Les contes de la résidence

Par Killercat
mardi 3 septembre 2013
par  Henic
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L’emploi du « chevalet » remonte à des siècles. Il a été utilisé pendant les guerres mais aussi pour le sexe. On peut définir son utilisation sexuelle comme « la lente torture sadique d’une femme magnifique pour le plaisir de son tortionnaire ».
Dans sa forme la plus simple et la plus cruelle, le chevalet se compose juste de deux planches de bois clouées ensemble au sommet du triangle isocèle qu’elles forment, avec une large base et un angle au sommet très ouvert. Une fois placée sur ce chevalet, la victime le chevauche avec tout le poids du corps qui repose sur ses parties les plus intimes, les plus tendres, les plus sensibles. Les jambes, largement écartées du fait du vertex, ne peuvent guère prendre à leur compte une part de la pression qui s’exerce sur ces parties intimes. Pour éviter que la victime ne perde l’équilibre, on accrochait parfois de lourds poids à ses chevilles.
La Résidence met à la disposition de ses clients – et par conséquent de leurs esclaves – une version modifiée de ce chevalet de torture ancestral. Au lieu des deux planches de bois traditionnelles formant un angle, on utilise maintenant une structure verticale, de telle façon que le vagin de la victime – généralement rasé – est plus visible et peut être mieux apprécié par les yeux sadiques de son Maître lorsqu’elle est dessus. Une autre modification intéressante et la hauteur de l’engin : l’esclave, qui a les deux chevilles attachées à une barre de bois, peut juste toucher le sol du bout de ses orteils.
Ainsi que l’on peut s’y attendre, l’esclave lutte pour éviter de faire reposer tout son poids sur la barre horizontale qui est entre ses cuisses. Cette lutte – dont la contemplation est délicieuse, vous pouvez en être sûr – fait travailler tous les muscles de ses jambes jusqu’à ce que la fatigue l’emporte et qu’elle accepte l’inévitable : elle laisse son poids tomber sur sa chatte !
C’est alors le bon moment pour lui parler et se délecter de ses réactions d’un grand nombre de manières variées et morbides. Souvent, le propriétaire de l’esclave essaie de l’humilier en utilisant un langage obscène et en décrivant en détail ce qu’il va lui faire, mais le contact physique à cette étape est habituellement simple et consiste à passer la main sur tout le corps et à sentir le doux contact de la peau, qui lui appartient à présent par le droit de l’acquéreur. La scène suivante peut servir d’exemple :
« Regarde-moi dans les yeux, esclave, ordonne Sr Velasco tout en faisant rouler doucement le téton gauche de Steffy entre son pouce et son index. »
Steffy est sa nouvelle esclave. Ses jambes et ses épaules souffrent de la torture lente et prolongée, et un sadique expérimenté comme Sr Velasco peut apprendre beaucoup en regardant la jeune fille dans les yeux.
Sans la quitter des yeux, il passe au téton droit, puis aux deux seins qu’il pelote des deux mains. Il respire plus vite, à présent. Il essaie de ne pas perdre le contrôle trop tôt, mais il halète et salive déjà. Ses mains descendent sur les flancs de la jeune fille, suivant les hanches, appréciant la légère ondulation du ventre, la courbe agréable des hanches, puis ses doigts finissent par profaner la partie la plus sensible de son corps. La jeune fille tente encore une fois de soulever son vagin de la barre de bois, mais il ouvre ses lèvres plus largement pour augmenter le contact. Puis il met sa main sous la barre horizontale en fait vibrer en la secouant par de petits mouvements rapides.
Steffy sent le contact direct sur son clitoris, elle gémit, sa tête tombe en avant et elle ferme les yeux…
« Regarde-moi, espèce de chienne ! »
Il tire ses longs cheveux et la gifle. Douleur et humiliation brûlent le visage et l’âme de cette jeune esclave.

Hier encore, elle était libre, étudiante à l’université de Berlin. Maintenant, ses yeux bleus s’emplissent de larmes lorsqu’elle réalise qu’elle est entre les mains de ce stupide psychopathe. Elle ne sait pas où tout cela finira, ni pourquoi ce sadique se sent si heureux lorsqu’il la torture si cruellement. Elle est une esclave novice.
Au bout de quelques interminables minutes, les muscles de ses mollets cèdent sous la tension physique, et les crampes s’en emparent. Elle utilise ses dernières forces pour soulever son vagin au-dessus du morceau de bois mais sans succès. Elle s’affaisse.
La peau délicate et sensible est repoussée vers l’os du bassin et la douleur est insupportable. Ses jambes épuisées et ses épaules douloureuses réagissent en la tirant vers le haut, mais seulement peu de temps. Elle se met à trembler et doit laisser son sexe reposer de nouveau sur le bois. Il lui faut du temps pour retrouver assez d’énergie pour se remonter vers le haut et dégager son vagin du contact avec le bois. Elle est maintenant couverte de sueur, mais c’est une bataille perdue : la gravité finit par l’emporter…
Le sadique Velasco – dans la vie, un maître-chanteur professionnel – se délecte des efforts pathétiques de sa nouvelle jeune esclave, de ses gémissements, de la voir frissonner et trembler, de sa nudité provocante et pleine de sueur, de ses yeux bleus suppliants et pleins de larmes, de la salive qui coule sur son menton par l’anneau élastique placé dans sa bouche, de sa bouche ouverte par contrainte, de ses mâchoires douloureuses…
L’esclave s’affaisse à nouveau. En haut… en bas… en haut… en bas.
Elle « chevauche » maintenant comme il convient le chevalet spécial de la Résidence, avec le rythme adéquat et l’élégance associée d’une cavalière née offrant son premier spectacle de torture sexuelle, son exquise nudité étant sadiquement attachée par des cordes, et avec l’humiliation d’entendre ses propres plaintes émises de manière inintelligible à travers le bâillon qui la réduit au rang d’animal.
Inspiré par ce spectacle sublime, Sr Velasco place une pince à linge avec un fort ressort et des mâchoires aiguës sur son téton droit. Elle va mordre sa peau, détourner son attention de son sexe et lui permettre d’acquérir le rythme et l’élégance que son propriétaire attend d’elle.
Ce n’est qu’alors que Velasco s’assoit confortablement et commence à jouir du spectacle. Il sort son membre et se masturbe lentement… imaginant à quel point son esclave sera soumise après cette torture sadique, quand il se décidera à la violer.
Mais ce traître de Velasco est un saint comparé à sa femme, Concha Cienfuegos, le splendide mannequin et la célèbre star de séries sud-américaines aussi soporifiques qu’interminables.
Imaginez la scène : un jour a passé et les deux femmes qui font partie de la vie satanique de Velasco sont ensemble. L’une est son épouse, nue et confortablement assise pour regarder, l’autre est sa nouvelle esclave, également nue, mais dans une position nettement moins confortable, sur le chevalet…
Concha s’est dirigée dans la matinée vers le lit de son mari et a trouvé la jeune fille dans une cage, attachée aux barreaux, écrasée par Velasco qui l’a violée toute la nuit.
« Allons, ma chère… Tu as couché avec mon mari toute la nuit et nous ne pouvons pas te laisser aller comme ça ! »
La jeune fille est si fatiguée qu’elle n’offre aucune résistance.
A présent, Steffy préfèrerait vraiment n’être jamais née, plus encore que lorsqu’elle s’éveilla pour découvrir Velasco qui lui expliquait qu’à partir de ce moment, elle allait être son esclave sexuelle. Plus qu’hier, où elle a passé toute la journée à chevaucher le chevalet. Plus que ce soir, lorsque son propriétaire sadique lui a cassé le cul tout en appuyant son visage contre l’oreiller.
Steffy est maintenant le jouet d’une femme…
« Combien de fois as-tu joui, chérie ? » LIRE LA SUITE

Ce récit, traduit de l’anglais par Henic- et illustré de dessins est disponible pour les abonnés de RdF



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