L’institut de dressage
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Ce soir-là, je regagnais tranquillement la maison maternelle, venant du cinéma où j’étais allée voir EMMANUELLE, projeté en séance spéciale en l’honneur de son inoubliable actrice Sylvia Kristel qui venait de décéder. Je n’avais jamais vu ce film qui datait de ma prime jeunesse, et ce spectacle avait profondément troublé mes vingt ans.
Fiancée depuis plusieurs semaines, mon mariage était prévu pour quatre mois plus tard. Exceptionnellement, mon fiancé n’avait pu m’accompagner, retenu par une importante réunion d’affaires avec son nouveau patron.
La rue était déserte à cette heure-là. Une auto s’arrêta à mes côtés, une vitre se baissa et quelqu’un me demanda quelque chose. Je me penchai pour répondre et pendant que j’étais occupée à le faire, deux bras me saisirent par derrière, un mouchoir fut placé sur mon visage, puis ce fut le trou noir. Lorsque je me réveillai, je constatai que j’étais couchée sur un lit, bras et jambes attachés. La chambre où je me trouvais n’avait pas de fenêtre, et était plongée dans l’obscurité. Je réalisai avec inquiétude que je venais d’être enlevée, mais ignorais totalement pour quelle raison. Une demande de rançon était hautement improbable, mes parents n’étaient guère fortunés. Peu après mon éveil, deux femmes vinrent me rejoindre et me détachèrent. Elles refusèrent catégoriquement de répondre à mes questions, et se contentèrent de m’emmener dans une salle à manger où l’on me servit un petit déjeuner. Puis, on me fit pénétrer dans un bureau où m’attendait une femme d’une quarantaine d’années, luxueusement vêtue, le visage souriant. Comme je m’inquiétais des raisons de mon enlèvement, elle fut assez énigmatique et se contenta de répondre que celui-ci avait été préparé et exécuté par un ancien ami à moi. Je ne sus rien de plus, mais elle ajouta quand même que je serais à partir de vingt heures la vedette d’une soirée que jamais je ne saurais jamais oublier. En attendant, on me ferait attendre dans un petit local où les deux jeunes femmes viendraient me préparer, le moment venu. Je pris mon mal en patience, en essayant de me rappeler les plus belles images du film que je venais de voir. Je ne dus pas attendre longtemps, et une heure plus tard, je vis arriver les deux femmes annoncées. Elles m’emmenèrent dans une salle de bains où après m’avoir fait me déshabiller, elles me lavèrent et me pomponnèrent, sans jamais dire le moindre mot. On me laissa renfiler mes dessous et ma robe, puis elles me maquillèrent comme jamais je ne l’avais jamais été. Je dus encore attendre un long moment. La femme qui m’avait reçue vint alors me chercher. Elle me menotta les mains dans le dos, me plaça au cou un collier de cuir auquel elle fixa une laisse, puis elle me tira derrière elle, toujours dans un silence total. Elle me fit ainsi entrer dans une grande salle au milieu de laquelle on avait installé une estrade. Elle m’y fit monter. Je regardai autour de moi. Une trentaine de personnes des deux sexes se trouvaient là, et applaudirent mon arrivée. On me banda alors les yeux. J’étais de plus en plus inquiète et ne parvenais pas à comprendre ce qui se passait.
J’entendis quelqu’un me rejoindre sur l’estrade et une voix s’éleva, une voix que je reconnus immédiatement. C’était celle de Marc, une ancienne connaissance, que j’avais fréquenté quelque temps, mais auquel je m’étais toujours refusée. Et le discours que j’entendis alors était explicite.
« Mes amis, je vous présente Elodie, une amie dont j’étais tombé amoureux. Elle m’a alors rejeté pour se fiancer avec un jeune blanc-bec, malheureusement pour moi très fortuné. Ils devaient se marier dans quelques mois, mais je doute fort que ce mariage ait lieu. Alors, voilà. Je vous ai amené « Miss Cuisses serrées » comme je l’appelais jadis pour la taquiner. Comme vous vous en doutez, elle a été élevée dans un milieu bourgeois, très puritain. Et ce soir, nous allons ensemble lui faire découvrir un autre monde. Elle aura sans doute du mal à s’y adapter, mais j’ai déjà prévu le nécessaire pour l’y aider. Après ce week-end, elle quittera cette maison pour aller passer quelque temps à l’Institut de Dressage, qui se chargera d’en faire une femme accomplie. Et surtout une femme totalement ouverte à l’amour, ce que son futur mari n’aurait su faire d’elle. Nous allons maintenant découvrir le charmant physique d’Elodie ».
Je sentis qu’on me retirait le collier, et que des mains féminines découpaient à coups de ciseaux mes vêtements. Je fus nue en un clin d’œil, sans aucune possibilité de cacher mes seins et mon sexe. Des applaudissements fusèrent. Mon ancien ami reprit alors la parole
« La demoiselle que voici a conservé ses trois pucelages. Elle les perdra cette nuit. Ils seront tirés au sort entre les hommes ici présents et les trois gagnants lui feront perdre à tour de rôle un de ces pucelages. Puis, Elodie sera mise la nuit durant à la disposition de tous ceux, femmes et hommes, qui désireraient s’en servir. Le tirage au sort va commencer immédiatement. Dans le vase qu’on va amener se trouvent autant de boules qu’il y a d’hommes présents. Chacun viendra en retirer une, et toutes sont emballées dans un papier opaque. Quand tous auront pris une boule, celles-ci seront déballées. La boule rouge désignera l’homme qui lui déflorera le vagin, la boule noire sera celle de la sodomie et la boule verte sera celle de la fellation. Les autres boules sont toutes perdantes. J’attire votre attention sur le fait que chacun de ces actes se passera ici, en public, sur cette estrade, afin que tous puissent profiter du spectacle de la pudeur bafouée de ce bien joli puceau. Et un dernier tirage désignera un couple qui aura le privilège de pouvoir jouir de la demoiselle jusqu’à son départ, dimanche après-midi, pour l’institut qui se trouve à trois cent kilomètres d’ici. Un institut que certains d’entre vous connaissent déjà pour y avoir assisté à l’une ou l’autre soirée. Je demande maintenant une volontaire pour préparer Elodie à sa première défloration. »
On avait amené un divan sur l’estrade, et on me fit m’y coucher. Trois femmes s’étaient présentées. Deux d’entre elles maintinrent mes jambes écartées tandis que la troisième plongea sa tête entre mes cuisses et se mit à me lécher le clitoris. J’étais affreusement gênée de me voir ainsi offerte en spectacle à des étrangers, mais la nature reprit le dessus. Il m’était impossible de résister à la langue qui se faufilait dans mon sexe, et très vite je mouillai. La dame se releva alors et céda la place à l’homme qui devait me déflorer. Je savais que rien ne pourrait l’empêcher d’arriver à ses fins et pressée d’en finir, j’écartai des deux mains mes grandes lèvres, lui offrant moi-même l’orifice qu’il allait envahir. A voir la taille de la verge qu’il tenait à la main, je frémis par avance. Déjà, il s’était faufilé entre mes lèvres trempées et d’un coup sec me pénétra. La douleur me fit pousser un cri. Mais il s’était enfoncé en moi, et commença de lents mouvements de va-et-vient. Je perdais la tête. Mon corps réagissait de façon inattendue, et je finis à mon grand étonnement par trouver la chose plaisante. De moi-même, je plaçai mes jambes autour de ses reins pendant que le public qui s’était approché applaudissait. Je me mis à gémir, doucement, pendant que l’homme s’agitait dans mon vagin. Et quand il éjacula, je me sentis pousser un cri de joie qui provoqua de nouveaux applaudissements. Mon violeur se retira alors et on me tendit une serviette pour nettoyer les traces de sang qui maculaient l’intérieur de mes cuisses. On me laissa m’asseoir et Marc qui m’avait enlevée vint se gausser de moi
« Comme tu le vois, je me suis vengé de l’affront que tu m’avais fait. Et j’ai constaté que tu as pris plaisir à la chose. Dommage. Mais le plus dur reste encore à venir. Je ne crois pas que tu puisses jouir de la même manière lorsqu’une queue forcera ton anus pour se glisser dans tes entrailles. Mais nous allons t’accorder un peu de répit, et ce n’est que dans une heure que tu seras prise par l’arrière. En attendant, les dames présentes vont prendre soin de toi et préparer ton cul à ce qui l’attend. »
Je dus me recoucher sur le ventre cette fois, et à nouveau on m’écarta les jambes. On commença à me caresser la raie, puis, à ma grande honte, je sentis une langue me lécher l’anus et s’y glisser. La sensation était étonnante, et me troubla étrangement. Puis, je sentis la langue se retirer, des doigts couverts d’un produit graisseux me pénétrèrent le petit orifice en le graissant. Une femme avait pris un objet que je ne connaissais pas, mais dont je devinai facilement l’emploi. Elle le présenta face à mon petit trou et l’y fit glisser jusqu’à ce qu’il soit enfoncé au tiers de sa longueur. Elle se mit alors à le faire tourner comme pour le visser. Je réalisai qu’on cherchait à élargir l’accès à mon rectum, et fus alors pris de panique. La sensation de ce corps étranger qui cherchait à se glisser en moi me remplissait de panique pour la suite. Mais j’étais impuissante. Et dus laisser faire. Cette petite séance dura longtemps. Puis, la voix de Marc s’éleva
« Il est temps maintenant. Mettez-la dans la position voulue et maintenez-la qu’elle ne se dérobe pas. »
On me fit me mettre à genoux, appuyée sur mes deux bras, la tête sur le divan et les fesses en l’air. Tout le monde s’était regroupé afin de pouvoir assister de près à ce qui allait se passer. L’homme que le sort avait désigné s’était déshabillé. Je vis une femme pratiquer sur lui une brève fellation pour lui assurer une solide érection. Quand il fut prêt, il vint se placer entre mes cuisses, et présenta à mes entre-fesses le bout de sa verge. Il l’y fit glisser plusieurs fois. Sans le vouloir, je me sentais m’exciter. L’homme avait été circoncis, et me fit connaître sans peine l’épaisseur et la dureté de son gland. Il le plaça face à mon petit trou, et donne un premier coup de reins. Je poussai un hurlement : la verge forçait le premier sphincter et me pénétrait de plus en plus profondément. Le public encourageait mon violeur dans des termes dont la grossièreté m’excitait. L’homme continua sa progression pour venir buter contre le deuxième sphincter. Mais il était décidé à me posséder à fond et, malgré mes cris, imposa sa volonté. La douleur, violente au début, s’atténua. Les mouvements de l’homme me firent moins mal. Et la sensation de sentir au plus profond de mes entrailles un bâton de chair brûlante était surprenante. Sans le vouloir réellement, je fis agir mes muscles internes pour les resserrer sur l’envahisseur qui se mit à m’encourager. Je devenais comme folle et dans ma tête me répétais « Tu n’es qu’une sale chienne : tu es enculée, et sembles prendre goût à la chose. » Je ne pensais plus aux spectateurs. Une seule chose désormais comptait pour moi : arriver à jouir, le plus vite possible. Et j’y parvins avant que mon partenaire ne décharge sa semence au plus profond de mon être. Puis, mon violeur se retira. Je croyais en avoir fini, mais une dernière épreuve m’attendait : il vint me présenter sa verge souillée et me donna l’ordre de la nettoyer avec ma langue. Sans même trop réaliser ce qu’il exigeait de moi, je m’exécutai, provoquant une dernière salve d’applaudissements. On annula alors la fellation, considérant que je venais de l’effectuer en nettoyant la verge de mon violeur.
Le reste de sa soirée ne fut pas de tout repos : je fus encore plusieurs fois sodomisée et baisée : je ne réagissais même plus, et me laissais faire, prenant parfois au passage l’un ou l’autre plaisir que je ne parvenais même pas à dissimuler. Puis, le couple élu vint me chercher pour passer la nuit en sa compagnie. J’étais épuisée, mais la femme l’avait compris. Nous étions nus tous trois, et c’était la première fois que je me trouvais couchée ainsi entre deux corps chauds qui cherchaient à me rassurer. Je ne pus résister, et laissai la femme me caresser, puis présenter mon sexe à son mari qui me baisa avec douceur. Je découvris que la femme s’était emparée d’une ceinture porte-gode. Elle avait décidé de m’enculer à son tour au moyen de cet artifice. Son mari me fit prendre son sexe en bouche pendant que de ses mains il écartait mes fesses. Et pendant que je le suçais, je sentis le gode pénétrer sans difficulté mon anus encore dilaté par la séance de l’après-midi. Et quand l’homme déchargea sa semence dans ma bouche, je l’avalais sans hésiter, ressentant au même moment les joies de l’orgasme qui m’était accordé par sa compagne. Nous avons ensuite dormi quelques heures, bras et jambes emmêlés.
Tard dans la matinée, Marc vint me chercher
« Nous allons maintenant prendre un léger repas, puis tu te laveras bien. Je veux que tu sois présentable lorsque dans quelques heures je te présenterai à la directrice de l’institut où tu vas passer les prochains mois. »
J’osai lui demander pourquoi je devais aller là et en réponse n’obtins qu’un sourire moqueur et peu d’explications :
« Mais pour y être dressée, ma chérie. Je nourris de grands projets pour ta personne, mais il te faudra beaucoup évoluer. J’ai prévu pour toi une formation qui durera au minimum un bon mois. Bien sûr, l’institut est connu pour sa grande sévérité. Tu y découvriras comment supporter la douleur, et même à en prendre du plaisir. Ce que tu viens de vivre n’était qu’un avant-goût de ce qui t’attend à partir de demain. Ce soir, je débattrai avec la directrice de ce que j’attends de ton stage, et lui préciserai les buts poursuivis. Ne traîne plus, car la route est longue, et je voudrais arriver là-bas avant dix-sept heures. »
Soucieuse de ne pas le mécontenter, je fis tout ce qu’il m’avait demandé, et nous sommes partis plus tôt que prévu. Pour faire la route, il m’avait donné une robe, des bas et des chaussures, et j’avais dû m’installer à tes côtés. Il m’avait avertie
« Ne tente rien en cas de contrôle routier, et contente-toi de dire que tu es ma maîtresse. Si tu me désobéis, dans deux jours tes parents recevront un DVD décrivant ce que tu viens de vivre. Car tout, sans que tu le saches, a été filmé, et doit nous servir plus tard. »
Je n’avais qu’à obéir, et nous arrivâmes sans encombre avant l’heure prévue à l’institut. LIRE LA SUITE
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