Maîtresse Cindy -2-

lundi 2 septembre 2013
par  Sylvain de Perry
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Après un agréable concert classique au théâtre des Champs Elysées, au cours duquel le chef Daniele Gatti avait dirigé l’Orchestre National de France dans des œuvres de Wagner avant de clore par un superbe Sacre du Printemps d’Igor Stravinsky, Maîtresse Cindy et moi allâmes souper dans un petit restaurant familial de la rue Marbeuf, où quelques musiciens de ma connaissance arrivèrent peu après.
Je leur offris l’apéritif.
Une heure plus tard, une fois dehors, Maîtresse Cindy passa son bras sous le mien, dit :
— Comme c’est notre deuxième rencontre, préfères-tu que nous finissions la soirée chez toi ou chez moi ?
Je m’arrêtais de marcher, la regardais :
— Si vous n’avez pas de matériel, c’est mieux chez vous ?
Elle posa son regard bleu et froid sur le mien, éclata d’un rire léger, précisa :
— Ne te souviens-tu pas que lorsque tu es passé me prendre en voiture, j’ai déposé une petite valise dans ton coffre de voiture ?
Ce fut à mon tour de sourire avant de répondre :
— C’est vrai, Maîtresse, mais je pensais que si vous dormiez chez moi vous aviez besoin d’un minimum d’affaires…
— Un petit sac eut suffi.
— Dans ce cas, allons la récupérer dans mon box, et nous monterons.
Un quart d’heure plus tard je lui ouvrais la porte de mon grand appartement qui occupait tout le dernier étage d’un immeuble de l’avenue Montaigne.
Je lui fis faire un rapide tour des lieux, l’abandonnait dans ma grande chambre afin qu’elle se prépare mais Maîtresse Cindy me retenait :
— Inutile de t’en aller, déshabille-toi, nous allons prendre une douche ensemble, j’ai noté qu’on avait largement la place. Nous passerons aux choses sérieuses après.
Une fois nus tous les deux, je la suivais dans la salle de bains attenante à ma chambre, pénétrais avec elle dans la cabine de douche, prévue pour quatre personnes, réglais la température de l’eau alors qu’elle disait :
— Tu vas me savonner partout, bien soigneusement avec douceur.
Je ne répondis pas occupé par le débit de l’eau et, d’un geste sec, elle ôta ma main du mélangeur en coupant l’eau, me cloua contre le mur du bras gauche alors que sa main droite commençait à me fesser sèchement, anarchiquement.
Maîtresse Cindy, sans cesser le débit des claques sur mon cul offert dans toute son amplitude :
— Trois jours sans me voir et tu as déjà oublié les bonnes manières, à savoir me répondre comme il faut.
Sous l’ardente avalanche, tu gémis, dis :
— Excusez-moi, Maîtresse. Oui, Maîtresse, je vais vous savonner bien soigneusement partout.
Sans arrêter la fessée, elle acquiesce :
— Je préfère. Rien de tel que quelques claques pour te rappeler à l’ordre.
Maîtresse Cindy met un terme à la correction méritée.
Avant que tu ne reprennes le réglage interrompu, elle te prend la tête entre ses deux mains, t’oblige à l’incliner vers elle, pose ses lèvres sur les tiennes et t’embrasse en caressant ta langue de la sienne, agile et autoritaire à la fois.
— Je te remercie de ton erreur qui m’a permis de claquer ton cul, car, je dois l’avouer, ça me manquait.
— A moi aussi, Maîtresse.
Quand l’eau est parfaite, tu prends l’éponge et savonne ta Maîtresse dans tous les coins et recoins de son corps parfait. C’est à la main savonneuse que tu t’occupes de ses petits seins à l’aréole déjà saillante avant de faire un traitement manuelle identique à son sexe, entre ses lèvres déjà bien humides, puis, l’ayant faite se tourner, tes doigts agiles offrent à son anneau rectale un traitement similaire.
Ensuite tu promènes le pommeau de la douche sur tout son corps, afin de bien la rincer, t’attardant là encore aux parties intimes.
Elle approuve :
— C’est parfait ! A moi maintenant de te laver.
Maîtresse Cindy s’empare de l’éponge, puis comme tu l’as fait avec elle, te lave partout et, à la main savonneuse, bien moussante, décalotte ta bite, s’y attarde, puis dit :
— Rince-toi, je m’occuperai de ton cul après.
Quand tu as achevé ta besogne, elle commande :
— Présente-moi ton cul, prend appui sur le mur, écarte les jambes, cambre-le bien !
Tu t’exécutes pendant que Maîtresse Cindy couvre sa main droite d’une épaisse couche de savon moussant, puis elle écarte tes lombes de sa main gauche, savonne ton entre-fesses copieusement, s’attardant sur ton trou du cul, remet du savon sur ses majeur, index et pouce.
Quand le majeur commence à pénétrer lentement dans ton conduit, la main gauche s’empare de ta bite pour la branler doucement, en la serrant bien.
Malgré toi, tu dis :
— C’est encore sensible, Maîtresse… Faîtes doucement, s’il vous plaît !
In petto, sa main gauche lâche ton sexe et claque par quatre fois ton cul rose :
- Je ne vais pas te torturer, idiot, mais je dois l’assouplir.
Maîtresse Cindy reprend ta queue en main alors qu’elle sort son majeur, y adjoint son index et, précautionneusement, les deux doigts forcent le puits de tes reins, y pénètrent lentement, bien aidé par le savon qui permet une entrée glissante, mais impossible à freiner ou arrêter.
— Aaaaaaaye !... Ça fait mal, Maîtresse !... Ouaaaaaaah !... Pas ça !... Nooooooon !...
Alors qu’ils sont en toi jusqu’à la paume, Maîtresse Cindy les écarte l’un de l’autre afin de distendre ton intérieur, comme pour le violer, le marquer de son empreinte possessive.
Puis elle les ressort ; sa main gauche quitte ta bite bandante, monte vers ton visage, te force à le baisser vers le sien. Sa bouche s’empare de la tienne en un baiser vorace, mais sans mordre.
Dans le même moment, son pouce pénètre d’un coup dans ton cul, y virevolte en tous sens, pour bien distendre ton anneau rectal et ton cri de douleur se perd dans le baiser qui vous unit.
Bouche et pouce quittent ton corps, la main droite s’empare du pommeau, la gauche règle le jet en débit plus serré, avant qu’elle en augmente la puissance, puis elle ouvre ton cul avant d’orienter le puissant jet vers ton orifice ouvert où l’eau s’engouffre pour bien nettoyer les lieux.
Peu après nous sortons de la cabine, chacun s’essuie.
Malgré ma taille tu as finis le premier, la rejoins, t’empares de sa serviette et achèves le séchage.
— Merci, chéri. Néanmoins…
Elle te fait te tourner, alloue cinq claques sèches à chacune de tes fesses, achève :
— Je tenais à te récompenser pour ce que tu as fait.
— Merci, Maîtresse.
Maîtresse Cindy te regarde l’air goguenard, devais penser que tu allais oublier. Pour achever son trouble naissant, tu prends sa main droite, embrasse sa paume, referme les doigts.
Tu vois bien qu’elle ne sait plus quelle attitude adopter. Ça ne dure qu’un court instant, les yeux bleus sont redevenus froids, mais tu sais qu’elle a apprécié ton geste.
Elle te le fait savoir illico, alors que vous regagner la chambre :
— Pour notre seconde rencontre…
Elle se dirige vers sa valise ouverte, y farfouille, puis se retourne sans que tu aies vu l’objet qu’elle tient caché dans son dos :
— … J’ai choisi de te faire goûter le martinet…
Maîtresse Cindy te présente un martinet au long manche avec trois simples lanières, pas très longues, mais large d’au moins cinq centimètres
— … Il est traité pour ne pas faire saigner le cul fouetté. Qu’en penses-tu ?
Comme tu restes muet de saisissement, elle s’approche de toi, sans quitter un seul instant ton regard, ajoute :
— Tu peux le toucher.
Elle te le donne, tu le prends, passes ta main sur les souples lanières, le lui rends :
— Vous n’allez pas me frapper trop fort, Maîtresse.
— Comme c’est la première fois, je veux que tu le dégustes. N’oublie pas que tu peux toujours prononcer ton mot code : « Sylvain », tu t’en souviens, nous en avions parlé avant notre première rencontre…
Tu avais complètement oublié. Si tu le dis, quoi que ta Maîtresse fasse, elle s’arrêtera illico.
— Oui, Maîtresse.
— Parfait. Si tu supportes bien ta correction, je t’autoriserai à me faire l’amour.
— Merci, Maîtresse.
Excellente idée. Mais avant… Le martinet. Lequel, avec ses seules trois lanières, te semble peu redoutable.
Comme si elle suivait tes pensées, Maîtresse Cindy précise :
— Trois lanières, cela te semble peu… Frappant. Ce sont des peaux de chèvres, souples, spécialement traitées pour les fesses…
Elle les dispose côte à côte sur son bras.
— … Ensembles, elles font plus ou moins la largeur de ton derrière. Donc à chaque impact toute la surface de ton cul sera comme enveloppé. C’est un martinet indien que m’a offert un très cher ami…
Maîtresse Cindy te désigne le mur face au lit, qui est en fait recouvert d’un miroir.
— … Met-toi là, bras levé en appui sur la glace, mains se tenant l’une l’autre, cambre-toi bien.
Elle s’approche de toi, passe une main fraîche sur tes fesses offertes par leur cambrure, précise :
— Trois dizaines de volées devraient suffire…
Ça te semble peu, mais tu ne te fais pas prier pour marquer ton acceptation, inutile de réclamer plus :
— Comme vous voulez, Maîtresse.
Maîtresse Cindy se place sur ton côté gauche, lève le bras droit. Un léger sifflement et les trois lanières enveloppent complètement ton cul :
— Ouaaaaaaah !...
Le cri a jailli de tes lèvres sans même que tu t’en rendes compte. L’impact des trois lanières ressemble à vingt claques assénées ensembles.
Elles reviennent très vite, te faisant pousser un cri identique.
C’est : h o r r i b l e !
Comme si tes fesses étaient plongées dans l’eau bouillante à chaque impact.
Après la troisième volée, tu piétines sur place, secoue ton cul alors que trois autres assénements douloureux te percutent :
—Pitiiiiiiié !... Pluuuuuuus, Maîtresse !... C’est affreux !...
Après la dixième volée, ton derrière est juste entièrement rosé sur toute sa superficie.
Maîtresse Cindy laisse pendre le terrible martinet au bout de son bras gauche, s’approche de toi, passe une main légère et heureusement fraîche sur ta peau, amenant un répit bienfaisant.
Elle vrille ses yeux bleus dans les tiens, demande, sans cesser ses caresses :
— Alors, chéri, que penses-tu de ce martinet ?
La voix cassée après tes cris, rauque, tu réponds :
— C’est horrible, Maîtresse. Il fait très mal. Ça me cuit… Me brûle… Arrêtez, s’il vous plait.
— Que nenni ! Il te faut trois dizaines pour que ton cul soit rouge comme je l’aime. Si on arrête maintenant, pas de souci. Je le range et tu me ramènes chez moi…
Tu comprends que sans les 30 coups de martinet, tu ne lui feras pas l’amour. Tu te décides rapidement, capitules :
— Non !... Non !... Maîtresse. Allez-y, j’accepte les deux dizaines manquantes.
— Parfait. En position !
Maîtresse Cindy reprend sa place.
Au premier assénement, tu comprends qu’elle frappe un peu plus fort car la cuisson augmente vite cette fois.
Tu ponctues chaque percussion des trois lanières par un cri bref.
Après cinq tu as tellement mal que des larmes submergent tes yeux inopinément, de façon incontrôlable.
A la fin de vingtième coup, Maîtresse Cindy s’approche de nouveau de toi, rafraîchit ta croupe par ses caresses bienfaisantes alors que tu baisses les bras, commente :
— Il a rougi un peu plus. Encore dix et il sera parfait.
Puis elle reprend sa place et tu lâches :
— Accordez-moi encore un peu de caresses, s’il vous plaît, Maîtresse.
Elle s’avance, précise :
— Dans ce cas ce sera une douzaine…
Tu n’as pas le temps de protester que la main est de nouveau sur tes fesses :
— … Quinze si tu veux une prolongation.
— Non !... Non, Maîtresse !...
Maîtresse Cindy se remet à deux pas de toi qui du coup remonte tes bras au-dessus de ta tête, en cambrant parfaitement ton cul.
La percussion est encore une fois plus forte, plus appuyée, fait trembler tout ton corps alors que ton cri de douleur est plus fort lui aussi.
Cette fois les dix impacts se succèdent très rapidement, te laissant pleurant, sanglotant, les joues presqu’aussi rouges que tes fesses brûlantes.
Maîtresse Cindy marque un arrêt, dit :
— Restent les deux derniers.
Elle varie l’angle en l’assénant de bas en haut afin qu’il enveloppe ton cul de la base cuisses fesses.
Tu accuses les deux impacts en sautant littéralement de douleur.
Maîtresse Cindy laisse tomber le terrible martinet à terre, s’approche de toi qui a baissé les bras pour masser ton derrière rouge coquelicot, colle ses lèvres sur les tiennes en un baiser bienfaisant, tout en allant joindre ses mains aux tiennes.
Notre baiser achevé, elle dit :
— Maintenant j’ai très envie que tu me fasses l’amour…
Elle se dirige vers sa valise, t’invite :
— Va te passer de l’eau fraîche sur le visage, pas sur tes fesses que je veux chaudes.
— Bien, Maîtresse.
Quand tu reviens, après quelques minutes, tu la trouves allongée sur le lit, alanguie ; tes yeux sont attirés par un gode qui repose sur la table de nuit luisant du gel dont le préservatif est recouvert.
Devant ton regard interloqué, Maîtresse Cindy rit, précise :
— Sois tranquille, c’est ton sexe que je veux dans le mien. Cet olisbos est pour ton cul. Je vais te le mettre et il scandera ton rythme. Tu vas vite comprendre, chéri… Il ne devra jamais sortir de ton cul, sinon tu seras fessé ou fouetté. Allez, viens t’allonger ici, me caresser, m’embrasser, lécher mon sexe.
Tu te jettes presque sur lit, commence à caresser le corps offert dans toute sa jeune nudité, tu évites volontairement les seins, le sexe, t’attarde sur tout le reste.
Très vite tu constates que les pointes roses de ses petits seins se tendent. Néanmoins tu continues ton jeu, du coup, elle ouvre ses cuisses offrant son sexe, dénué du moindre poil, en une invitation érotique.
Si le martinet t’a malgré tout fait bander, ton érection ne diminue pas.
Alors tu cesses de caresser ce corps offert, provoquant un grognement de dépit de la part de Maîtresse Cindy, mais tu n’en tiens aucun compte, t’empares du préservatif près du gode et le déroules sur ta queue bandante. Comme ça quand tu voudras la prendre, il n’y aura aucun temps mort.
Tu poses ta bouche sur un sein, enveloppe l’aréole, la lèches, suces, mordilles doucement, alors que ta main s’occupe de sa sœur jumelle.
Ensuite tu remplaces bouche par main et inversement.
Après ce traitement ta bouche suit le ventre, marque un arrêt au nombril que tu
Lèches soigneusement, avant de poursuivre ta descente buccale.
Tes lèvres s’emparent du sexe, faisant saillir un clitoris épais, tendu, en pleine érection alors que Maîtresse Cindy gémit, pose ses mains sur ta tête sur laquelle elles appuient afin que ce sexe chaud tu le fasses vibrer.
Lorsque tu descends ta bouche un peu plus bas, la cyprine noie tes lèvres, puis ta langue.
La sentant prête pour l’estocade, tu recules la tête et Maîtresse Cindy lâche ta tête, une de ses mains s’empare du gode, te commande :
— Attend, met toi en soixante-neuf que je te mette ce gode dans le cul. Ecarte bien tes cuisses.
Tu t’installes, reposes ta bouche sur le sexe, sens alors la pointe du gode se poser sur ton anneau rectal après qu’elle t’y a mis une bonne couche de gel juste avant de prendre à son tour ta bite en bouche.
— Aaaaaaaye !... Doucement, Maîtresse !...
Ça pénètre doucement, t’envahit totalement, s’enfonçant dans le puits de tes reins sans heurt.
Maîtresse Cindy te l’enfonce totalement dans le cul, libère ta bite, ordonne :
— Prend-moi, maintenant !
Malgré la gêne créée par l’olisbos qui te remplit complètement, tu opères un demi-tour, guide ton sexe vers le sien, ton gland glisse aisément et tu la pénètres à fond, lui faisant pousser un cri bref.
D’une main elle te tient par le cou, allongé sur elle ; l’autre dextre est posée sur la poignée terminale du gode.
Maîtresse Cindy tire vers l’arrière, et, afin d’éviter toute sortie intempestive et donc une correction, ton cul suit le mouvement, faisant coulisser ta bite.
Quand elle pousse sur le gode, tu l’empales à ton tour.
Les mouvements, un peu saccadés au début, s’accélèrent.
Avec ce système, c’est comme si elle se baisait elle-même, toi n’étant que l’instrument de son plaisir. Quoique…
Tu poses ta bouche sur la sienne, en un ardent et fougueux baiser.
Sentant la jouissance monter dans ton sexe, tu ralentis les coups de reins, mais elle t’oblige à accélérer, serrant encore plus ta bite avec le puits de son sexe.
C’est presqu’en même temps que tous deux nous jouissons, bouches toujours unies.
Nos souffles diminuent peu à peu d’intensité.
C’est la première fois que tu fais l’amour à une femme tout en étant enculé. Tu t’avoues que c’est grandiose quand même.
Maîtresse Cindy agite un peu le gode dans ton cul, puis le sort de sa prison et ta bite quitte son sexe, dit :
— Va jeter les préservatifs et reviens ici. Nous irons prendre notre douche après.
Tu t’exécutes, puis reviens t’allonger à ses côtés.
Elle se penche vers moi, me fixe de son regard bleu qui a perdu son habituelle froideur, dit :
— As-tu autant apprécié que moi cet intermède amoureux ?
— Oui… Beaucoup…
Et hardiment, je pris son visage entre mes mains et joignis mes lèvres aux siennes en un langoureux baiser amoureux.
Maîtresse Cindy y répondit avec ardeur, voire fougue.
Quand elle rompt, son regard redevient froid :
— Ça suffit ! Pas de sentimentalisme ! Allons-nous doucher !
Néanmoins, elle prend ta main pour se lever avec toi, la garde jusque devant la cabine de douche, t’ordonne :
— Règle la température, sur tiède.
Tu t’exécutes.
Comme pour la précédente douche, chacun lave l’autre.
Tu t’appliques, Maîtresse Cindy aussi, car elle constate, une fois tes fesses lavées :
— Ton cul a perdu presque toute sa rougeur. (Elle rit) J’ai dû être trop tendre, ce n’est pas normal. J’ai une méthode infaillible…
— Non, Maîtresse !... Ne le corrigez plus au martinet…
Son rire s’accentue, elle lâche :
— Je devrais pourtant, puisque tu le suggère. Mais, non, j’aime trop fesser ton derrière à la main… Sortons…
Maîtresse Cindy coupe l’eau, quitte la cabine, te suis des yeux alors que tu vas vers le porte-serviette, attrapes la sienne, reviens vers elle pour l’essuyer.
Tu t’emploies pour la parfaitement sécher, remets la serviette en place, reviens avec la tienne. Elle s’en empare, t’essuie rapidement, et tu comprends ce qu’elle a voulu dire lorsqu’elle ne touche pas une seule fois à ton cul qui reste humide.
Alors que tu as mis la serviette en place, Maîtresse Cindy dit :
— Va te mouiller un peu plus les fesses puis tu viendras dans la chambre pour prendre ta dernière fessée… du jour.
Deux minutes plus tard, tu retrouves Maîtresse Cindy, assise au bord du lit, toujours nue, belle, attirante.
Sans un mot, tu prends la position de fessée : à plat ventre sur ses cuisses, bite entre elles.
Elle te ceinture et, aussitôt, la première claque percute ton cul mouillé provoquant un bruit sec. La douleur est immédiate, encore plus qu’avec un derrière sec, dit :
— Cette fessée durera jusqu’à ce que tes fesses soient sèches et bien rouges.
— Aaaaaaaye !... Ça fait mal, Maîtresse !... C’est insupportable !... Faîtes plus doucement !... S’il vous plaît, Maîtresse !... Nooooooon !...
Tu te tortilles sur cuisses, en vain. Maîtresse Cindy te tient parfaitement, frappe ton cul anarchiquement. Les claques te font crier ta douleur excessive. C’est presque plus douloureux que le martinet, quasi insupportable.
Après trois ou quatre minutes de ce traitement, tu la supplies :
— Pitiiiiiiié !... Maîtresse !... Cessez cette fessée !... Ça fait trooooooop !... Maaaaaaal !... Nooooooon !... Pluuuuuuus !...
Sans tenir compte de tes suppliques, Maîtresse Cindy rétorque :
— C’est presque fini, chéri, ton cul va être sec et bien rouge. Prend ton mal en patience.
Une minute plus tard, ouf ! La main s’arrête de te claquer. Un instant après, sans te caresser, elle approche la dextre de ton visage, dit :
— Embrasse-la ! Elle le mérite vu qu’aujourd’hui elle s’est particulièrement bien occupée de ton derrière.
Tu obtempères puis te redresse, massant tes fesses bouillantes pour en calmer l’infernale douleur.
Cindy s’allonge sur le lit, te fais signe, lâche gentiment :
— Viens te coucher, à moins que tu n’aies autre chose en vue.
Je ne me fais pas prier, mes yeux fixés sur les siens, moins froids, maintenant.
Elle se pelotonne contre moi… Lire la suite

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