Femmes d’avenir

lundi 7 octobre 2013
par  Sylvain de Perry
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Je m’appelle Sophie, ai 19ans, mesure un mètre soixante-huit, suis blonde, cheveux coupés courts, yeux bleus, nez droit, bouche sensuelle, cou peut-être un peu grand. Mes seins sont petits, avec une aréole claire, mes fesses sont pommées. A ce sujet, plusieurs amantes m’ont dit : « tu as un derrière fait pour être fessé ». Jusqu’à hier, je n’avais jamais été tenté par ça. Ni aucune autre forme d’autorité quelle qu’elle soit d’ailleurs. Oui, mais…
Nous étions au mois de juillet, je le passais en Italie, à Pesaro, agréable cité balnéaire, ambiance familiale. Car dans cette ville il n’y a aucune discothèque pour danser. Il faut donc aller à Riccione, vingt-quatre kilomètres au nord.
Par internet, j’avais trouvé une boîte réservée exclusivement aux femmes, où l’on pouvait dîner. Je quittais l’appartement que je louais pour un mois, et au volant de ma Fiat de location, parvenais à destination trente minutes plus tard.
Le décor était sobre, éclairage discret, soigneusement réparti.
Une serveuse, jolie brune souriante, s’approcha de moi, dit :
— Vous êtes seule il me semble…
— Oui.
— Désirez-vous dîner ? Et peut-être faire une rencontre ?
Je souris, approuvais :
— Vous avez gagné. Les deux.
Sans gêne, en m’accompagnant à une table préparée pour deux couverts, elle me questionna :
— Quel âge votre… rencontre ?
— Trente ans maximum.
Elle recula la chaise afin que je m’asseye, proposa :
— Je connais quelqu’un. Elle vous apportera la carte.
La serveuse s’éloigna vers le bar.
A peine cinq minutes plus tard, une femme se matérialisa devant moi, grande, cheveux châtain clair, séduisante, se présenta :
— Claudia. Puis-je m’asseoir ?
Je levais les yeux, rencontrait un regard direct et franc d’une paire d’yeux marrons, disais :
— Je vous en prie.
Claudia paraissait sévère, un peu raide même.
Elle me tendit la carte, aussitôt je m’y plongeais pour masquer mon trouble et éviter de la regarder trop attentivement.
Comme j’avais envie de poissons, portais mon choix sur les antipasti di pesce, tagliatelle pesce, ce qui suffisait pour garder la ligne.
Sur son invitation, je lui parlais de moi, expliquais qu’étudiais pour passer une agrégation de français. Tout cela en italien que parlais couramment.
A ma grande surprise, elle me répondit en français, précisa :
- Suis professeur de français.
Puis nous parlâmes de nos gouts sexuels, après les antipasti et un ou deux verres de vin blanc local.
Me fixant droit dans les yeux, elle me dit :
— Je suis très directive, voire autoritaire. J’aime par-dessus tout punir : fessée, martinet. Qu’en penses-tu ? Cela te plairait-il ?
Je rougis jusqu’à la racine des cheveux, balbutiais :
— Je…. Je ne sais pas. N’ai jamais essayé.
Claudia posa sa main sur la mienne, la caressa gentiment, dit :
— Pourquoi ne pas faire un essai ? Ce soir après ce délicieux repas.
Elle continua de caresser ma main.
Je lui rendis sa caresse, répondis :
— Tu as raison, un essai n’engage à rien.
L’arrivée de la serveuse avec les pâtes, interrompit notre dialogue.
Tout en dégustant les excellentes tagliatelles, nous continuâmes de parler plus intimement.
Quand nous eûmes terminées, la serveuse revint vers nous.
Je constatais que le restaurant s’était peu à peu rempli, alors que le bruit des conversations était malgré tout discret.
— Désirez-vous un poisson grillé ou les desserts ?
Elle se pencha vers moi, me susurra discrètement à l’oreille :
— Claudia te plaît ?
Un peu embarrassée, j’avouai :
— Oui. La connaissez-vous… Euh !... Intimement ?
Elle éclata de rire :
— Bien sûr !
Fixant Claudia, elle précisa en se reculant :
— Je lui demandais si tu lui plaisais.
— Et alors ? Quoique… Tu sais ce que ton indiscrétion pourrait te valoir ?
La serveuse éclata de rire :
— Oui, tu lui plais. Quant à la seconde question : oui, une fessée. C’est… (À moi) Comment t’appelles-tu ?
— Sophie.
— Et bien, c’est toi qui prendras cette fessée à ma place. Moi, c’est Flavia.
Je rougis à nouveau, mais Claudia me tira d’embarras :
— Prenons-nous poisson ou dessert ?
— Ai envie du poisson, mais ça sera un dessert. A moins que Claudia en ait envie, on peut en partager un, sinon un tiramisù.
Claudia me caressa la main, approuva :
— Un dessert, crème brûlée avec fruits de la forêt.
Flavia s’éloignant, Claudia reporta son regard sur moi et reprit sa caresse manuelle, expliqua :
— Elle a raison, a trouvé le motif de fessée : à sa place, pour son effronterie.
Et elle rit.

Nous avions décidé d’aller chez elle. Claudia aussi habitait Pesaro, mais à l’extérieur de la ville de naissance de Rossini, à Muraglia.
Je la suivis en voiture.
Elle s’arrêta devant un pavillon, m’invita à y entrer.
Le hall était grand, sobrement meublé. Claudia dit :
— Te fais faire le tour du propriétaire, comme ça tu sauras te repérer si besoin.
Elle avait deux chambres, une salle à manger, un salon, deux salles de bains dont une dans sa chambre. Tout cela de plein pied.
Quand nous fûmes revenues dans le hall, elle me prit le visage entre ses mains aux longs doigts déliés, posa sa bouche sur la mienne et nous échangeâmes notre premier baiser.
Sa langue prenait littéralement possession de ma bouche.
Cela dura une éternité qui me parut très courte.
Malgré tout j’avais un peu peur, peu habituée à être prise en main aussi directement.
Mais… Parfois il faut se jeter à l’eau.
— As-tu soif ?
— Pas pour l’instant, merci.
Sans un mot, Claudia me prit la main et me conduisit à sa chambre.
— Déshabille-toi, ma belle !
Je me dépouillais de mes chaussures, chemisier et pantalon, slip que je déposais sur un des deux grands fauteuils.
Plus grande que moi d’une dizaine de centimètres, elle avait des seins plus gros, des fesses altières, musclées.
Claudia revint vers moi et je constatais qu’elle avait rasé sa toison pubienne. D’ailleurs elle porta une main sur la mienne, peu fournie de poils blonds, l’autre sur mon cou, pour m’embrasser de nouveau tout en m’attirant vers le grand et large lit où nous chûmes.
Ses mains, sans cesser de m’embrasser parcoururent mon corps. J’en fis autant, la caressant tout en douceur.
Claudia me fit mettre sur le dos, puis s’allongeant sur moi, sa bouche descendit vers mes seins. Elle prit l’aréole de son sein droit entre ses lèvres, la picora, la mordilla alors que de deux doigts de sa main gauche, elle caressa, pinça plus ou moins fortement l’aréole du sein gauche.
J’avais mis mes bras en croix sur le lit, et, parfois, lorsque ses caresses se faisaient douloureuses, je griffais les draps.
Puis main et bouche abandonnèrent mes seins, la tête continua sa descente, la bouche embrassa rapidement mon nombril, avant de poursuivre vers mon bas ventre.
J’écartais largement les cuisses.
Claudia posa ses mains près des lèvres de mon sexe, les étira, ses lèvres se posèrent sur mon clitoris déjà saillant, l’agacèrent avant de le mordiller comme les seins : parfois doucement, parfois plus fortement, m’arrachant outre des soupirs, quelques petits cris.
Elle dit :
— Si tu cries pour ça, qu’est-ce que ce sera quand je te fesserais. Tiens, met-toi sur le ventre.
Je protestais :
— Pas déjà !... Pas maintenant la fessée, non !...
Néanmoins je me mis sur le ventre.
La claque qui percuta ma fesse droite me fit faire un petit sursaut, suivi par une deuxième sur la gauche.
— Qui t’a parlé de fessée ? Ne sois pas si impatiente, ça va venir.
Ses deux mains écartèrent mes lombes, offrant à ses yeux mon orifice anal peureusement serré au fond de leur vallée.
Sa bouche s’y posa et la langue se vrilla en moi pour me pénétrer.
Cette caresse m’excitait.
Du coup je me détendais et acceptais cette intrusion.
Puis Claudia quitta les lieux, présenta son majeur tendu devant ma bouche :
— Lèche-le soigneusement, je trouve ton trou du cul bien étroit.
Je rougis en ouvrant la bouche pour humecter le doigt de salive abondante, puis, d’une toute petite voix, lui dit :
— Je n’ai jamais été pénétré par là.
— J’y remédierai…
Elle s’allongea à mes côtés, sur le dos :
— … Viens sur moi, garde tes cuisses ouvertes.
Quand je fus en place, Claudia m’embrassa à pleine bouche, alors que je sentais son majeur bien lubrifié se poser sur mon anus, puis s’enfoncer en moi, pénétrer doucement dans mon conduit anal.
Je criais dans sa bouche :
— Ouuuuuuuaaaahhhh !
Elle continua à m’embrasser tout en faisant aller son majeur en tous sens dans mon derrière.
Puis, enfin, elle l’en extrayait, lâchait ma bouche où elle présentait à nouveau le doigt, me commandait :
— Nettoie-le avec ta bouche !
J’eus un haut-le-cœur, refusais :
— Pas ça ! Non ! Tu ne peux pas m’imposer ça !
— Comme tu veux…
Claudia se dégagea de mon corps, s’assit dos calé par l’oreiller, me tira par un bras. Je me retrouvais à plat ventre sur ses cuisses, ceinturée par son bras gauche. Elle poursuivait :
— … Une bonne fessée va te faire changer d’idée.
La première claque choit aussitôt sur ma fesse gauche, la suivante, sur la droite. Je décide de garder la bouche close, car j’ai entendu dire que les cris de la personne fessée excitaient la fesseuse.
Claudia, tranquillement, sans hâte, continue de claquer ma croupe de sa main aux doigts déliés.
Comme je reste coite malgré la douleur qui m’envahit petit à petit, sans varier les assénements des claques, elle dit :
— Voilà un cul qui va prendre une belle couleur. Ça fera une belle pomme rouge. Sens comme ma main se plaît à fesser ta croupe. Un régal pour elle. Et pour toi vu que tu ne dis rien.
Nous y voilà. « Rêve, Claudia, j’ai mal, mais ne dirai rien car tu vas te lasser » pensais-je.
Que nenni !
Elle semble ne pas se fatiguer sa main, pourtant la douleur et la chaleur augmentent de plus en plus.
Sous les claques qui tombent toujours, je ne peux plus résister. Adieu le silence ! Ça fuse soudain de ma gorge :
— Aaaaaaah !...
Claudia, sans varier la cadence, constate :
—Et bien voilà ! Tu commences à réagir. Peut-être étais-je trop douce vu que tu n’avais jamais été fessée.
La claque suivante me fait plus mal. Les successives également. Si bien que je n’y tiens plus :
— Nooooooon !... Asssssssez !... Plus la fessée !... Ça me fait trop maaaaaaal !... Arrrrrrrrête !... Claudia !... Pitiiiiiiié !...
— Ah ! Quand même ! Alors ton beau petit cul ne préfère-t-il pas goûter de mon doigt plutôt que mes claques !
— Si… Si… Claudia, j’accepte ton doigt…
— En es-tu sûr ?
— Ouuuuuuui !... Aaaaaaaye !... Oui, mais plus la fessée !... J’ai trop maaaaaaal !... Claudia…
Deux fortes claques percutent la base de mon derrière cambré, puis la main caresse tendrement mes lombes.
Puis, Claudia me lâche et s’allonge à mes côtés, pose sa bouche sur la mienne et m’embrasse tendrement.
Après un court, très court, instant d’hésitation, je réponds à son baiser. Elle en profite pour faire basculer mon corps sur le sien, rompt le baiser, dit :
— Que penses-tu de cette fessée, chérie ?
— Ça fait mal !... Ça me chauffe terriblement !
Alors Claudia passe une main entre nos ventres, se dirige jusqu’à mon sexe, en écarte les lèvres et introduit un doigt en moi, me caresse et constate :
— Certes, mais cette fessée t’a fait mouiller, ta chatte est toute trempée.
Je la regarde droit dans les yeux et avoue :
— Oui !... Pas au début, mais après ça m’a excité. Surtout quand tu n’as pas cédée quand te demandais d’arrêter.
Claudia retire son doigt, continue à caresser mon sexe, explique :
— Et le fait que tu ne pouvais pas partir. Enfin à moins d’agir en force. Là, bien sûr, je t’aurais laissé faire. On rejouera. Mais maintenant, ai très envie de te mettre un doigt dans le derrière… Pas besoin de le mouiller, ta cyprine l’a fait à ta place.
Son majeur se pose sur mon anus et je le sens qui me pénètre doucement. Malgré ma bonne volonté, je me crispe.... LIRE LA SUITE...

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