10 - Les transformations de la pièce 69

Chapitre 10 - Equipement buccal
lundi 17 juin 2013
par  kingliart
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//Attention : histoire assez « hard » qui ne reflète pas des situations réelles. Merci aux encouragements ; La deuxième phase des transformations commence ici (enfin). //

Longtemps après le début de cet interminable dressage (elle ne savait plus compter les jours), tôt le matin, le gardien la fit se lever et lui dit : « Aujourd’hui tu vas faire une visite chez le dentiste. » Il la tira vers lui et la libéra de tous ses liens sauf la chaîne du collier. Elle se retrouva au même endroit que les jours précédents face à banc dans lequel elle devait se tenir debout et nue. Il la caresse avec tendresse.

Comme à chaque fois, l’homme la menait faire ses besoins puis l’asperger avec le jet d’eau. Bien que ne portant pas de cagoule, elle n’essayait plus de se soustraire au jet d’eau froide. Toute cette saleté sur elle s’en allait ! C’était l’essentiel. L’homme la savonnait, en insistant sur ses cuisses, son entrejambe et son anus. « Aujourd’hui tu n’auras qu’un simple petit lavement » dit-il. Il entreprit de lui faire un lavement en enfonçant une canule dans son derrière qui la prit par surprise : d’habitude elle devait se violer elle-même. Il la fit s’accroupir, faisant tirer au maximum la chaîne de sa laisse, pour expulser l’eau en elle. Il la lava encore une fois. « On te mettra le mors et les rênes un peu plus tard », dit-il en la séchant avec tendresse. Il lui enfila sa cagoule après l’avoir embrassée comme s’ils étaient amants. Avant de faire glisser la tête dans cette étroite cagoule de latex, il caressa les lèvres et les yeux comme pour vérifier que tout était bien en place, en pinçant les joues en les tirant comme s’il regardait la qualité de l’élasticité de la peau.

« Commençons par ton harnais » et de nouveau il s’affaira sur elle pour lui installer ce harnais de bandes élastiques, qui lui faisait soulever les seins. Il ajusta les bretelles et la ceinture étroitement autour de la taille. Puis il la fit mettre à genoux. « Maintenant ouvre toi bien pour ton ami Monsieur gode ! » et comme les jours d’avant il du s’acharner pour insérer le gode en elle. Et elle reçu à nouveau son lot de claques sur les fesses bien qu’elle sache maintenant présenter son cul de sorte à ce que se soit commode à insérer et moins douloureux pour elle. Une fois empalée, le gardien resserra la bande arrière entre ses fesses vers sa ceinture assurant la stabilité de l’engin, puis il fixa les deux élastiques entre l’anneau au bout du pal et ses anneaux aux mollets. Mais, surprise, alors qu’elle s’attendait de nouveau à ce qu’on lui enfile le gant unique pour emprisonner ses bras derrière le dos, le gardien la releva en lui laissant les bras derrière elle, entravés par de simples menottes.

Son anus était torturé, comme tous les jours, quand à chaque pas, alternativement, à gauche puis à droite, les élastiques tiraient le gode vers le bas comme pour le faire sortir et torturant ainsi son anus douloureusement. Mais maintenant elle savait le retenir en elle en se contractant ce qui apaisait la douleur et imposait un rythme. Elle s’était surprise à contracter et relâcher ses sphincters en marchant même sans être prise par le pal. Son gardien avait aussi remarqué avec satisfaction le fruit de cet apprentissage. A l’arrêt elle ne pouvait pas voir qu’il admirait le corps presque nu de 69 qui se tenait immobile, corsetée, cambrée, les fesses serrées comme on le lui avait enseigné, les jambes droites comme un « i », quasiment montée sur ses pointes des pieds. Il la caressa avec la cravache en faisant glisser le bout sur les cuisses solidement musclées. Il la faisait trembler de peur d’être encore battue par cette cravache fine, sans aplat, qu’il affectionnait particulièrement et qui la cinglait profondément. Il donnait des petits coups le long des cuisses, sur les seins, juste pour voir frémir le corps sous la cravache. Elle réagissait plus à la surprise qu’à la douleur.

Le gardien la tira fortement, contrairement à son habitude, par la laisse accrochée à son collier et non pas les rênes de son harnais pour la mener vers une direction inconnue. Ils marchèrent longuement, tirée par le cou, toujours aveuglée par sa cagoule, elle marchait prudemment, son gardien l’obligeant à faire des pas plus grands et de temps à autre la tirant brusquement par la laisse… Ils passaient sur des sols de nature distincte, loin donc de son manège habituel, se dit-elle en s’éloignant. Finalement ils arrivèrent dans un local fermé – peut-être l’intérieur d’une maison ? Son gardien lui dit d’attendre qu’on s’occupe d’elle. « Je reviendrais après ça ! » dit-il en lui caressant la tête, toujours recouverte de sa cagoule.

Elle sentit la présence de trois personnes qui s’affairaient autour d’elle. LIRE LA SUITE

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