L’utilisation de mon esclave

Par Takamura
mardi 11 juin 2013
par  Henic
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Voici la suite de « L’éducation de mon esclave », récit écrit par Takamura et publié par DO Fantasy sous le titre « Using My Sex Slave ». Traduction par Hénic.
L’intégralité de ce récit est disponible pour les abonnés de RdF

  1. Introduction page 2
  2. Le piège page 3
  3. Négrita page 8
  4. Angela page 16
  5. Epilogue page 69

Introduction

A quarante mètres sous terre…
L’Histoire s’écrit avec un grand H et moi, Robert T. Wilson, vais y contribuer. Je commence ce carnet dans l’idée que rien de ce qui s’est passé ne sera oublié.
J’écris dans un de mes donjons inoccupés à Oak Place, dont j’ai fait temporairement mon refuge intellectuel. En dépit de son exiguïté - il y a à peine assez de place pour une table et un petit fauteuil-, c’est là que je peins, que j’écris, que j’écoute de la musique et que je philosophe.
Comme d’habitude, mon esprit s’enrichit de ces moments passés en hauteur, pendant que Négrita me sert de tapis. Elle est nue et tremble, attachée de la manière qu’elle aime le moins, les chevilles et les poignets attachés ensemble, et deux paires de grosses chaussettes sales dans la bouche. Elle est vraiment mignonne et me rappelle vivement la Marianne des premiers jours.
Elle gémit, on dirait qu’elle miaule, et me regarde emplie de crainte, ses grands yeux clairs scrutent au-dessus du bâillon qui ouvre ses mâchoires et scelle sa bouche.
Oui, ne soyez pas étonnés, j’ai bien dit : elle me regarde emplie de crainte…
Elle me regarde avec les yeux fixés sur le l’extrémité incandescente de la cigarette qu’elle sait que je vais écraser sur la plante de son pied.
Et Marianne ? Elle est toujours enfermée dans les étages supérieurs, dans la salle de jeux, avec Angela et une lesbienne de ses amies, une cliente qui s’appelle Brenda. Ça fait un moment qu’elles sont là, maintenant… Bien sûr, elles sont deux…
En fait, ma partenaire ne vient pas très souvent mais lorsqu’elle vient, elle s’occupe de la majeure partie du temps. Entre autres choses, les deux fois qu’elle est venue, ceci est la seconde, elle a amenée un invité ; il s’avère que ce sont les seuls invités que nous avons eus jusqu’ici.
Le premier était le colonel Orlov, un Russe déjà bien introduit dans le commerce des esclaves. Un putain de salaud, qui a presque tué Marianne, mais qui a payé rubis sur l’ongle, en dollars américains.
Marianne… Pauvre Marianne ! Elle écrivait son journal au crayon sur du papier toilette. Je l’ai trouvé caché dans sa cage, à Londres, et je suis sûr que si je fouille ici, je trouverai quelque chose…
Quand Angela est partie, j’aurai une conversation avec elle… Ou peut-être le lui ferai-je me le lire. Je suis indigné, pour ainsi dire hors de moi.
Heureusement, la sensation des seins chauds de Négrita sous la plante de mes pieds et la mélodie du Messie de Händel qui résonne dans ces murs vénérables, me calment et élèvent mon âme troublée.
Je profite de ce moment pour commencer ce nouveau carnet et vous raconter tout ce qui s’est passé après le jour où j’ai traqué et capturé Négrita.
Mais vous devrez attendre que j’aie fini d’éteindre ma cigarette…
« AAAAAAAAAAARRRRRRRHHHHHHH… ! »

Le piège

Il fallait que j’imagine quelque chose de mieux et c’est Angela qui en a eu l’idée. J’ai acheté la plaque et elle a passé le coup de téléphone. A la vérité, ça commençait à m’ennuyer et j’avais déjà investi dans un cadenas et une plaque brillante :

WILSON & ASSOCIES
AGENCE DE PLACEMENT

Le plan est assez simple. Angela téléphone au nom de « Wilson & Associés », une société de chasseurs de talents, et elle offre un merveilleux poste avec un salaire plus qu’alléchant. Mais elle insiste sur la nécessité d’une discrétion absolue. « Wilson & Associés » travaille aussi pour la société qui emploie Négrita et bien évidemment, ils n’apprécieraient pas d’apprendre qu’ils cherchent à débaucher leur charmante réceptionniste.
Le reste est de mon ressort.
Je fixe la plaque sur la porte du jardin, prépare le traquenard dans le garage, prends le chiffon et le chloroforme, la seringue, les cordes, et fais de menus préparatifs dans la cave.
Ça ne peut que bien se passer.
Je regarde ma montre… Encore trois heures à patienter avant le rendez-vous.
Mon dieu ! Marianne ! Je m’en rappelle soudain. J’actionne la sirène et vais me changer. Malgré la crainte et le dégoût qu’elle éprouve à leur égard, Marianne a passé plusieurs heures à attraper à mains nues des cafards qu’elle a mis dans un bocal. Elle devait en attraper trente-six : trois douzaines. Et chaque manque lui vaudrait une semaine supplémentaire de punition.
Lorsque je descends dans la cave, l’esclave est encore en chasse, depuis sa cage, évidemment, avec la cheville et le cou enchaînés. De l’autre côté des barreaux, je lui ordonne :
« Donne-moi le bocal, esclave ! »
Ce n’est pas facile de les compter, ils sont toujours en mouvement : je lui ai dit de les prendre vivants…
Marianne me regarde apeurée et frotte nerveusement ses mains l’une contre l’autre. Je secoue la tête lentement.
« Tss… Tss… Il n’y en a pas trois douzaines, là. C’est évident…
— Ils… se sont… échappés… à travers… les barreaux… Maître… »
Elle continue de se frotter les mains comme si elle essayait d’oublier ainsi le contact de ces insectes répugnants. Je lui présente une paire de chaussures que j’affectionne particulièrement :
« Mets ça ! »
J’aime beaucoup la voir mettre des chaussures.
« Marche un peu pour ton Maître… Tu sais, avec grâce, d’une manière sexy, comme tu l’as appris sur la poutre. Tu te souviens ? »
C’est un vrai spectacle ! C’est une sacrée allumeuse ! Je vais la punir pour ça.
« Viens près des barreaux. »
Elle s’approche, rouge comme une tomate. En quoi le fait de parader nue devant son propriétaire peut-il la gêner ? Elle paiera pour ça aussi.
« Tourne-toi ! »
J’entrave ses poignets derrière son dos et lui tord les bras jusqu’à ce que je puisse les attacher au collier. Je suis à chaque fois époustouflé d’y arriver, mais Marianne est très souple. Avec l’usage de la force, et de mon infinie patience, j’ai transformé son corps en un corps de contorsionniste… Que peut-elle faire !?
Je tire sur la chaîne de son cou et la rapproche du poteau qui est au milieu de la cage. Une fois qu’elle est bien attachée, j’ouvre la porte et entre dans la cage avec un fauteuil.
Pour commencer, j’attache ses coudes l’un contre l’autre. Son dos et ses épaules craquent… C’est une des positions que je préfère pour les bras d’une esclave ; ça fait ressortir ses meilleurs appas d’une manière absolument sans égale. Les SS appelaient ça « la position de prière inversée », dans laquelle les jeunes prisonnières nues se retrouvaient avec les avant-bras dans la position d’une pieuse prière, mais derrière leur dos !
Marianne a peur, très peur…
« Ouvre les jambes… »
Elle obéit toute tremblante. Je lui montre les deux vibrateurs.
« Lèche-les ! »
Elle s’exécute. J’en perds presque mon self-control et je la baise ici et là. Je lui introduis les vibrateurs, l’un dans le cul, l’autre dans la chatte. Comme il se doit. Une esclave s’assoit pour manger avec tous ses orifices emplis. De cette façon, elle ne peut arriver au milieu du repas. Marianne gémit de manière émouvante. Surtout lorsque je mets celui de son cul.
J’attache une chaîne autour de sa taille et une autre entre ses jambes, pour maintenir les vibrateurs en place. Je la regarde attentivement. Elle n’est pas encore prête… Je m’accroupis et attache ensemble ses chevilles, en les croisant l’une devant l’autre. Il lui est ainsi très difficile de tenir son équilibre.
Je rapproche le fauteuil et prends la règle. Marianne fond en larmes. Ce n’est pas la première fois et ce ne sera pas la dernière…
« A genoux, esclave ! Une esclave mange toujours à genoux.
— S’il vous plaît… Maître… Ça… Ça fait mal… »
Je la gifle. Cette idiote répond toujours. A chaque fois !
Elle s’agenouille lourdement sur la règle.
« Aaaaaaaarrrrrhhhhhh ! »
Je tire ses cheveux en arrière, en une queue de cheval improvisée. Je veux voir son visage pendant qu’elle va manger. Je m’installe confortablement devant elle, le bocal à la main. J’attrape un premier cafard. Je le lui montre :
« Ouvre la bouche, esclave…
— Non… Maître… Je ne peux pas… Non… S’il vous plaît… »
Je lui donne quelques gifles supplémentaires et lui redemande la même chose.
Ça ne sert à rien.
Je me lève et vais chercher quelques tapettes à souris.
Marianne essaie de se lever. Avec les chevilles ainsi croisées, cela lui est impossible.
Je lui fais signe de venir.
« Ramène tes nénés par ici, esclave, ou tu auras droit à trois mois de plus… »
Elle obéit, les yeux pleins de larmes.
Je les attrape à deux mains. J’adore ses nibards ! Ils sont fermes, malléables, pleins, gonflés et élastiques… C’est un vrai plaisir de les mordre et de les torturer ! Je pince ses tétons et l’embrasse à pleine bouche.
« Tu es vraiment une esclave stupide ; Je ne sais pas ce qu’il faut faire pour que tu comprennes… »
Marianne essaie de dire quelque chose mais ses sanglots étouffent ses paroles.
CLAAAAACCC !
CLAAAAACCCCCCC !
« AAAAAAAARRRRRRHHHHHHHHHHHH ! AAAÏÏÏÏÏÏEEEEE ! NOOOOONNNNNN ! »
Elle réagit encore plus brutalement que la première fois que je les lui ai mises. Je ne comprends pas, mais elle paraît ne pas s’y faire.
« Maintenant, esclave : est-ce que tu vas manger ? »
Marianne secoue la tête désespérément. Comme elle est jolie avec les genoux collés sur la règle, les chevilles croisées, les seins poussés en avant et mordus par les tapettes à souris, et son splendide visage tordu de douleur…

J’approche le cafard…
Elle ouvre la bouche…
Je le mets dedans…
L’insecte s’échappe sur son menton…
« Tu as gagné une journée de plus, esclave… Tâche de ne pas laisser le prochain s’échapper ! »
Le suivant ne s’échappe pas. Marianne ferme la bouche, les yeux écarquillés. A l’évidence, le cafard essaie de fuir…
Marianne ferme les yeux et avale…
Je lui assène une grosse gifle. Heureusement, la chaîne autour de son cou l’empêche de tomber.
« C’est comme ça que tu savoures la nourriture que te donne ton propriétaire ? Je veux que tu le grignotes, que tu le mâches soigneusement et que tu en profites… Tu comprends ?
Il lui faut une autre forte gifle avant qu’elle opine.
Je lui montre le deuxième cafard. Il est très gros, c’est un insecte dégoûtant de six ou sept centimètres. Je le tiens par l’abdomen, ses pattes et ses antennes s’agitent en tous sens.
« Ouvre ta petite bouche et mâche-le jusqu’à ce que je te dise d’avaler… Et tu me regardes dans les yeux ! »
Lentement, comme dans une transe, les yeux noyés de larmes, Marianne obéit.
J’attends quelques minutes avant de lui donner le second ordre… Deux minutes que j’imagine sans fin pour elle. Quel goût peut avoir un cafard cru ? Je ne sais pas et je m’en moque. JE n’ai aucunement l’intention d’y goûter…
« Avale ! »
Si vous l’aviez vue…
Comme c’est amusant de posséder une esclave !
Il y en a exactement vingt-deux, sans compter celui qui s’est échappé au début. Trente-six moins vingt-deux, cela fait quatorze…
« Quatorze jours de plus avec ton Maître… N’est-ce pas génial ? »
A partir de ce jour-là, Marianne a régulièrement chassé le cafard pour en faire son dîner.

***

TIC-TAC… TIC-TAC… TIC-TAC… TIC-TAC…
Je suis là, dans le noir, la plante des pieds brûlée, l’estomac plein de cafards, les joues brûlantes et les tétons presque arrachés…
Mon Dieu, faites-moi sortir de là !
Il m’a promis un magnifique spectacle, une surprise qui animera mes heures de solitude. Je frémis rien que d’y penser.
Je suis attachée dos aux barreaux, le bâillon-anneau entre les dents. Je suis nue, comme toujours, et mes coudes se touchent… Avant de s’en aller, il m’a mis des bas anciens qui montent à mi-cuisses, de ceux qui ont une couture derrière.
Comme d’habitude, il a fait ça avec ses mains dégoûtantes. Il aime mes jambes, je sais que c’est vrai et ça ne m’étonne pas. Avant, j’en étais très fière.
Mon Dieu, qu’est-ce que je ne donnerais pas pour devenir une femme déformée et repoussante ! Pour repousser les hommes plutôt que de les attirer…
Peut-être qu’il me laisserait partir, dans ce cas.
La liberté !
Le soleil…
Le vent…
Le ciel…
Les nuages…
Les oiseaux…
Est-ce que tout cela existe encore ?
Il m’a mis des chaussures, les marrons avec une petite lanière sur la cheville, puis il a passé une demi-heure à caresser comme un fou mes cuisses et mes mollets…
Je déteste ses mains, le contact de sa peau, sa respiration agitée…
C’est une limace. Un porc répugnant.
Avant de partir, il a essayé de me violer e, soulevant mes jambes sous les cuisses. C’était une perte de temps. Il ne le fait jamais debout. Il n’a pas la moindre idée, ni la force nécessaire, ni la queue, pour le faire… C’est un paria, un invalide mental et sexuel.
Je voudrais le tuer avec mes seules mains, lui arracher les couilles, lui crever les yeux…
Frustré et en colère, il a craché dans le bâillon-anneau et est parti en me laissant, comme toujours, dans l’obscurité la plus impénétrable…
Mon Dieu !
Jusqu’à quand ?

TIC-TAC… TIC-TAC… TIC-TAC… TIC-TAC… LIRE LA SUITE

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