître ! Ça me fait trop mal ! Arrêtez ! Nooooooon !
Des perles de sueur lui coulaient dans les yeux, se mêlaient aux larmes.
Un peu plus tard, Gilles hurlait sa douleur sans retenue, essayait de se libérer du carcan qui le tenait à la parfaite disposition de son fesseur.
Enfin, la correction s’arrêta.
Gilles, sitôt lâché, se massa les fesses pour en atténuer la brûlure, alors que Jacques expliquait :
— Ce n’était qu’une petite fessée afin que tu connaisses mieux mes mains, (Il agita la droite) surtout celle-ci, celle qui te fessera chaque matin à ton réveil.
Qu’en penses-tu ?
— C’est horrible, Maître ! Jamais je n’ai eu aussi mal.
— Ce n’est qu’un avant-goût de ce qui t’attend ici. J’ai aussi des raquettes, un paddle, divers martinets et cravaches. Mais tu les connaîtras bientôt… Va te laver, puis reviens ici, nous allons déjeuner dehors, mais avant de sortir je vais te mettre un plug, si besoin vide tes intestins car il y restera jusqu’après dîner. Ça va élargir ton anus que ton amant trouve un peu trop serré.
— Bien, Maître !
Dix minutes plus tard, Gilles revenait dans le séjour.
Ce qu’il vit sur la table lui fit un peu peur : le plug était recouvert de cuir noir luisant de gel gras, faisait une vingtaine de centimètres avec un gland large suivi par une colonne conique moins épaisse puis une base large qui se terminait par un goulot d’étranglement et une petite plaque terminale.
Jacques lui désigna le gros pouf de cuir rouge qu’il avait tiré au milieu de la grande pièce, commanda :
— A plat ventre, cuisses largement ouvertes.
Quand Gilles eut pris la position, son Maître s’agenouilla à ses côtés, attrapa le tube de gel, en prit une grosse noisette sur son doigt ganté de latex, étala le tout sur le trou du cul bien présenté, faisant même pénétré son doigt dans le conduit rectal. Alors que Jacques reposait le gel et s’emparait du plug, le jeune homme dit d’une toute petite voix :
— Faîtes doucement, s’il vous plaît, Maître !
Le Maître claqua le cul offert, lâcha :
— Sois sans crainte, c’est assez souple pour pénétrer, même si ça te fait un peu mal au début ; après tu t’habitueras.
Gilles sentit le cône qui se posait sur son orifice anal bien ouvert par la position prise. La main de son Maître se posa sur ses reins, s’y appuya pour l’obliger à se cambrer d’avantage et le plug commença à pénétrer.
Tout d’abord il ne passa absolument rien, puis avec la force de poussée ajoutée au gras, ça entra en écartant l’anus.
Malgré sa bonne volonté, Gilles se crispa et du coup resserra ses fronces anales.
Jacques lâcha les reins, claqua deux fois chaque fesse :
— Décontracte-toi, te serrer comme ça ne sert à rien !
Gilles capitula et le plug, tout en écartant largement son trou du cul, se força un passage dans le puits des reins. Il mordit le pouf tout en crispant ses doigts sur le cuir.
Le gland s’installa et les chairs se refermèrent derrière comme pour l’emprisonner complètement.
Jacques offrit un répit à son esclave, caressa le cul torturé, puis commenta tout en agitant doucement le gland en tous sens :
— Tu le sens bien, non ? Il prend ta mesure… Maintenant, je continue…
La main revint sur les reins alors que l’autre reprenait la lente poussée.
Gilles gémit :
— J’ai mal, Maître ! C’est trop gros ! Arrêtez, s’il vous plaît, ça n’ira pas plus loin !
Sans cesser d’appuyer sur la plaque terminale, Jacques rétorqua :
— Sois patient, c’est bientôt fini. Prend ton mal en patience !
Effectivement, il parvint jusqu’au sommet du cône terminal, marqua un nouveau temps d’arrêt pour laisser Gilles respirer, revint un peu en arrière, appuya sur les reins pour occuper sa victime et força d’un mouvement sec qui fit pénétrer le cône d’un seul coup et le trou du cul se referma sur le goulot terminal, emprisonnant totalement le plug.
Gilles poussa un cri, se tordit malgré la main qui le clouait sur le pouf.
Jacques claqua le cul, dit :
— Relève toi, marche un peu pour t’habituer à sa présence, puis je te donnerai une culotte de cuir à la place de ton string, ensuite on sort.
Gilles, en ahanant, se mit sur pied, resta un peu penché vers l’avant gêné par le plug qui l’emplissait, puis se mit en mouvement. D’abord à petits pas malaisés, puis réussit à avancer.
Jacques lui fit faire trois fois le tour de la pièce, claquant le cul en marchant derrière lui, le laissa pour attraper dans un tiroir le short de cuir noir.
Gilles l’enfila avec difficulté, car il collait littéralement à sa peau.
Son Maître se rapprocha de lui, commanda :
— Ecarte tes jambes, je vais t’aider : il faut bien le faire pénétrer entre tes fesses, ainsi il va bien maintenir le plug en place.
D’une main il tira la ceinture vers le haut, de l’autre, fit pénétrer le cuir dans la raie, séparant les deux globes ronds, puis se recula.
— Parfait. A la pause repas, je te refesserai sur le cuir afin que tes fesses conservent bien une chaleur permanente.
Effectivement, en achevant de se vêtir, Gilles percevait une chaleur qu’il n’avait pas ressentie après la fessée. LIRE LA SUITE

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