La débutante - 5

Episode 7
mardi 14 avril 2009
par  CClaudia
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Je croyais avoir tout connu du plaisir possible avec un homme. Ce ne fut rien à côté du réveil, le lendemain matin. J’avais passé la nuit en chien de fusil, le corps de mon Maître contre moi. J’avais dormi d’un sommeil d’enfant, dans ses bras protecteurs. J’entendais sa respiration calme. J’étais bien, merveilleusement bien.

J’avais perdu mon statut de femme pour celui de femelle, d’esclave. J’avais servi de table à mon Maître. Puis, j’avais été fouettée et giflée. Mon corps était encore zébré de grandes marques rouges. J’avais sucé, non : j’avais ouvert ma bouche pour qu’il l’utilise. J’avais léché ses chaussures. Je m’étais pavanée comme il le souhaitait devant la voisine. J’avais été enculée et j’avais dû nettoyer son membre avec la langue. Je m’étais rasé le con pour lui plaire. Je ne regrettais rien, absolument rien. Nous étions au début du weekend et je souhaitais encore apprendre, obéir pour le garder.

Je le sens remuer. Il se met sur le dos et, en même temps, m’attrape par le collier. Il m’entraîne vers son sexe que j’embouche immédiatement. Il me saisit par les cheveux et m’imprime son rythme. Hier j’ai beaucoup appris et je me laisse docilement faire. Je tente de le garder au plus profond de ma gorge, puis je le laisse ressortir presque entièrement, je souffle un peu d’air frais sur le gland et de nouveau l’embouche. Je répète cela plusieurs fois avant de lécher la colonne de chair. Je vais ensuite chercher les bourses que je prends dans ma bouche. Je leur fais un nid chaud pour qu’elles apprécient la caresse de la langue. Mon Maître finit par reprendre la parole :

— Aujourd’hui, tu vas commencer à apprendre la routine d’une esclave.

Il me repousse et se lève. Il ouvre le grand sac qu’il a sorti de la voiture cette nuit. Il en sort un rosebud agrémenté d’une queue de cheval.

— Mets-toi à quatre pattes, le cul vers moi.

Je lui présente mon cul encore violacé des coups reçus. Sans hésitation, il enfonce l’objet dans mon anus. Je ne peux m’empêcher de pousser un cri au passage de l’engin. Je contracte mes fesses, mais une claque sonore me calme. Il attrape maintenant dans son sac une laisse qu’il accroche à mon collier. Il tire dessus pour me faire comprendre que je dois descendre du lit. Il m’entraîne vers le grand miroir mural : je me trouve étrangement belle, tenue en laisse, une queue d’animal trônant fièrement au milieu de mon cul. Je me frotte à mon Maître. Pour la première fois, je le vois nu. Il est beau, la peau bronzée d’un homme qui s’entretient. Je suis fière de lui appartenir et pour le lui montrer, je me baisse et lèche ses pieds nus. Il me laisse faire un moment. Puis :

— Je vais prendre ma douche, prépare mon déjeuner.

Pendant que j’entends l’eau couler, je descends à la cuisine. Tout en préparant le déjeuner du Maître, je me hâte de manger quelques choses. Je vais devoir m’habituer à grignoter dans les temps perdus pour avoir le temps de servir mon Maître. Il descend à son tour. Il s’installe dans le fauteuil du salon. Je me présente dans la pièce, le plateau à la main, avec pour seuls atours le collier, la laisse et le rosebud. Je m’approche et pose le plateau à côté du Maître, m’installe devant lui à quatre pattes. Il prend le plateau, le pose sur mon dos et commence son déjeuner. Régulièrement, il trempe un morceau de pain dans son café, le met dans le creux de sa main et me le montre. Je dois alors l’attraper avec mes lèvres et le manger. Je me sens à la fois grotesque avec cette queue qui sort de mon cul, et fière du rôle que je joue auprès de mon amant.

Maître finit tranquillement de déjeuner. Il pose ensuite le plateau à terre, mais m’interdit de bouger. Il me caresse le dos, la croupe. Il prend le reste de lait qu’il a sur le plateau, le verse dans son bol maintenant vide et le pose par terre devant moi.

— Bois ton lait.

Je me redresse, mais il n’attendait que cela. Sa main vient me frapper violemment la croupe.

— Un animal lape son lait. Il ne se redresse pas !

Docilement, je me penche donc vers le bol et commence à laper le lait qu’il contient. Mon cul est ainsi bien haut, à sa hauteur, et il ne se prive pas de le fouiller avec ses doigts. LIRE LA SUITE

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