L’orpheline

lundi 9 septembre 2013
par  Fatum
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.... Affamées, Vanessa et Christel avalèrent leur maigre repas, puis furent menottées et emmenées dans la grande salle où Claudine avait préparé les instruments de leurs futurs supplices. Les deux filles furent amenées devant un étrange appareil. Il était constitué d’une banquette en bois avec des anneaux à chaque extrémité. Rien de nouveau. Mais à côté se trouvait un étrange tableau rempli de boutons et de fils électriques. Justine dit sur le ton de la plaisanterie
« Il y avait la chaise électrique, nous avons fait mieux et créé la planche électrique. Vous serez les premières à le découvrir. A l’aînée l’honneur ! et elle désigna Vanessa.
Elles allèrent attacher Christel à un anneau du mur, et revinrent vers leur proie désignée qui tremblait de tous ses membres
« Ne crains rien, nous n’allons pas t’exécuter. Mais tu vas nous jouer une symphonie de cris et de gémissements, tant de plaisir que de mal. »
Elles se saisirent de Vanessa et la couchèrent sur la banquette, bras attachés derrière la tête. On plaça sous son bassin deux gros coussins afin de rendre accessible ses deux ouvertures. Puis ses jambes furent écartées et attachées, tout en restant sur la banquette qui était très large. Vanessa vit alors Claudine se saisir de deux fils électriques qu’elle relia à ses deux tétons. De la même manière, elle plaça des pinces au clitoris et aux deux grandes lèvres de la prisonnière, et enfila dans son vagin un gode relié lui aussi au clavier. Un deuxième gode, plus petit, fut plongé dans son anus. Et pour terminer, une pince fut placée à chacun de ses gros orteils.
« Te voilà prête à nous donner ton concert. Mais auparavant, il nous faut nous occuper de ta copine ! »
Les deux bourrelles allèrent détacher Christel et l’amenèrent devant un autre engin, placé à côté de la fameuse banquette. Il s’agissait d’un genre de tréteau dont la poutre du haut était triangulaire. Son arête du haut, la plus aigüe, était recouverte d’un métal de cuivre. Cette poutre se trouvait à un mètre cinquante du sol. Christel fut installée à cheval sur cette poutre, dont l’arête se trouva placée entre les grosses lèvres de son sexe. Les bras de la victime furent attachés à un gros câble descendant du plafond. Pour terminer, à chacun de ses pieds fut attaché un poids de cinq kilos, qui tirant le corps vers le bas, faisait s’appliquer le périnée de la victime sur l’arête, sans possibilité aucune de s’en dégager. La partie métallique de l’arête fut pour terminer raccordée au tableau de bord. Justine appela alors le maître au moyen d’un téléphone interne. Cinq minutes plus tard, il était là. La fête pouvait commencer.
Justine mit le mécanisme en route. Elle pouvait choisir où elle enverrait de petites secousses électriques, à un seul point, ou à plusieurs points en même temps. Un autre bouton permettait de régler l’intensité des secousses. Travaillant au début avec une puissance modérée, elle laissa Vanessa s’accoutumer à l’appareil : les décharges étant modérées, la jeune femme n’en souffrait pas trop. Bien au contraire, l’excitation de plusieurs de ses points sensibles la troublait profondément. Christel, elle, sur son chevalet était bien moins à l’aise. Sa posture la faisait terriblement souffrir, comprimant fortement son périnée. Et quand elle croyait avoir pu placer son corps pour souffrir moins, une secousse électrique la faisait bouger et la replongeait dans sa position première. De son côté, insensiblement, Claudine qui avait remplacé Justine, avait changé de rythme, de puissance et de cibles. Les décharges électriques, de plus en plus fortes, frappaient parfois en même temps les seins et le vagin de Vanessa, puis son anus et son clitoris. Jamais elle ne pouvait savoir où Claudine allait l’atteindre. Mais en contrepartie, elle mouilla très vite et connut plusieurs orgasmes. Le maître se réjouissait. Cet engin assurerait le succès de ses futures soirées. Une heure se passa, entrecoupée de très brèves pauses. Les bourrelles détachèrent Christel, en pleurs. L’épreuve avait été très douloureuse, et elle n’était pas au bout de ses peines. Elle remplaça Vanessa sur la planche électrique, une Vanessa qui pour sa part fut à son tour attachée sur le chevalet. L’heure suivante fut bien plus pénible pour les deux soumises. Vanessa résista très mal au supplice qui lui était infligé et plusieurs fois implora qu’on la délivre de l’engin qu’elle venait de découvrir. Christel, elle, déjà fatiguée sans doute par son passage sur le chevalet, résista très mal aux fantaisies de Claudine qui s’amusait à lui envoyer des décharges de plus en plus fortes. Toutes deux eurent droit à une pause pendant le repas des gardiennes, qui après les avoirs délivrées, les avaient ramenées dans leur cellule, voyant très bien que toutes deux étaient à bout de forces.
La pause fit du bien aux deux filles que les gardiennes, ayant réalisé leur état de fatigue, laissèrent se reposer durant deux heures. Quand elles revinrent les chercher, elles leur annoncèrent avant tout que le samedi soir, sur ordre du maître, elles seraient annelées aux seins et aux petites lèvres de leur sexe, ainsi qu’à leur clitoris. L’opération se passerait dans en fin de soirée, en présence de nombreux invités. Ensuite, pendant six jours, elles n’auraient à subir que des sévices limités à leur dos et à leurs fesses, les parties annelées devant être laissées au repos. Christel, qui n’avait jamais imaginé que cela put se produire, fondit en larmes, s’attirant les sarcasmes des deux gardiennes
« Tu devrais être heureuse du cadeau que te fait ton maître. Tu verras comme ton corps sera beau orné de ces anneaux. Bien sûr, tu souffriras au moment de la pose, mais crois-nous, le jeu en vaut la chandelle. »
Vanessa, elle, avait prévu le coup, et ne s’en offusqua pas. Elle sentait bien que porter ces anneaux signifierait une totale allégeance à sa maîtresse Nadine, et elle réalisa que ce sacrifice qu’on lui imposait faisait partie de l’évolution normale de son état de soumise.
L’après-midi fut très bref. Les deux prisonnières furent fouettées, puis attachées à des croix de Saint-André. Des pinces furent placées à leurs seins et des poids placés à ces pinces, étirant leur poitrine vers le bas. Elles y restèrent deux longues heures. Et quand les gardiennes les détachèrent et retirèrent les pinces, la violente douleur que provoquait le retour à ces endroits de la circulation sanguine les fit toutes deux hurler. Ramenées très tôt dans leur cellule, elles avalèrent leur repas du soir. Puis les gardiennes leur placèrent à chacune un gode dans l’anus et menottèrent leurs mains de manière à ce qu’elles ne puissent pas le retirer. Justine leur expliqua que jusqu’au vendredi soir, on travaillerait plus spécifiquement leur cul afin de rendre celui-ci plus accueillant aux visiteurs qui voudraient s’en servir au cours des deux soirées prévues pour le week-end.
Effectivement, le lendemain, une fois arrivées dans la grande salle, Vanessa et Christel se virent placées dans deux carcans. Justine leur inséra dans l’anus et le vagin un gode gonflable et quand il fut en place dilata pratiquement au maximum les deux ouvertures. On les laissa ainsi deux heures, et quand on les délivra des engins qui leur déchiraient presque le cul, ce fut pour les replacer sur une croix et leur imposer une nouvelle séance de pinces et de poids. Mais Claudine ne put s’empêcher de les faire s’allonger à tour de rôle sur la planche électrique et les travailler cette fois-ci pratiquement à la puissance maximale. Vanessa et Christel, même si de temps à autre elles connaissaient un orgasme, souffraient bien davantage que la veille. Mais une fois de plus, Claudine n’en tint aucun compte
« Il est temps que vous vous réalisiez que même la souffrance peut vous apporter du plaisir. Demain soir déjà, vous serez pour la première fois exposées en soirée. Nous allons donc terminer cette journée en travaillant à fond vos anus, qui seront certainement très utilisés au cours de cette soirée. »
Les deux prisonnières furent attachées têtes et mains dans un carcan, la partie inférieure de leur corps étant totalement exposée. Elle sentirent des doigts graisser longuement et savamment leur petite rosette. Puis, venant se placer devant elles, elles virent Justine et Claudine qui s’étaient mises nues. Chacune tenait en main une ceinture qui portait un phallus artificiel déjà imposant. Voyant la tête des deux filles, Justine se mit à rire
« Rassurez-vous, aujourd’hui nous n’utilisons pas le grand modèle. Celui-là, nous le réservons pour demain en début d’après-midi. »
Puis elle allèrent s’installer derrière les deux captives et lentement, sans se presser, mais aussi sans la moindre hésitation, elles les sodomisèrent. Mais elles prirent plaisir à faire durer la chose, sortant et pénétrant à nouveau des orifices qui bien graissés acceptaient sans la moindre difficulté ces mouvements de va-et-vient. Des gémissements de mal d’abord signalèrent que leur action était efficace. Puis, au bout d’un moment, les gémissements cessèrent et les mouvements de cul de Vanessa et Christel leur prouvèrent que les deux filles avaient fini par trouver le plaisir.
L’après-midi ne fut finalement pas trop pénible pour Vanessa et Christel. Visiblement, leurs bourrelles avaient reçu des ordres disant de les ménager pour les premières soirées au cours duquel elles seraient exposées. Très vite, elles furent ramenées dans leur cellule respective, elles reçurent très vite un repas assez copieux. Puis, elles furent placées sur une chaise garnie d’un gode dont elles furent libérées deux heures plus tard. On les fit alors se coucher, les mains menottées de façon à ne pas pouvoir se caresser. Mais elles eurent toutes deux une très mauvaise nuit, angoissées par ce qui était prévu pour elles. On vint les chercher très tard le lendemain, et on les fit prendre ensemble un petit déjeuner consistant....

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