Etranges vacances

vendredi 19 avril 2013
par  Fatum
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Quand le docteur Frédéric annonça à Fiona que cette année, ils partiraient à cinq en vacances, elle poussa des cris de joie. Depuis le décès inopiné de sa mère, six ans plus tôt, jamais elle n’avait connu ce plaisir. En fait, elle n’était que la belle-fille du docteur. Celui-ci avait dix ans auparavant épousé la veuve d’un avocat, décédé lui aussi, dont elle avait eu sa fille. Celle-ci, âgée de dix-sept ans, vivait depuis la mort de sa mère avec son beau-père, qui témoignait envers elle d’une sévérité jamais prise en défaut. Fiona était très jolie : ses longs cheveux noirs et ses yeux pers attiraient immanquablement les regards.

Mais surveillée comme elle l’était, elle se contentait d’effectuer sa dernière année de lycée et se préparait à passer son bac. Obéissante à son beau-père, elle fuyait la compagnie des garçons. Elle n’avait même qu’une amie : Agathe, une jeune fille, âgée elle de vingt deux ans, que le docteur avait quelques mois auparavant engagée comme ménagère. Tous habitaient une grande villa dans le Pas de Calais, villa située à proximité de la petite clinique que gérait le docteur, clinique qu’il avait fondée il y avait six ans et dont la réputation était bien établie. Il y soignait de jeunes femmes souffrant de dépression nerveuse ou d’autres maux psychiques qu’il s’efforçait de guérir. Un tunnel souterrain reliait la villa à cette clinique et plus spécialement au bureau du directeur. Peu de gens en connaissaient l’existence, à part Daniela, sa secrétaire, une femme très énergique. Célibataire, elle avait à la demande de son patron accepté de venir vivre dans cette villa, et peu de temps après était devenue la maîtresse du docteur. Il y avait également là Cédric, le fils du docteur, un jeune rebelle de vingt ans, fort beau garçon. Il le savait très bien, et ses conquêtes étaient nombreuses. Mais personne à la villa ne s’en offusquait.

Quand le docteur annonça qu’il avait loué en Dordogne une villa pour quinze jours, les yeux de tous se mirent à briller. Il annonça qu’il avait trouvé un remplaçant pour gérer sa petite clinique, qui pour cette courte période, ne comptait que quatre patientes. Il pouvait donc sans problème accompagner sa famille. Ils allaient se retrouver tous dans une grande maison située sur les bords de la Vézère, pas loin de Lascaux. Cette maison lui avait été conseillée par un ami de longue date, le docteur Ribeaucourt, qui habitait à quelques kilomètres de leur maison une imposante demeure entourée d’un petit bois, et qui disposait d’une piscine où tous pourraient régulièrement se baigner. Le docteur Ribeaucourt était un quinquagénaire d’une étonnante prestance, et qui en imposait. Son amie, Elvire, était âgée d’une quarantaine d’années, mais encore très vive. Leur fille, ou présumée telle, Saskia, âgée de vingt et un ans, semblait être une grande sportive, très souriante. Quand au fils, David, du même âge que Cédric, il semblait étrangement plus mûr que ce dernier. Tous ces personnages allaient se retrouver pour des vacances aux suites encore imprévisibles.

Si la famille du docteur Ribeaucourt était relativement calme, il n’en allait pas de même pour la famille du docteur Frédéric. Celui-ci, après quelques mois de veuvage, s’était empressé de faire de Daniela sa maîtresse. Une maîtresse aussi sensuelle que lui et qu’il faisait participer à des soirées qu’il se plaisait à appeler de détente. En effet, à l’insu de tous, il avait étudié l’hypnose et parvenait à s’en servir avec l’une ou l’autre cliente de sa clinique dont il savait sciemment bien qu’elles ne pourraient résister à ses manipulations. Et parfois la nuit, empruntant le couloir secret, il pénétrait dans sa clinique pour aller y chercher avec l’aide de Daniela une patiente qu’il ramenait dans sa villa pour sans la moindre difficulté lui imposer des relations sexuelles que dans l’état qu’il venait de provoquer, elle n’était pas capable de lui refuser. Daniela, elle, très portée sur les relations homosexuelles, participait avec enthousiasme à ces petites séances. Mais le bon docteur ne s’arrêta pas là. Très vite, il mêla à ces jeux une Agathe très portée sur la chose, qui devint sa maîtresse attitrée. Et le docteur ne dit rien lorsqu’il s’aperçut que la susdite Agathe avait entrepris, et fort bien, de déniaiser son fils Frédéric. Pour corser encore la chose, le docteur tomba amoureux de sa belle-fille lorsqu’il s’aperçut de son évolution sur le plan physique. Dans un premier temps, il se domina. Mais ce fut plus fort que lui. Il s’arrangea pour pénétrer dans la salle de bains lorsque Fiona s’y trouvait, et si elle en fut gênée, elle n’osa marquer sa désapprobation et ce fut sans le moindre remords qu’à tout bout de champ il renouvelait l’expérience. Bien mieux : il demanda à Daniela de proposer des relations à Fiona ce que cette dernière, énervée par ses premiers désirs, aurait eu du mal à refuser. Agathe non plus ne resta pas indifférente, et bien vite Fiona découvrit les étranges réalités d’un monde dont elle ignorait tout.

Mais le docteur voulait qu’elle reste vierge jusqu’à ses dix-huit ans et Daniela comme Agathe eut soin de se contenter de faire découvrir à leur victime les plaisirs de Sapho, en se limitant à certaines caresses et baisers. Très vite le docteur alla plus loin : il demanda à ses deux maîtresses de se faire surprendre avec lui en action. Et c’est ainsi que Fiona tomba un soir sur un spectacle auquel elle ne s’attendait pas : son beau- père occupé à posséder Agathe en levrette. Puis, ce fut la même chose avec Daniela, qu’il sodomisa en présence de sa belle-fille, y prenant un évident plaisir. Dès ce moment, la situation évolua rapidement. A longueur de soirées, les quatre aînés se promenaient nus dans la villa et sans la moindre gêne, en présence d’une Fiona de plus en plus excitée, se prenaient les uns et les unes. Et comme à plaisir, ces parties de jambes en l’air se passaient quasi toujours en présence de la jeune fille.

Les deux premières semaines de vacances se passèrent sans problèmes. Mais cette fois Fiona avait été tenue à l’écart des galipettes journalières des autres membres de la famille, et s’en énervait. Elle approchait de ses dix-huit ans, et visiblement était en proie à des envies sexuelles de plus en plus évidentes. Mais vu l’attitude de ses voisins et voisines, elle devait se contenter de brèves et décevantes masturbations. Après deux semaines, son beau-père décida d’aller la présenter à la famille de son collègue. Fiona, heureuse de découvrir d’éventuels amis, battit des mains. Elle fut quelque peu étonnée de voir que son beau-père, pour y aller, se contentait de sa seule compagnie. Mais le fait d’avoir pris son maillot de bain pour étrenner la piscine de son hôte l’enchantait. C’est avec joie qu’elle fit la connaissance de la famille. La fille Saskia était très sympathique et la prit en charge immédiatement. Mais Fiona remarqua très vite qu’elle semblait un peu trop fort s’intéresser à sa personne. David, le garçon, la dévisagea longuement, sans la moindre gêne. On aurait dit qu’il détaillait de ses yeux son corps, ce qui la fit rougir. Elvire, l’amie du docteur, la reçut un peu plus froidement, ce qui l’attrista. Mais la journée se passa de manière agréable. Au moment du départ, son beau-père la prit à part et lui annonça qu’elle resterait sur place. Le docteur Ribeaucourt avait accepté de la prendre en charge pour six mois afin de la préparer à sa vie de femme, ce que lui-même, pris par son travail, n’avait pas le temps de faire. Comme Fiona arguait du fait qu’elle n’avait emporté aucun vêtement de rechange, Elvire, qui avait écouté la conversation, éclata de rire et lui dit

« Mais ici, tu n’en auras pas besoin. Je me chargerai de tout, et tu verras, tu ne seras pas à plaindre. »

Intriguée par cette dernière phrase, Fiona ne put que s’incliner. Elle versa quelques larmes quand elle vit s’éloigner la voiture de son beau-père. Mais quand elle se retourna, elle constata que Saskia et David étaient venus se placer à côté de son hôtesse qui lui souriait et la désignant à ses enfants leur ordonna

« Ne perdons pas de temps, bien qu’elle soit ici pour six mois. Déshabillez-la donc, que nous puissions l’examiner à notre aise et avoir une idée du travail qui nous attend. »

David vint saisir les poignets de Fiona, intriguée par les mots d’Elvire, et les lui maintint dans le dos. Saskia, elle, s’était munie de ciseaux et sans attendre entreprit de découper les vêtements de leur invitée. Très vite, cette dernière se retrouva vêtue de sa seule culotte. Et les commentaires fusèrent. Elvire avait saisi de la main ses mamelons et les tâta longuement, puis les pinça.

« Un peu petits – décréta-t-elle – mais nous allons améliorer cela. »

Puis, Saskia qui s’était penchée, fit glisser la culotte de Fiona à ses pieds. La victime, de plus en plus honteuse, tenta en vain de se débattre. Mais David la tenait fermement, et elle comprit que toute résistance était vouée à l’échec. Elle dut accepter une fouille approfondie de son corps. Elvire décréta encore en caressant la petite toison de Clara, une petite toison qui s’humectait peu à peu

« Bon, il va falloir t’en débarrasser. Nous commencerons demain. » Puis, elle s’attaqua au clitoris et le pinça légèrement, le faisant se dresser « Mignon, tout cela. Mais il va falloir t’apprendre à mieux t’en servir. Ce ne sera pas difficile. » Puis elle ordonna à David de faire se retourner Fiona et de lui présenter ses fesses. Elle les tâta longuement, et s’amusa à glisser son majeur dans la petite rosette pour conclure : « Intéressant, ton petit cul. Un morceau de choix, que beaucoup vont se disputer. Mais il appartient au docteur, mon ami, de me préciser la manière dont il faudra le préparer, car visiblement il n’a guère reçu de visites. Sauf peut-être l’un ou l’autre de tes doigts. »

Honteuse de se sentir ainsi mise en cause, Fiona piqua un fard. Elle entendit alors Elvire conclure

« Décidément, notre ami du nord met à notre disposition une fort jolie marchandise, toute fraîche et toute novice. Nous mettrons un point d’honneur à lui restituer dans six mois une jeune femme experte, aimant le sexe, et disponible par toutes ses ouvertures. » et se tournant vers Fiona « Alors, ma chérie, as-tu bien compris ce qui t’attend ? Mais ne te fais aucune illusion. Nous arriverons à te former, que tu le veuilles ou non. Et je t’avertis, s’il le faut, ce sera dans la douleur. Sois donc obéissante. A propos, tu devras me vouvoyer en permanence et m’appeler « Madame » Par contre, tu pourras tutoyer Saskia et David à qui sera confiée une grosse partie de ta formation, du moins durant le premier mois. Mais tu devras leur obéir, comme tu m’obéiras. La moindre tentative de rébellion, le moindre refus d’obéissance, seront punis par le fouet. Et crois-moi, il te sera impossible de lui résister. Rentrons maintenant, car le docteur doit lui aussi t’examiner. »

Ce ne fut pas nécessaire. Le docteur Ribeaucourt arrivait. Il regarda Fiona , posément

« Ainsi donc, voici la demoiselle que nous a confié mon ami Frédéric. Et dis-moi, que penses-tu de ton séjour ici ? »

Violemment, Fiona répondit :

« Cela ne me plait pas du tout. Je veux retourner chez mon père, de suite. Ramenez-y-moi ! »

Le docteur éclata de rire

« Mais ma petite, à cette heure, le docteur est déjà sur la route pour retourner dans le nord. Mais rien ne t’empêche de partir. La porte t’est ouverte, va le rejoindre si tu le peux. »

Fiona se sentit prise au piège : elle était nue, ne pouvait récupérer ses vêtements, ne connaissait personne dans la région, et était sans argent. Elle baissa la tête.

« C’est bien, je vois que tu as compris. Mais je veux, pour bien marquer ta soumission, que tu fasses un tas de tes vêtements et y mettes le feu. Plus tard, quand ce sera nécessaire, nous t’en donnerons de nouveaux. Mais pas avant le moment de ta présentation. Et maintenant, suis-moi dans mon cabinet, que je puisse t’examiner mieux que ne l’a fait mon amie. »

Le petit groupe entra dans la grande demeure et pénétra dans le cabinet du docteur. Il y avait là un fauteuil de gynécologue sur lequel elle dut s’installer, jambes écartées, pieds dans les étriers. L’amie du docteur et ses enfants assistaient à la scène, et leur présence déstabilisait complètement Fiona qui demanda

« Pas devant eux, docteur, s’il vous plait ! Demandez-leur de sortir. »

La réplique fusa

« Voyons, Fiona, ne fais pas la gamine : très vite, tous trois sauront tout de toi. Et ne crains rien, je suis un excellent proctologue, et comme tel particulièrement apte à choisir le traitement qui doit t’être appliqué. Pas pour ton sexe, que je me contenterai de faire épiler. Mais il me faut examiner ton anus pour savoir avec quels appareils il nous faudra le travailler pour améliorer disons son hospitalité. Maintenant, laisse-toi faire, je vais lui appliquer une pommade anesthésiante afin de me permettre de bien mesurer sans trop te faire souffrir son degré d’élasticité, et aussi sa profondeur accessible. Je te signale que ce sera David qui dans quelques jours se chargera de te dépuceler de ce côté, et qu’il est particulièrement bien membré, du moins quant à la longueur. Par contre, le diamètre de son sexe en érection est de dimension raisonnable, et devrait bien te convenir. Allons-y. » LIRE LA SUITE

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