Les vacances de Monica

mercredi 22 mai 2013
par  Fatum
popularité : 1%
3 votes

Dans sa tendre jeunesse, Monica vivait avec sa mère, mais depuis ses dix ans, elle passait ses années scolaires dans un couvent à la discipline sévère. Toutes ses vacances, elle les passait à la maison. Ses parents avaient divorcé fort tôt, et sa mère vivait avec la confortable pension que lui avait allouée son mari et aussi des revenus d’un magasin de mode renommé, situé à Montpellier. Dans cette maison, Cécile, la mère, était assistée par une petite bonne à tout faire, appelée Mireille avec laquelle elle entretenait par ailleurs des relations saphiques, dont toutes deux se trouvaient fort aises. Georgette, la mère, approchait de la quarantaine. C’était une brunette encore fort jolie, à la silhouette élancée, et aux yeux aguicheurs. Elle avait quelques amies, toutes féminines, et tous les quinze jours, elles passaient ensemble un long week-end dans une grande villa près de la côte, villa dont avait hérité une des participantes à ces soirées et nuits fort agitées. Mireille, la petite bonne, avait une vingtaine d’années. C’était une piquante demoiselle, aux yeux bleus effrontés, aux cheveux d’un noir profond. Elle était bien en chair et manifestait vis à vis des plaisirs du sexe un appétit jamais mis en défaut. Et c’est sans manifester la moindre résistance qu’elle s’était laissé entraîner dans le lit de sa maîtresse. Cette dernière avait aussi un fils, Roland, actuellement aux études à Paris où il suivait des cours de photographie. Il avait vingt-trois ans, et ne rejoignait la maison familiale que lors des vacances que les deux enfants prenaient ensemble. Il espérait obtenir fin juin son diplôme.
Cette année-là, Cécile était tracassée par l’avenir de sa fille. Elle avait senti que Monica n’avait pas été avertie des réalités de la vie, et ignorait tout du sexe. Les années suivantes s’avéraient périlleuses pour elle qui était une véritable petite oie blanche. Mais cette oie blanche était ravissante. Son corps à peine sorti de l’enfance semblait lancer un véritable appel au sexe. Mais elle était très indolente, et semblait manquer de volonté. Sa timidité naturelle était étonnante. Mais incontestablement, son physique laissait présager qu’elle deviendrait une véritable beauté. Cécile avait donc réalisé qu’il lui fallait absolument faire découvrir à sa fille ce qu’était le sexe, et comment le pratiquer sans danger. Première mesure, toute de prudence : elle emmena Monica chez une gynécologue et lui fit prescrire la pilule. Puis, une semaine plus tard, elle décida de l’envoyer passer deux mois chez sa sœur. Celle-ci, nommée Caroline, de dix ans sa cadette, menait une vie très particulière. Elle s’était pendant des années fait entretenir par un homme qui avait disparu, lui laissant de quoi vivre sans problèmes. Elle était une parfaite bisexuelle, et Cécile ne l’ignorait pas. Mais elle croyait que sa cadette serait mieux à même de guider Monica dans ses premiers pas amoureux. Caroline, toujours à l’affût de nouvelles proies, accepta avec plaisir la charge qu’on lui confiait. Cécile avait décidé pour rassurer Monica de lui adjoindre lors de ces vacances qui s’annonçaient un peu spéciales la compagnie de Mireille qui accueillit avec une joie non feinte cette proposition. Elle connaissait en effet la réputation de Caroline, et se rendait bien compte des plaisirs qu’elle pourrait rencontrer en sa compagnie. Il fut décidé que Roland, lui, resterait en compagnie de sa mère, mais pourrait rejoindre Monica et Mireille pour l’un ou l’autre week-end, s’il le souhaitait.
Peu avant son départ, tout à fait par hasard, Monica assista à une scène qui la troubla profondément. Elle et Mireille avaient chacune une chambre au deuxième étage de la maison, la mère et Roland occupant le premier étage. Un soir qu’elle sortait de sa chambre pour aller aux toilettes, elle entendit un bruit étrange dans la chambre de la petite bonne. La porte n’était pas fermée. Curieuse, elle l’entrouvrit en évitant de faire du bruit, et jeta un coup d’œil. La scène qu’elle découvrit la troubla profondément. Mireille était nue, à quatre pattes sur le lit, et derrière elle, nu lui aussi, Roland, qui s’était placé entre ses cuisses, donnait de vigoureux coups de reins qui faisaient gémir sa partenaire. Et subitement, les deux corps furent pris d’un tremblement qui excita Monica. Celle-ci glissa une main sur son sexe et se caressa rapidement, jusqu’à elle-même être saisie d’un grand frisson qui la déconcerta. Prudemment alors, elle rejoignit sa chambre, en se demandant ce que signifiait la scène à laquelle elle venait d’assister.
Le lendemain, elle n’en dit rien à son frère, mais une fois seule avec Mireille, elle la harcela de questions. La bonne, comprenant qu’elle avait été surprise, eut du mal à répondre. Elle se contenta de dire à Monica qu’elle les avait surpris faisant l’amour, et que très probablement, très bientôt, elle découvrirait avec un partenaire ce que signifiait ce terme. Mais elle se refusa à des explications plus détaillées, et lui déclara que sans doute sa tante se chargerait de l’instruire à ce sujet.
Le moment venu, Cécile alla conduire fille et bonne chez sa sœur qui habitait une somptueuse villa sur la côte, à proximité immédiate de la Camargue. Elles furent accueillies chaleureusement par Caroline. Celle-ci était une blonde habillée de façon assez excentrique. Elle était pleine de vitalité, et sa sœur ne put s’empêcher de voir la façon gourmande dont elle regardait ses deux invitées. Toutes les quatre allèrent déjeuner dans une auberge renommée, et Monica put faire plus ample connaissance avec sa tante qu’elle connaissait fort peu. Après le repas, Cécile les quitta et Caroline les amena dans son habitation. Monica et Mireille y disposeraient chacune d’une chambre avec un petit cabinet de toilette. Mireille, qui avait été mise au courant par sa patronne du but poursuivi, ne s’étonna pas quand de but en blanc, Caroline se mit à lui faire des avances. Immédiatement, elle les accepta, et toutes deux allèrent rejoindre la chambre de Caroline où trônait un grand lit blanc, apparemment préparé pour cette petite fête. Timidement, Monica les avait suivies, se demandant ce qui allait se passer. Avec stupeur, elle vit les deux femmes se déshabiller, et se coucher côte à côte. Caroline, d’une petite tape sur le drap, lui fit signe de venir les rejoindre, ce qu’elle fit, un peu inquiète de la tournure que prenaient les choses. Sans attendre, ses deux voisines se mirent à la déshabiller, Caroline commentant les événements :
« Allons, ne sois pas bégueule. Ce que nous avons l’intention de te faire, tu devras t’y habituer. Et je suis certaine que très vite tu aimeras nos caresses et que tu nous en redemanderas. Mais je vois que tu es véritablement intacte, et que tu as conservé ta petite toison. Je te conseille de la faire disparaître dès demain. D’ailleurs, regarde nous, nous sommes bien plus à l’aise pour nous aimer. » Ouvrant de grands yeux, Monica vit que ses deux voisines étaient totalement épilées, et que leurs sexes présentaient déjà des traces d’excitation. Elle-même se sentit alors mouiller et essaya de camoufler de la main ces traces dont elle était honteuse. Caroline se mit à rire et fit un signe à Mireille. Cette dernière força Monica à se coucher et quand ce fut fait, l’embrassa profondément. Pendant ce temps, Caroline avait écarté les jambes de Monica et plongé sa bouche sur son sexe. Sa nièce tenta de se débattre, mais Mireille interrompant son baiser, la sermonna « Laisse-toi faire, tu vas adorer. Et découvrir aussi un plaisir dont plus tard tu ne pourras plus te passer » Monica, sentant que toute résistance était inutile, laissa faire. Elle sentit la langue de sa tante parcourir sa fente pour venir se fixer sur son clitoris qu’elle se mit d’abord à sucer, puis à mordiller. Et les gémissements de Monica furent explicites. La petite demoiselle avait pris goût aux caresses de sa tante, et sans même s’en rendre compte posa sa main sur la tête de cette dernière pour l’empêcher d’interrompre une action aussi agréable. Mireille, elle, était gourmande. Elle profita des réactions de Monica pour venir se placer à califourchon sur elle et lui présenter sa fente « Fais-moi plaisir, lèche-moi, et tu pourras boire mon plaisir. Et après, Caroline et moi partagerons le tien et à nous deux te ferons découvrir le monde merveilleux de femmes qui s’aiment, sans la moindre fausse honte. » Monica ne se fit pas prier, et s’exécuta comme si elle était habituée à cet acte. Et la nuit durant, elle se plia aux exigences de ses partenaires, à la grande joie de Caroline qui dès le matin suivant envoya comme elle l’avait promis un mail à sa sœur pour lui raconter ce qui s’était passé avec sa fille. Elle joignit à ce mail quelques photos très explicites qui firent sourire Cécile. Celle-ci se félicitait d’avoir envoyé sa fille se former sans risques à une vie sexuelle qui au vu du récit de Caroline serait sans doute piquante. Le mail que reçut Cécile n’était pas très long, mais très révélateur :
« Ma chère Cécile, je dois tout d’abord te féliciter pour la beauté de ta fille. Bien sûr, elle n’est pas encore une femme, mais elle le deviendra très vite. Et sa beauté s’affinera encore. Mireille et moi lui avons fait découvrir une nuit durant l’amour entre deux femmes. Elle a d’abord pu me regarder à l’œuvre avec Mireille qui est une merveilleuse lécheuse, et m’a fait jouir plusieurs fois. Puis toutes deux nous avons pris en charge Monica, et je t’assure que très vite elle a compris les plaisirs qu’elle pouvait retirer de ces contacts nouveaux pour elle. Je peux déjà te dire qu’elle a la jouissance facile, et qu’elle a vite été gourmande de nos sucs : elle les buvait comme si elle l’avait toujours fait. Durant quelques jours nous allons poursuivre ce type d’éducation. Dans une semaine, je la présenterai à une réunion du petit cercle dont je fais partie, et dont je j’ai déjà parlé. Là, elle découvrira l’homme, et sera prise des deux côtés au cours de la même soirée. Rassure-toi, j’aurai bien soin de la préparer. Je ne manquerai pas de te décrire en long et en large les détails de cette soirée, et je suis certaine qu’ils t’aideront à jouir à distance tant ils sauront t’exciter. A bientôt donc. Sois rassurée. Lorsque nous te rendrons ta fille, elle sera prête à affronter à tes côtés sa vie de femme et te connaissant, je suppose que tu voudras mettre la main à la pâte. Baisers. Ta sœur Caroline. »
Et les jours suivants se passèrent comme l’avait prévu Caroline. Elle connaissait maintenant parfaitement le corps et les réactions de sa nièce, et prenait un plaisir énorme à lui faire découvrir tous les plaisirs que peut procurer le corps d’une femme. Monica était une élève appliquée, ne cachant jamais sa joie. Elle mouillait facilement, mais apparemment était aussi soucieuse de faire jouir une partenaire que de jouir elle-même. Caroline décida alors d’accélérer les choses. Elle réunit la présidente de son petit cercle et deux amies fidèles. Ensemble elles préparèrent une importante séance au cours de laquelle Monica découvrirait l’homme, mais aussi d’autres pratiques qu’elle ignorait encore totalement. Cette séance s’étalerait sur un long week-end dans une grande villa prévue à cet effet. Outre Caroline, Mireille et Monica, la vedette, il y aurait tous les membres féminins du club, mais aussi quatre hommes qui avaient déjà participé à des séances mixtes. Deux d’entre eux auraient à charge le dépucelage des deux ouvertures de Monica. Mais il fallait évidemment préparer cette dernière à la sodomie.... LIRE LA SUITE

L’intégralité de ce récit est disponible pour les abonnés de RdF


ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires

Logo de Henic
mardi 16 novembre 2021 à 21h48 - par  Henic

Viol de mineure doublé d’un inceste : Fatum ne se refuse rien !